mercredi 30 septembre 2015

Suivre le Christ sur la voie droite

Suivre le Christ sur la voie droite


Un jour, tous les moines sont venus voir Antoine et l'ont prié de leur adresser la parole. Il leur dit : ... Nous voilà commencés, nous nous sommes engagés sur la route de la vertu. Maintenant marchons toujours en avant afin d'atteindre le but (Ph 3,14). Que personne ne regarde en arrière comme la femme de Lot (Gn 19,26), car le Seigneur a dit : « Quiconque a mis la main à la charrue et regarde en arrière est inapte au Royaume des cieux ». Regarder en arrière n'est rien d'autre que changer son propos et reprendre goût aux choses de ce monde-ci. Ne craignez pas quand vous entendez parler de vertu et ne vous étonnez pas de ce mot. Car la vertu n'est pas loin de nous : elle ne prend pas naissance hors de nous ; c'est notre affaire à nous, et la chose est simple pourvu que nous le voulions.


Les païens quittent leur pays et traversent la mer pour étudier les lettres. Nous, nous n'avons pas besoin de quitter notre pays pour aller au Royaume des cieux, ni de passer la mer pour acquérir la vertu. Car le Seigneur a dit : « Le Royaume des cieux est au-dedans de vous » (Lc 17,21). La vertu n'a donc besoin que de notre vouloir, puisqu'elle est en nous et prend naissance de nous. Si l'âme conserve sa partie intelligente conforme à sa nature, la vertu prend naissance. L'âme est dans son état naturel quand elle demeure comme elle a été faite ; elle a été faite très belle et très droite. C'est pourquoi Josué, fils de Noun, disait au peuple en l'exhortant : « Rendez droit votre cœur devant le Seigneur, le Dieu d'Israël » (Jos 24,23). Et Jean Baptiste : « Rendez droits vos chemins » (Mt 3,3). Être droite, pour l'âme, c'est garder son intelligence, comme elle a été créée. Au contraire, quand elle dévie et se détourne de son état naturel, alors on parle de vice de l'âme. La chose n'est donc pas difficile... Si nous devions chercher la chose au dehors, ce serait vraiment difficile, mais puisqu'elle est en nous, gardons-nous des pensées impures et conservons notre âme pour le Seigneur, comme si nous avions reçu un dépôt, afin qu'il reconnaisse son œuvre, trouvant notre âme telle qu'il l'a faite.




mardi 29 septembre 2015

"Ma mission est de Le faire aimer en débordant d'amour, il faut donc que je saisisse toutes les occasions pour répandre lumière et vérité."
-Marthe Robin

lundi 28 septembre 2015

La sainteté des anges

La sainteté des anges


« Les cieux ont été affermis par la parole du Seigneur, et toute leur armée par le souffle de sa bouche   » (Ps 32,6)... Comment ne pas penser à la Trinité : le Seigneur qui ordonne, la Parole qui crée, le Souffle qui affermit ? Que veut dire « affermir », sinon parfaire en sainteté, ce mot désignant sûrement le fait d'être solidement fixé dans le bien ? Mais sans l'Esprit Saint, pas de sainteté, car les puissances des cieux ne sont pas saintes par leur propre nature, autrement elles ne diffèreraient pas de l'Esprit Saint ; elles tiennent de l'Esprit la mesure de leur sainteté chacune à son rang...


La substance des anges est peut-être un souffle aérien ou un feu immatériel. Un psaume dit : « Tu prends les vents pour messagers, pour serviteurs un feu de flamme » (Ps 103,4). C'est pourquoi, ils peuvent être dans un lieu et ensuite devenir visibles sous un aspect corporel à ceux qui en sont dignes. Mais la sainteté...leur est communiquée par l'Esprit. Et les anges se maintiennent dans leur dignité en persévérant dans le bien, en gardant leur choix ; ils choisissent de ne jamais s'écarter du vrai bien...


