samedi 31 octobre 2015

La Grande Promesse du Cœur Immaculé de Marie

31 octobre - Pie XII consacre le monde au Cœur Immaculé de Marie (1942) 

La Grande Promesse du Cœur Immaculé de Marie

Le 10 décembre 1925, la Très Sainte Vierge apparut à Lucie de Fatima, et à côté d'elle, suspendu sur une nuée lumineuse, l'Enfant Jésus. La Très Sainte Vierge mit sa main sur l'épaule de Lucie et lui montra, en même temps, un Cœur entouré d'épines qu'elle tenait dans l'autre main. Ensuite, la Très Sainte Vierge lui dit:

"Vois, ma fille, mon Cœur entouré d'épines, que les hommes ingrats lui enfoncent à tout moment, par leurs blasphèmes et ingratitudes. Toi, du moins, tâche de me consoler, et dis que tous ceux qui, pendant cinq mois, le premier samedi, se confesseront, recevront la Sainte Communion, réciteront un chapelet, et me tiendront compagnie pendant quinze minutes en méditant sur les quinze mystères du Rosaire, avec l'intention de me faire réparation, je promets de les assister à l'heure de la mort avec toutes les grâces nécessaires pour le salut de leur âme."

Source : www.santorosario.net

vendredi 30 octobre 2015

Beauté de l'amitié en Dieu

Marthe Robin (page officielle)
3 h
Beauté de l'amitié en Dieu :
"Que c'est beau et bon, les rencontres des âmes qui se rapprochent, s'unissent pour mutuellement s'aider, s'édifier, se sanctifier ! Cet heureux contact est une divine semence communiquée par une âme à une autre âme qui, tôt ou tard, germera, croîtra, avantageusement fécondée, dans l'intime union à Dieu.
Leur ambition est une : amasser d'abondants trésors de vertus, se perfectionner, arriver à la sainteté, pour la gloire de Dieu... et produire des fruits de grâce en faveur de toutes les âmes.
Entre âmes qui se pénètrent, éprises d'un même idéal mystique, vibrant d'une même harmonie, consumées par un même amour, leur rapprochement n'a qu'un but... Dieu, et Dieu seul ; leur entretien, où pour tout thème il n'est question que de la prière, de la souffrance, de la mort, du ciel... et surtout de confiance, d'amour et d'abandon en notre intime et bien-aimé Jésus, ne peut être que d'un immense profit."
Marthe Robin (Journal - 20 octobre 1931)

lundi 26 octobre 2015

26 octobre - Béatification de Bartolo Longo, l’homme de la Vierge, qui a plusieurs mois été esclave de Satan 

… En parlant familièrement avec Jésus et avec la Vierge, par la méditation des Mystères du Rosaire…

Le bienheureux Bartolo Longo dit à propos du saint Rosaire :

" De même que deux amis qui se retrouvent souvent ensemble finissent par se ressembler même dans la manière de vivre, de même, nous aussi, en parlant familièrement avec Jésus et avec la Vierge, par la méditation des Mystères du Rosaire, et en formant ensemble une même vie par la Communion, nous pouvons devenir, autant que notre bassesse le permet, semblables à eux et apprendre par leurs exemples sublimes à vivre de manière humble, pauvre, cachée, patiente et parfaite "." (RVM, 15).

Une action pour aujourd'hui

Père, je décide de déposer tous mes soucis entre tes mains et de te faire confiance. Au nom de Jésus. Amen.


dimanche 25 octobre 2015

Une action pour aujourd'hui

Mettez votre foi en action et croyez que Dieu peut tout ! Il fait infiniment au-delà de tout ce que vous pouvez demander ou penser (Ephésiens 3.20).

samedi 24 octobre 2015

Conclusion du sinode de la famille du Pape François


Synod15 – 18ma Congregazione generale: Discorso del Santo Padre a conclusione dei lavori della XIV Assemblea generale ordinaria del Sinodo dei Vescovi, 24.10.2015


