Chers amis de Lueurs du Matin,
Merci
pour votre intérêt pour les pensées du jour que vous suivez par email
ou sur Facebook. Merci pour vos likes (j’aime), pour vos commentaires et
vos partages. Surtout merci pour vos messages d’encouragement et vos
prières.
Merci aussi à Aline et à Jean-Jacques pour leur contribution, dans la même ligne éditoriale.
Sachez
que les pensées du jour existent aussi en livrets de 31 pensées,
classées par thèmes. À ce jour 22 livrets ont été édités. Je vais vous
en présenter un de temps en temps.
Le premier qui a été présenté est : Ces animaux qui nous enseignent.
Je
vous présente un deuxième aujourd’hui : « La guérison intérieure ».
Vous trouverez dans ces 31 pensées, celui qui a été annoncé par le
prophète Ésaïe comme ayant été envoyé pour guérir les coeurs brisés.
(Ésaïe 61.1)
Ces ouvrages sont disponibles au prix de 5,90 € en cliquant sur ce lien. Si vous voulez la liste complète des 22 livres n’hésitez pas à me contacter en répondant à cet email.
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de la vente de mes livres sont reversés à l’association humanitaire
Made In Compassion. Les 70% restants couvrent les frais d’impression et
l’édition de nouveaux titres.
Ne manquez pas plus bas dans cet email votre Lueur du Matin du mardi 3 avril.
Soyez bénis
Paul
« Il
en sera comme d’un homme qui, partant pour un voyage, laisse sa maison,
remet l’autorité à ses serviteurs, indique à chacun sa tâche, et
ordonne au portier de veiller. » (Marc 13.34)
Après
avoir longuement exposé un ensemble de signes apocalyptiques, au sujet
de la fin du temps de la grâce, Jésus termine son discours par cette
image du maître qui confie sa maison à ses serviteurs, en leur demandant
d’assumer diverses responsabilités, et de veiller.Dans
cette parabole, comme dans d’autres encore, Jésus se présente ou
présente Dieu comme celui qui s’en va. Dans la parabole des vignerons (Marc 12.1/9), un homme confie sa vigne à des fermiers, et s’en va. Dans la parabole des talents (Matthieu 25.14/30), un homme distribue
des talents, et s’en va.Parfois,
nous sommes tellement obnubilés par les signes de son retour que nous
en oublions le fait central : Il est parti ! Quel est ce Dieu qui se
retire, qui s’en va ? Nous a-t-il abandonnés ? Ne s’intéresse-t-il plus à
nous ? Pourquoi est-il parti ?
Il
est évident que son départ n’est pas un abandon ou un désintérêt ; au
contraire, c’est une marque d’amour et de confiance. Il nous confie ce
qu’il a de plus précieux : (Sa maison, sa vigne, ses trésors). Quelle
marque de confiance ! Seriez-vous prêt à confier votre chéquier, votre
maison, ce qui vous appartient, à quelqu’un à qui vous ne feriez pas
confiance ? Certainement pas ! Si
nous le faisons, c’est parce que nous avons confiance en la personne à
qui nous remettons tout cela. De même, si Dieu nous confie sa maison,
c’est parce qu’il ne nous considère pas comme des incapables, des
irresponsables, des enfants, mais comme des adultes responsables, des
serviteurs sérieux. Dieu s’efface en nous confiant son autorité, sa
richesse, sa puissance. Il s’en va comme des parents qui
s’effacent pour que leur fils assume ses responsabilités.
Le
Seigneur est parti, et il nous dit : Veillez ! Ne cherchez pas à savoir
quand est-ce que je vais revenir, mais veillez ! Veillez à l’entretien
de ma maison, veillez sur ce monde que je vous ai confié. Soyez comme la
femme vertueuse qui veille sur ce qui se passe dans sa maison
(Proverbes 31.27). N’enterrez pas votre talent, veillez à le faire
prospérer en vous mettant à l’œuvre. Veiller,
c’est agir, et s’investir, c’est travailler à rendre ce monde meilleur,
par le partage des trésors que Dieu nous a confiés. Partagez Jésus, le
pain de vie, partagez les trésors de sa Parole, partagez vos biens
matériels, selon vos possibilités, avec ceux qui sont dans le dénuement.
(Hébreux 10.24).
Une question pour ce jour :
Que
feriez-vous si vous saviez que ce jour est votre dernier jour ? Vous
vous réconcilieriez avec untel ? Vous iriez voir vos vieux parents dans
leur maison de retraite ? Vous diriez à ceux qui vous entourent : « Je
t’aime » ? Ce que vous feriez, faites-le aujourd’hui ; c’est cela
veiller.
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