Comment les anges diraient-ils : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux » (Lc 2,14) sinon par l'Esprit ? En effet, « personne ne peut dire : ' Jésus est le Seigneur, ' sinon dans l'Esprit Saint, et personne, s'il parle dans l'Esprit de Dieu, ne dit : ' Maudit soit Jésus ' » (1Co 12,3). Voilà ce qu'auront dit précisément les esprits mauvais, adversaires de Dieu...dans leur libre-arbitre... Toutes les puissances invisibles (Col 1,16), pourraient-elles mener une vie bienheureuse si elles ne voyaient pas sans cesse la face du Père qui est dans les cieux ? (Mt 18,10) Or, cette vision-là, on ne peut pas l'avoir sans l'Esprit... Les séraphins diraient-ils : « Saint, Saint, Saint » (Is 6,3) si l'Esprit ne leur avait pas appris cette louange ? Si tous ses anges et toutes ses puissances célestes louent Dieu (Ps 148,2), si des milliers de milliers d'anges et d'innombrables myriades de ministres se tiennent près de lui, c'est dans la force de l'Esprit Saint qui régit toute cette harmonie céleste et indicible dans le service de Dieu et dans l'accord mutuel.

Sourire, c'est déjà rayonner de joie !

amen !!!

Sourire, c'est déjà rayonner de joie !


Vous avez lu l’appel lumineux du Pape François hier. Nous vous invitons, comme première démarche missionnaire, à manifester votre joie par une photo de vous ! Nous vous proposons de nous envoyer maintenant une photo de vous évoquant la joie comme celle de l'équipe Hozana que vous voyez ci-dessus !
Il vous suffit de vous prendre en photo joyeux(se), seul(e), en famille ou en ami.
Pour nous l'envoyer, c'est très simple ! Rédigez un commentaire ici et ajoutez votre photo : toutes les photos seront visibles dans notre tableau "Joie" sur Pinterest : Tableau Joie sur Pinterest d'Hozana "

Encore merci et à très bientôt sur Hozana !


En union de prière !

dimanche 27 septembre 2015

Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur.

3. Une méditation …


 ... par le Pape François

Commentaire du jour :

Saint Clément de Rome, pape de 90 à 100 environ
Lettre aux Corinthiens 7-9 (trad. bréviaire)


La grâce de la conversion


Fixons nos regards sur le sang du Christ, et comprenons combien il a de valeur pour son Père, puisque, répandu pour notre salut, il a procuré au monde entier la grâce de la conversion. Parcourons toutes les générations et nous apprendrons que, de génération en génération, le Maître « a offert la possibilité de se convertir » (Si 17,24) à tous ceux qui voulaient se retourner vers lui. Noé a prêché la conversion, et ceux qui l'ont écouté ont été sauvés. Jonas a annoncé aux Ninivites la destruction qui les menaçait : ils se sont repentis de leurs péchés, ils ont apaisé Dieu par leurs supplications et ils ont obtenu le salut, bien qu'étrangers à Dieu.


Les ministres de la grâce de Dieu, sous l'inspiration de l'Esprit Saint, ont parlé de la conversion. Le Maître de l'univers lui-même en a parlé avec serment : « Aussi vrai que je suis vivant, parole du Seigneur, je ne veux pas la mort du pécheur, mais sa conversion » (Ez 18,23). Et il ajoute cette sentence pleine de bonté : « Convertissez-vous, maison d'Israël, de votre iniquité. Dis aux fils de mon peuple : Vos péchés monteraient-ils de la terre jusqu'au ciel, seraient-ils plus rouges que l'écarlate et plus noirs qu'un vêtement de deuil, si vous vous retournez vers moi de tout votre cœur et me dites : ' Père ! ' je vous écouterai comme un peuple saint » (cf Is 1,16-20; Ne 9,1)...


Voilà ce qu'il a fixé par sa volonté toute-puissante, parce qu'il veut faire participer tous ceux qu'il aime à la conversion. C'est pourquoi nous devons obéir à sa magnifique et glorieuse volonté. Implorons humblement sa miséricorde et sa bonté, prosternons-nous, tournons-nous vers sa compassion en abandonnant les préoccupations frivoles, la discorde et la jalousie qui conduisent à la mort.

Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur.

3. Une méditation …


 ... par le Pape François


Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur.

« Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur. Je le répète: Réjouissez-vous! Une invitation qui secoue fortement notre vie. Réjouissez-vous, nous dit Paul avec une force presqu’impérative. Une invitation qui fait écho au désir d’une vie pleine, d’une vie ayant un sens, d’une vie joyeuse, que tous nous nourrissons. C’est comme si Paul avait la capacité d’entendre chacun de nos cœurs et prêtait sa voix à ce que nous sentons, à ce que nous vivons. Il y a quelque chose en nous qui nous invite à la joie et à ne pas nous satisfaire de placébos qui simplement veulent nous apaiser.