Testo in lingua francese
Chères Béatitudes, Éminences, Excellences, 
Chers frères et sœurs,
Je voudrais tout d’abord remercier le Seigneur qui a guidé notre chemin synodal au cours de ces années avec l’Esprit Saint dont le soutien ne manque jamais à l’Église.
Je remercie vraiment de tout cœur Son Eminence le Cardinal Lorenzo Baldisseri, Secrétaire général du Synode, S.E. Mgr Fabio Fabene, Sous-secrétaire, et avec eux je remercie le Relateur Son Eminence le Cardinal Peter Erdő et le Secrétaire spécial S.E. Mgr Bruno Forte, les Présidents délégués, les secrétaires, les consulteurs, les traducteurs et tous ceux qui ont travaillé infatigablement et avec un total dévouement à l’Eglise: merci de tout cœur!
Je vous remercie tous, chers Pères synodaux, Délégués fraternels, Auditeurs, Auditrices et Assesseurs, curés et familles pour votre participation active et fructueuse.
Je remercie aussi les ‘anonymes’ et toutes les personnes qui ont travaillé en silence contribuant généreusement aux travaux de ce Synode.
Soyez tous sûrs de ma prière afin que le Seigneur vous récompense de l’abondance des dons de sa grâce!
Alors que je suivais les travaux du Synode, je me suis demandé: que signifiera pour l’Église de conclure ce Synode consacré à la famille?
Il ne signifie certainement pas avoir achevé tous les thèmes inhérents à la famille, mais avoir cherché à les éclairer par la lumière de l’Évangile, de la tradition et de l’histoire bimillénaire de l’Église, infusant en eux la joie de l’espérance sans tomber dans la facile répétition de ce qui est indiscutable ou le déjà dit.
Il ne signifie sûrement pas avoir trouvé des solutions exhaustives à toutes les difficultés et aux doutes qui défient et menacent la famille, mais avoir mis ces difficultés et ces doutes sous la lumière de la Foi, les avoir examinés attentivement, les avoir affrontés sans peur et sans se cacher la tête dans le sable.
Il signifie avoir incité tout le monde à comprendre l’importance de l’institution de la famille et du mariage entre un homme et une femme, fondée sur l’unité et sur l’indissolubilité et à l’apprécier comme base fondamentale de la société et de la vie humaine.
Il signifie avoir écouté et fait écouter les voix des familles et des pasteurs de l’Église qui sont venus à Rome en portant sur leurs épaules les poids et les espérances, les richesses et les défis des familles de toutes les parties du monde.
Il signifie avoir donné la preuve de la vivacité de l’Eglise catholique qui n’a pas peur de secouer les consciences anesthésiées ou de se salir les mains en discutant de la famille d’une façon animée et franche.
Il signifie avoir cherché à regarder et à lire la réalité, ou plutôt les réalités, d’aujourd’hui avec les yeux de Dieu, pour allumer et pour éclairer avec la flamme de la foi les cœurs des hommes, en un moment historique de découragement et de crise sociale, économique, morale et de négativité dominante.
Il signifie avoir témoigné à tous que l’Évangile demeure pour l’Église la source vive d’éternelle nouveauté, contre qui veut «l’endoctriner» en pierres mortes à lancer contre les autres.
Il signifie encore avoir mis à nu les cœurs fermés qui souvent se cachent jusque derrière les enseignements de l’Église ou derrière les bonnes intentions pour s’asseoir sur la cathèdre de Moïse et juger, quelquefois avec supériorité et superficialité, les cas difficiles et les familles blessées.