Mais d’autre part, nous vivons les tensions de la vie quotidienne. Les situations qui semblent remettre en cause cette invitation sont nombreuses. La dynamique même à laquelle souvent nous sommes soumis semble nous conduire à une résignation triste qui peu à peu se transforme en accoutumance, avec une conséquence fatale: l’anesthésie du cœur.

Voulons-nous, oui ou non, que la résignation soit le moteur de notre vie ? Voulons-nous, oui ou non, que l’accoutumance s’empare de nos vies ? Pour cela, nous pouvons nous demander: comment faire pour que notre cœur ne s’anesthésie pas? Comment approfondir la joie de l’Evangile dans les différentes situations de notre vie?

Jésus l’a dit aux disciples d’hier et il nous le dit aujourd’hui: allez, annoncez! La joie de l’Evangile, on l’expérimente, on la connaît et on la vit uniquement en la donnant, en se donnant.

L’esprit du monde nous invite au conformisme, au confort ; face à cet esprit humain, il faut reprendre conscience que nous avons besoin les uns des autres, que nous avons une res­ponsabilité vis-à-vis des autres et du monde. La responsabilité d’annoncer le message de Jésus. En effet, la source de notre joie naît de ce désir inépuisable d’offrir la miséricorde, fruit de l’expérience de l’infinie miséricorde du Père et de sa force communicative.

La joie, le chrétien l’expérimente dans la mission: allez vers les peuples de toutes les nations.

La joie, le chrétien la trouve dans une invitation: allez et annoncez.

Par conséquent, sortons, sortons pour offrir à tous la vie de Jésus Christ. Le peuple de Dieu sait s’engager parce qu’il est disciple de Celui qui s’est agenouillé devant les siens pour leur laver les pieds.

Homélie du Pape pour la canonisation de Saint Junipero Serra - 23 septembre 2015.



4. Une action : partageons la joie de notre Dieu d'humour !


C'est le dernier jour de cette retraite en ligne de la rentrée 2015 ! Comme proposition d'action, c'est un double appel à la mission :
- Très pragmatiquement : venez participer au Congrès Mission actuellement à Paris, pour ceux qui le peuvent.
- Pour l'année qui vient : engagez-vous auprès des plus pauvres pour rayonner de la JOIE de Jésus !!!



+ Pense à réciter la Prière des fous !


>>> que tu retrouves à l'onglet Prière proposée <<<



En union de prière !


samedi 26 septembre 2015

3. Une (longue) méditation …


 ... de saint François d'Assise


 

La joie parfaite selon saint François d’Assise

Comme saint François allait une fois de Pérouse à Sainte Marie des Anges avec frère Léon, au temps d'hiver, et que le froid très vif le faisait beaucoup souffrir, il parla ainsi :

« O frère Léon, alors même que les frères Mineurs donneraient en tout pays un grand exemple de sainteté et de bonne édification, néanmoins écris et note avec soin que là n'est pas point la joie parfaite. »

Et saint François allant plus loin l'appela une seconde fois :

« O frère Léon, quand même le frère Mineur ferait voir les aveugles, redresserait les contrefaits, chasserait les démons, rendrait l'ouïe aux sourds, la marche aux boiteux, la parole aux muets et, ce qui est un plus grand miracle, ressusciterait des morts de quatre jours, écris qu'en cela n'est point la joie parfaite. »

Marchant encore un peu, saint François s'écria d'une voix forte :

« O frère Léon, si le frère Mineur savait toutes les langues et toutes les sciences et toutes les Écritures, en sorte qu'il saurait prophétiser et révéler non seulement les choses futures, mais même les secrets des consciences et des âmes, écris qu'en cela n'est point la joie parfaite. »

Allant un peu plus loin, saint François appela encore d'une voix forte :

« O frère Léon, petite brebis de Dieu, quand même le frère parlerait la langue des Anges et saurait le cours des astres et les vertus des herbes, et que lui seraient révélés tous les trésors de la terre, et qu'il connaîtrait les vertus des oiseaux et des poissons, de tous les animaux et des hommes, des arbres et des pierres, des racines et des eaux, écris qu'en cela n'est point la joie parfaite. »