Il signifie avoir affirmé que l’Église est Église des pauvres en esprit et des pécheurs en recherche du pardon et pas seulement des justes et des saints, ou plutôt des justes et des saints quand ils se sentent pauvres et pécheurs.
Il signifie avoir cherché à ouvrir les horizons pour dépasser toute herméneutique de conspiration ou fermeture de perspective pour défendre et pour répandre la liberté des enfants de Dieu, pour transmettre la beauté de la Nouveauté chrétienne, quelquefois recouverte par la rouille d’un langage archaïque ou simplement incompréhensible.
Sur le chemin de ce Synode les diverses opinions qui se sont exprimées librement – et malheureusement parfois avec des méthodes pas du tout bienveillantes – ont certainement enrichi et animé le dialogue, offrant une image vivante d’une Eglise qui n’utilise pas ‘des formulaires préparés d’avance’, mais qui puise à la source inépuisable de sa foi une eau vive pour désaltérer les cœurs desséchés1.
Et – au-delà des questions dogmatiques bien définies par le Magistère de l’Église – nous avons vu aussi que ce qui semble normal pour un évêque d’un continent, peut se révéler étrange, presque comme un scandale, pour l’évêque d’un autre continent; ce qui est considéré violation d’un droit dans une société, peut être requis évident et intangible dans une autre; ce qui pour certains est liberté de conscience, pour d’autres peut être seulement confusion. En réalité, les cultures sont très diverses entre elles et chaque principe général a besoin d’être inculturé, s’il veut être observé et appliqué2. Le Synode de 1985, qui célébrait le vingtième anniversaire de la conclusion du Concile Vatican II, a parlé de l’inculturation comme de l’« intime transformation des authentiques valeurs culturelles par leur intégration dans le christianisme, et l’enracinement du christianisme dans les diverses cultures humaines»3. L’inculturation n’affaiblit par les vraies valeurs mais démontre leur véritable force et leur authenticité, puisqu’elles s’adaptent sans se transformer, mais au contraire elles transforment pacifiquement et graduellement les différentes cultures4.
Nous avons vu, également à travers la richesse de notre diversité, que le défi que nous avons devant nous est toujours le même: annoncer l’Évangile à l’homme d’aujourd’hui, en défendant la famille de toutes les attaques idéologiques et individualistes.
Et sans jamais tomber dans le danger du relativisme ou du fait de diaboliser les autres, nous avons cherché à embrasser pleinement et courageusement la bonté et la miséricorde de Dieu qui surpasse nos calculs humains et qui ne désire rien d’autre que «tous les hommes soient sauvés» (1 Tm 2, 4), pour insérer et pour vivre ce Synode dans le contexte de l’Année extraordinaire de la Miséricorde que l’Église est appelée à vivre.
Chers confrères,