Et faisant encore un peu de chemin, saint François appela d'une voix forte :

« O frère Léon, quand même le frère Mineur saurait si bien prêcher qu'il convertirait tous les fidèles à la foi du Christ, écris que là n'est point la joie parfaite. »

Et comme de tels propos avaient bien duré pendant deux milles, frère Léon, fort étonné, l'interrogea et dit :

« Père, je te prie, de la part de Dieu, de me dire où est la joie parfaite. »

Saint François lui répondit :

« Quand nous arriverons à Sainte-Marie-des-Anges, ainsi trempés par la pluie et glacés par le froid, souillés de boue et tourmentés par la faim, et que nous frapperons à la porte du couvent, et que le portier viendra en colère et dira : « Qui êtes-vous ? » et que nous lui répondrons : « Nous sommes deux de vos frères », et qu'il dira : « Vous ne dites pas vrai, vous êtes même deux ribauds qui allez trompant le monde et volant les aumônes des pauvres ; allez-vous en » ; et quand il ne nous ouvrira pas et qu'il nous fera rester dehors dans la neige et la pluie, avec le froid et la faim, jusqu'à la nuit, alors si nous supportons avec patience, sans trouble et sans murmurer contre lui, tant d'injures et tant de cruauté et tant de rebuffades, et si nous pensons avec humilité et charité que ce portier nous connaît véritablement, et que Dieu le fait parler contre nous, ô frère Léon, écris que là est la joie parfaite.
Et si nous persistons à frapper, et qu'il sorte en colère, et qu'il nous chasse comme des vauriens importuns, avec force vilenies et soufflets en disant : « Allez-vous-en d'ici misérables petits voleurs, allez à l'hôpital, car ici vous ne mangerez ni ne logerez », si nous supportons tout cela avec patience, avec allégresse, dans un bon esprit de charité, ô frère Léon, écris que là est la joie parfaite.
Et si nous, contraints pourtant par la faim, et par le froid, et par la nuit, nous frappons encore et appelons et le supplions pour l'amour de Dieu, avec de grands gémissements, de nous ouvrir et de nous faire cependant entrer, et qu'il dise, plus irrité encore : « ceux-ci sont des vauriens importuns, et je vais les payer comme ils le méritent », et s'il sort avec un bâton noueux, et qu'il nous saisisse par le capuchon, et nous jette par terre, et nous roule dans la neige, et nous frappe de tous les noeuds de ce bâton, si tout cela nous le supportons patiemment et avec allégresse, en pensant aux souffrances du Christ béni, que nous devons supporter pour son amour, ô frère Léon, écris qu'en cela est la joie parfaite.
Et enfin, écoute la conclusion, frère Léon : au-dessus de toutes les grâces et dons de l'Esprit-Saint que le Christ accorde à ses amis, il y a celui de se vaincre soi-même, et de supporter volontiers pour l'amour du Christ les peines, les injures, les opprobres et les incommodités ; car de tous les autres dons de Dieu nous ne pouvons-nous glorifier, puisqu'ils ne viennent pas de nous, mais de Dieu, selon que dit l'Apôtre : « Qu'as-tu que tu ne l'aies reçu de Dieu ? et si tu l'as reçu de lui, pourquoi t'en glorifies-tu comme si tu l'avais de toi-même ? ». Mais dans la croix de la tribulation et de l'affliction, nous pouvons nous glorifier parce que cela est à nous, c'est pourquoi l'Apôtre dit : « Je ne veux point me glorifier si ce n'est dans la croix de Notre-Seigneur Jésus Christ. »




4. Une action : partageons la joie de notre Dieu d'humour !


Oserions-nous te proposer d’aller te confesser ...?



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En union de prière !


vendredi 25 septembre 2015

3. Une méditation …


 ... par Jean VANIER


"Je découvre de plus en plus l’Evangile de Jean, celui qui s’appelait le disciple aimé – non pour dire qu’il était le plus aimé parmi les disciples mais que son identité profonde – comme l’identité de chacun de nous – était d’être aimé et appelé par Jésus, par Dieu. Je dis « découvrir » car c’est vrai que les découvertes ouvrent le cœur et l’esprit. Peut-être a-t-on trop souvent voulu «enseigner» Jésus, former l’esprit, transmettre des idées claires, au lieu d’aider aussi les gens à découvrir Dieu progressivement dans un cœur à cœur à travers la parole, l’expérience de la vie quotidienne, des moments de prière et de rencontres diverses.