L’expérience du Synode nous a fait aussi mieux comprendre que les vrais défenseurs de la doctrine ne sont pas ceux qui défendent la lettre mais l’esprit; non les idées mais l’homme; non les formules mais la gratuité de l’amour de Dieu et de son pardon. Cela ne signifie en aucune façon diminuer l’importance des formules, des lois et des commandements divins, mais exalter la grandeur du vrai Dieu qui ne nous traite pas selon nos mérites et pas même selon nos œuvres mais uniquementselon la générosité illimitée de sa miséricorde (cf. Rm 3, 21-30; Ps 129; Lc 11, 37-54). Cela signifie dépasser les tentations constantes du frère aîné (cf. Lc 15, 25-32) et des ouvriers jaloux (cf. Mt 20, 1-16). Au contraire, cela signifie valoriser davantage les lois et les commandements créés pour l’homme et non vice-versa (cf. Mc 2, 27).
En ce sens, le juste repentir, les œuvres et les efforts humains prennent un sens plus profond, non comme prix du Salut qu’on ne peut pas acquérir, accompli gratuitement par le Christ sur la Croix, mais comme réponse à Celui qui nous a aimés le premier et nous a sauvés au prix de son sang innocent, tandis que nous étions encore pécheurs (cf. Rm 5, 6).
Le premier devoir de l’Église n’est pas celui de distribuer des condamnations ou des anathèmes mais il est celui de proclamer la miséricorde de Dieu, d’appeler à la conversion et de conduire tous les hommes au salut du Seigneur (cf. Jn 12, 44-50).
Le Bienheureux Paul VI, avec des paroles magnifiques, disait: «Nous pouvons donc penser que chacun de nos péchés ou fuite de Dieu allume en lui une flamme d’un plus intense amour, un désir de nous reprendre et de nous réinsérer dans son plan de salut […]. Dieu, dans le Christ, se révèle infiniment bon […]. Dieu est bon. Et non seulement en lui-même; Dieu est – nous le disons en pleurant – bon pour nous. Il nous aime, nous cherche, pense à nous, nous connaît, nous inspire et nous attend: Il sera – si l’on peut dire ainsi – heureux le jour où nous nous retournons et disons: Seigneur, dans ta bonté, pardonne-moi. Voici, donc, notre repentir devenir la joie de Dieu»5
Saint Jean-Paul II affirmait également que: «L’Église vit d’une vie authentique lorsqu’elle professe et proclame la miséricorde […] et lorsqu’elle conduit les hommes aux sources de la miséricorde du Sauveur, dont elle est la dépositaire et la dispensatrice»6.
De même le Pape Benoit XVI disait: «La miséricorde est en réalité le noyau central du message évangélique, c’est le nom même de Dieu…Tout ce que l’Église dit et fait, manifeste la miséricorde que Dieu nourrit pour les hommes, donc pour nous. Lorsque l’Église doit rappeler une vérité méconnue, ou un bien trahi, elle le fait toujours poussée par l’amour miséricordieux, afin que les hommes aient la vie et l’aient en abondance (cf. Jn 10, 10)»7.
Sous cet éclairage, et grâce à ce temps de grâce que l’Église a vécu, en parlant et discutant de la famille, nous nous sentons enrichis mutuellement; et beaucoup d’entre nous ont expérimenté l’action de l’Esprit Saint, qui est le véritable protagoniste et artisan du Synode. Pour nous tous, le mot «famille» ne résonne plus comme avant, au point qu’en elle nous trouvons déjà le résumé de sa vocation et la signification de tout le chemin synodal8.
En réalité, pour l’Église, conclure le Synode signifie retourner à «marcher ensemble», réellement, pour porter partout dans le monde, dans chaque diocèse, dans chaque communauté et dans chaque situation, la lumière de l’Évangile, l’accolade de l’Église et le soutien de la miséricorde de Dieu!
Merci!
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vendredi 23 octobre 2015

Nous te rendons grâce...

Nous te rendons grâce,

Père fidèle et plein de tendresse,

de nous avoir donné Jésus ton Fils,

notre Seigneur et notre frère.

Son amour s'est manifesté

aux pauvres et aux malades, aux petits et aux pécheurs.

Il n'est resté indifférent à aucune détresse.

Sa vie et son message sont pour nous la preuve

que tu es un Dieu qui prends soin des hommes,

comme un père porte le souci de ses enfants.

C'est pourquoi nous te louons et nous te glorifions,

nous célébrons ta bonté et ta fidélité

et avec les anges et tous les saints

nous proclamons l'hymne de ta gloire...


Nous qui allons recevoir son corps et son sang,

fortifie-nous et renouvelle-nous à son image...

Donne à tous les membres de l'Église

de savoir lire les signes des temps

et de grandir dans la fidélité à l'Évangile.

Rends-nous attentifs à tous les hommes

afin que nous partagions dans la charité

leurs tristesses et leurs angoisses,

leurs espérances et leurs joies

et que nous leur montrions le chemin du salut.


jeudi 22 octobre 2015

JÉRUSALEM, ISRAËL
Le Christ, visage de la miséricorde du Père
7 octobre 2015, lettre pastorale du Patriarche Twal, à l’occasion du Jubilé de la miséricorde
Le bureau de presse du Patriarcat latin de Jérusalem a publié début octobre 2015 la lettre pastorale de S.B. le Patriarche Fouad Twal, patriarche latin de Jérusalem, à l’occasion du Jubilé extraordinaire de la miséricorde. En écho avec l’annonce du pape François d’une année jubilaire de la miséricorde, le patriarche développe trois parties dans sa lettre : « Première partie : “Année de grâce” ou “Année jubilaire” dans la Bible et la vie du Christ » ; « Deuxième partie : L’enjeu de la miséricorde » ; « Troisième partie : Présentation de la lettre apostolique sur le jubilé de la miséricorde ». Dans la deuxième partie, Mgr Twal s’arrête « sur les implications de la miséricorde divine dans notre vie à la lumière de la lettre apostolique du pape François ». Appuyant sa réflexion sur les textes bibliques de la parabole du fils prodigue et du bon Samaritain, il invite ses diocésains à dépasser les relations individuelles où la miséricorde « devrait embrasser la vie publique dans tous ses secteurs (politique, économique, culturel, social…), à tous les niveaux (international, régional et local) et dans toutes les directions (entre États, peuples, ethnies, religions et confessions…). Si la miséricorde devient une composante de l’action publique, elle sera alors capable de transférer le monde de la sphère des intérêts égoïstes à celle des valeurs humaines ». Il poursuit : « la semence de la miséricorde se trouve dans toutes les religions, et nous sommes tous responsables de la faire germer dans la vie publique et individuelle ».
Patriarchat latin de Jérusalem
22/10/15 - 14 H 36

mercredi 21 octobre 2015

"Cher ami, je souhaite et je prie que tu prospères à tous égards et que ton corps soit en aussi bonne santé que ton âme." 3 Jean 2

Au fait ! La personne dont je vous ai parlé en introduction, c'était moi hier, mais ça c'était avant ! "Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles." 2 Corinthiens 5.17

Une prière pour aujourd'hui

Père, fais de moi un homme ou une femme de prière. Au nom de Jésus. Amen.


samedi 17 octobre 2015

Car l’Esprit Saint vous enseignera à cette heure-là ce qu’il faudra dire. »


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris



Commentaire du jour :

Concile Vatican II
Décret sur l'activité missionnaire de l'Église « Ad Gentes », § 23-24 (trad. bréviaire)


Se prononcer pour le Christ par toute sa vie


La charge de répandre la foi incombe à tous les disciples du Christ, chacun pour sa part. Cependant, parmi ses disciples, le Christ Seigneur appelle toujours « ceux qu'il veut pour qu'ils soient avec lui et pour les envoyer prêcher » aux nations païennes (Mc 3,13-14)...


C'est le vrai Dieu qui appelle, mais l'homme doit lui répondre de telle manière qu' « en dehors de tout motif humain » (Ga 1,16) il s'attache tout entier au travail de l'Évangile. Or, cette réponse ne peut être donnée que si l'Esprit Saint y pousse et en donne la force. Car celui qui est envoyé entre dans la vie et la mission de celui qui « s'est dépouillé lui-même en prenant la condition de serviteur » (Ph 2,7). Le missionnaire doit donc être prêt à persévérer pour la vie dans sa vocation, « à renoncer à lui-même » et à « tout ce qu'il a possédé » jusque-là (Lc 14,26.33), et à « se faire tout à tous » (1Co 9,22).


Lorsqu'il annonce l'Évangile parmi les nations, il doit « faire connaître avec assurance le mystère du Christ qui l'a chargé d'être son ambassadeur » (Ep 6,19) ; en lui il doit parler avec toute l'audace nécessaire, sans rougir du scandale de la Croix. En suivant les traces de son Maître, qui est « doux et humble de cœur », il manifestera que le « joug de celui-ci est facile à porter, et son fardeau, léger » (Mt 11,29). En ayant une vie vraiment évangélique, une constance inlassable, de la patience, de la douceur, une charité loyale, il rendra témoignage à son Seigneur ; et cela, si c'est nécessaire, jusqu'à répandre son sang. Il obtiendra de Dieu force et courage pour découvrir que, dans toutes les détresses qui le mettent à l'épreuve, et dans la plus profonde pauvreté, il y a une joie immense.



Une vie simple, joyeuse et sereine

Une action pour aujourd'hui

La vie est compliquée. Mais je voudrais vous encourager à chercher le Seigneur de tout votre cœur et à faire ce à quoi il vous appelle. Vivez pleinement votre relation avec lui et découvrez toujours plus votre identité en Christ. Si vous vous laissez simplement diriger par le Saint-Esprit, votre vie sera remplie de paix et de joie.