La découverte est comme une surprise, une révélation, une ouverture vers une nouvelle rencontre avec Jésus qui donne paix et joie. Cette rencontre n’est pas quelque chose que nous pouvons fabriquer par nous-mêmes ; elle nous est donnée dans un instant heureux et bienheureux.

Au fond, c’est Dieu qui se laisse découvrir plutôt que moi qui le découvre."

Lettre de Jean VANIER, fondateur de l'Arche, septembre 2011.



4. Une action : partageons la joie de notre Dieu d'humour !


La vraie joie, nous y approchons. Que diriez-vous de prendre un vrai temps de prière avec quelqu’un? Un ami, un proche, un parent, un voisin…



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En union de prière !


Sa condamnation est l'acte ultime de la non-compréhension, du rejet de cet Incompris dans une zone de silence. confiance en Jésus...

jeudi 24 septembre 2015

 car seule cette grâce mesure la grandeur de la miséricorde que Dieu accorde aux hommes qu’il aime. »

mercredi 23 septembre 2015

« la persévérance produit la valeur »

« la persévérance produit la valeur » comme le dit l'apôtre Paul (Rm 5,4). Dieu les soumet à l'épreuve, non pour les connaître, mais pour les amener à la consommation de la vertu. Ainsi, purifiés par le feu et dégagés de tout alliage avec les vices de la chair, ils pourront resplendir de l'éclat d'une innocence qui a fourni ses preuves.

Les langages de l'amour

3. Une méditation …


 ... par Gary CHAPMAN


Les langages de l'amour

Les gens parlent différents langages d’amour.
Votre langage d’amour et celui de votre conjoint peuvent être aussi différents que le chinois l’est du français. Vous avez beau essayer d’exprimer votre amour en français, si votre conjoint ne comprend que le chinois, vous ne saurez jamais que vous vous aimez.


Après 20 ans d’expérience de conseil conjugal, je suis arrivé à la conclusion qu’il existe 5 moyens principaux pour exprimer l’amour, 5 langues sentimentales que parlent et comprennent les êtres humains. […]
-       les paroles valorisantes (paroles d’encouragement, paroles aimables, humbles…) ;
-       les moments de qualité (dialogue de qualité, être ensemble, activité de qualité…) ;
-       les cadeaux (les présents, en argent, le don de soi…) ;
-       les services rendus (ah, ces poubelles...!!) ;
-       le contact physique (la tendresse, les relations intimes, les caresses…)

Mais il existe de nombreux dialectes. A l’intérieur d’une langue, le nombre de façon d’exprimer l’amour n’est limité que par notre manque d’imagination. L’important est de parler la langue sentimentale que comprend mon conjoint.
Lorsque nous aurons découvert les 5 langages sentimentaux de base, que nous aurons discerné celui qui correspond à notre première langue, que nous aurons identifié le langage sentimental de notre conjoint, et appris à le parler, je pense que nous aurons trouvé la clé d’un mariage d’amour durable. […]

Nous devons faire l’effort d’apprendre une deuxième langue d’amour. Nous ne pouvons compter sur notre langue natale si notre conjoint ne la comprend pas. Si nous voulons que l’autre sente l’amour que nous lui communiquons, nous devons exprimer cet amour dans son langage d’amour à lui ou à elle.

Gary CHAPMAN est pasteur et conseiller conjugal. Auteur entre autre des 5 langages de l'amour

 

4. Une action : partageons la joie de notre Dieu d'humour !


Nous te proposons aujourd'hui de prendre 15 minutes dans la journée pour découvrir ton langage de l'amour ainsi que celui ou celle que tu aimes le plus au monde !

Puis, parle-lui son langage et pose un acte en conséquence ! ;-)

 

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En union de prière !


mardi 22 septembre 2015

 « Quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, ma sœur et ma mère. » (Mt 12,50)

La joie du don

3. Une méditation …


 ... par la bienheureuse Mère Teresa


La joie du don

La joie est prière.
La joie est force.
La joie est amour.
Elle est comme un filet d’amour qui prend les âmes.