           
 
 
 
 



          

           

vendredi 16 octobre 2015

La confiance à toute épreuve de Louis et Zélie Martin est une source d’inspiration pour de nombreux couples catholiques.

confiance !

Un conseil pour aujourd'hui

Dieu a des projets de paix (Jérémie 29.11), de salut (1 Timothée 2.3), de guérison, de restauration, de consolation (Ezéchiel 33.11). Attendez-vous à de grandes choses de sa part lorsque vous dirigez vos pensées vers les projets de Dieu.


mercredi 14 octobre 2015

« Apprenez de moi, car je suis doux et humble de cœur » (Mt 11,29)

mardi 13 octobre 2015

Une prière pour aujourd'hui

Si aujourd'hui vous êtes au cœur de la tempête, posez-vous la question suivante : "Est-ce le résultat d'une désobéissance envers Dieu ?" Si c'est le cas, repentez-vous et saisissez le salut offert par Dieu. Si ce n'est pas le cas, gardez les yeux fixés sur Jésus, il est votre protection.

Une prière pour aujourd'hui

Seigneur, en ce jour je veux te dire "oui". Me voici, envoie-moi. Amen.




dimanche 11 octobre 2015

« Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur » (Mt 6,21).  
Demeurez fidèle jusqu'à ce que Jésus revienne ou qu'il vous rappelle à lui.

samedi 10 octobre 2015

Une prière pour aujourd'hui

Seigneur, je suis tellement reconnaissant pour les dons particuliers que tu m'as donnés, et pour ton plan qui est de m'aider à réussir dans tous les domaines de ma vie. Donne-moi la force et la sagesse pour vivre aujourd'hui avec la joie et l'objectif à atteindre, et aide-moi à utiliser ces dons pour bénir et encourager les autres. Au nom de Jésus. Amen.

vendredi 9 octobre 2015

CONFIANCE...

Une prière pour aujourd'hui

Seigneur, malgré toutes mes imperfections, je te fais confiance. Ma vie est entre tes mains, amen.

mercredi 7 octobre 2015

  La prière nous introduit déjà dans le règne de Dieu




... Ce dont il s'agit est possible à l'âme, dès cet exil, avec la grâce de Dieu. Mais il reste vrai qu'elle ne peut pas l'atteindre parfaitement... car nous naviguons encore sur la mer de ce monde, et nous sommes toujours voyageurs. Il est des moments cependant où le Seigneur, nous voyant fatigués du chemin, met toutes nos puissances dans le calme et notre âme dans la quiétude. Il révèle alors clairement, par un certain avant-goût, quelle est la saveur de la récompense réservée à ceux qu'il introduit dans son royaume.



samedi 3 octobre 2015

Il m’a dit : « Cela m’aide à me détendre »

Le mois d'octobre est le mois du Rosaire. Aussi UMM vous propose cette année de dédier la Minute avec Marie de chaque jour de ce mois à la célébration du Rosaire, cette prière dont le pape Benoît XII (+1730) disait : "Le Rosaire est le remède souverain aux erreurs et aux vices."

3 octobre – Italie : Notre Dame des Grâces (1697) 

Il m’a dit : « Cela m’aide à me détendre »

« Le rosaire est la prière qui accompagne tout le temps ma vie. C’est aussi la prière des simples et des saints… C’est la prière de mon cœur ». C’est par ces mots que le pape François a préfacé le livre « Le Rosaire, prière du cœur » écrit par le Père Yoannis Lahzi Gaid ; un prêtre copte de rite catholique, qui depuis quelques mois, fait partie de son secrétariat particulier.

Le livre du Père Yoannis est sorti en langue arabe, il y a quelques années, et a déjà été diffusé à plus de 130 000 exemplaires. La particularité de cet opuscule est de permettre de prier le Rosaire selon les deux traditions, orientale et occidentale.

On sait combien le pape aime la Vierge Marie. Son attachement au rosaire n’est pas un secret : en mars dernier, à l’occasion du premier anniversaire de son pontificat, son secrétaire personnel à l’époque, avait déclaré au micro de Radio Vatican :

« Le pape ne perd pas une seule minute ! Il travaille infatigablement. Et quand il ressent le besoin de faire une petite pause, il ne ferme pas les yeux sans rien faire : il s’assied et récite son chapelet. Je pense qu’il en récite trois par jour. Et il m’a dit : «Cela m’aide à me détendre ». Puis, il reprend le travail ».

www.aleteia.org

Vivez audacieusement

Vivez audacieusement, rejoignez la mission et changez une destinée aujourd'hui. 

Une prière pour aujourd'hui

Mon Dieu, remplis-moi d'audace lorsque j'apporterai ton message aux autres. Je te remercie de me permettre de contribuer, dans une certaine mesure, à façonner la destinée d'une personne. Dans le nom de Jésus. Amen.

vendredi 2 octobre 2015

« Leurs anges aux cieux voient sans cesse la face de mon Père »

« Leurs anges aux cieux voient sans cesse la face de mon Père »


      « Gardez-vous de mépriser aucun de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient la face de mon Père qui est dans les cieux. » Par ces mots, le Christ nous dit à peu près ceci : Soyez attentifs, veillez à ne pas mépriser les hommes simples, pauvres ou faibles. Pour moi, je les tiens en très grande estime, à tel point que, pour les garder de tout mal, j'ai mis à leur service mes anges. Et quels anges ! N'allez pas croire qu'on puisse les comparer à des marmitons qui travailleraient dans ma cuisine. Non, ils sont les égaux des officiers de mon propre palais, car « ils voient sans cesse la face de mon Père qui est dans les cieux »...


      Or ces anges voient la face de Dieu pour plusieurs raisons. La première, c'est que les anges doivent offrir et présenter à Dieu les bonnes œuvres des hommes. Nous en avons un témoignage dans les paroles de Raphaël adressées à Tobie : « J'ai présenté ta prière au Seigneur » (Tb 12,12). On lit aussi dans l'Apocalypse : « Un ange vint se placer près de l'autel avec un encensoir d'or, et on lui donna beaucoup de parfums pour les offrir, avec les prières de tous les saints, sur l'autel d'or qui est devant le trône de Dieu » (8,3). Remarquons que cet autel est le cœur de l'homme vraiment fidèle à Dieu ; les anges se tiennent devant cet autel. Leur encensoir représente les sentiments d'allégresse avec lesquels ils recueillent les pensées, les prières, les paroles et les actions des hommes, pour les offrir, tout embrasées du feu de la charité, sur l'autel d'or qui se trouve devant le trône de Dieu. Et l'offrande monte vers le Fils, qui est dans le sein du Père. Il serait bon par conséquent que nous ayons toujours quelque bien à déposer dans l'encensoir des anges.

jeudi 1 octobre 2015

Prière en l'honneur de sainte Thérèse

Prière en l'honneur de sainte Thérèse
O notre Père des Cieux qui, par Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, voulez rappeler au monde l'Amour miséricordieux qui remplit votre Coeur et la confiance filiale qu'on doit avoir en vous, nous vous remercions humblement d'avoir comblé de tant de gloire Celle qui fut toujours votre enfant si fidèle, et de lui donner une puissance merveilleuse pour vous attirer chaque jour un très grand nombre d'âmes qui vous loueront éternellement.
Sainte « petite Thérèse », souvenez-vous de votre promesse de faire du bien sur la terre, répandez avec abondance votre pluie de roses sur ceux qui vous invoquent, et obtenez-nous de Dieu les grâces que nous attendons de sa bonté infinie.
O Dieu qui avez embrasé de votre Esprit d'Amour l'âme de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, accordez-nous de vous aimer, nous aussi, et de vous faire beaucoup aimer.
"Avec Marie, on tourne son cœur vers le mystère de Jésus. On place Jésus au cœur de notre vie, de notre temps, de nos villes, à travers la contemplation et la méditation de ses saints mystères de joie, de lumière, de douleur et de gloire."