Dieu aime le donateur joyeux.
Qui donne joyeusement donne le plus.
Il n’y a pas meilleure façon de manifester notre gratitude à Dieu et aux hommes que d’accepter tout avec joie.
Un cœur brûlant d’amour est nécessairement un cœur joyeux.
Ne laissez jamais la tristesse vous envahir au point de vous faire oublier la joie du Christ ressuscité.

Nous éprouvons tous l’ardent désir du Ciel où se trouve Dieu, or il est en notre pouvoir à tous d’être dès maintenant au Ciel avec lui – d’être heureux avec lui en cet instant même.
Mais ce bonheur immédiat avec lui veut dire :

aimer comme ll aime,
aider comme Il aide,
donner comme Il donne,
servir comme Il sert,
secourir comme il secourt,
demeurer avec lui toutes les heures du jour, et toucher son être même sous sa figure d’affliction.

Mère Teresa, La joie du Don, Editions Livre de Vie.



4. Une action : partageons la joie de notre Dieu d'humour !


Et si nous faisions un vrai cadeau. Un cadeau qui demande un vrai investissement. En privilégiant la relation sur l’activité, de don de soi sur le don d’un objet, en offrant de son temps à un prochain : mon épouse, un enfant, un voisin, un collègue…



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En union de prière !


dimanche 20 septembre 2015

Rien qu'aujourd'hui...

 ... par saint Jean XXIII


Décalogue de la sérénité de saint Jean XXIII

« 1 - Rien qu'aujourd'hui, j'essaierai de vivre exclusivement la journée, sans tenter de résoudre le problème de toute ma vie.
2 - Rien qu'aujourd'hui, je porterai mon plus grand soin à mon apparence courtoise et à mes manières ; je ne critiquerai personne et ne prétendrai redresser ou discipliner personne, si ce n'est moi-même.
3 - Rien qu'aujourd'hui, je serai heureux, dans la certitude d'avoir été créé pour le bonheur, non seulement dans l'autre monde, mais également dans celui-ci.
4 - Rien qu'aujourd'hui, je m'adapterai aux circonstances, sans prétendre que celles-ci se plient à tous mes désirs.
5 - Rien qu'aujourd'hui, je consacrerai dix minutes à la bonne lecture, en me souvenant que, comme la nourriture est nécessaire à la vie du corps, la bonne lecture est nécessaire à la vie de l'âme.
6 - Rien qu'aujourd'hui, je ferai une bonne action et n'en parlerai à personne.
7 - Rien qu'aujourd'hui, je ferai au moins une chose que je n'aurai pas envie de faire ; et si j'étais offensé, j'essaierai que personne ne le sache.
8 - Rien qu'aujourd'hui, j'établirai un programme détaillé de ma journée. Je ne m'en acquitterai peut-être pas entièrement, mais je le rédigerai. Et je me garderai de deux calamités : la hâte et l'indécision.
9 - Rien qu'aujourd'hui, je croirai fermement - même si les circonstances prouvent le contraire - que la bonne Providence de Dieu s'occupe de moi comme si rien d'autre n'existait au monde.
10 - Rien qu'aujourd'hui, je ne craindrai pas. Et tout spécialement, je n'aurai pas peur d'apprécier ce qui est beau et de croire en la bonté. Je suis en mesure de faire le bien pendant douze heures, ce qui ne saurait pas me décourager, comme si je pensais que je dois le faire toute ma vie durant. »

samedi 19 septembre 2015

paix et confiance

... Mais, selon la parole du Seigneur, « ils portent du fruit par leur constance » en supportant humblement ces épreuves, si bien qu'après avoir peiné, ils seront invités à entrer dans la paix du ciel.

vendredi 18 septembre 2015

Ô Créateur ineffable,

Ô Créateur ineffable,
Vous êtes la vraie source de la lumière et de la sagesse.
Daignez répandre Votre clarté sur l’obscurité de mon intelligence ;
Chassez de moi les ténèbres du péché et de l’ignorance.
Donnez-moi :
La pénétration pour comprendre,
La mémoire pour retenir,
La méthode et la facilité pour apprendre,
La lucidité pour interpréter,
Une grâce abondante pour m’exprimer,
Aidez le commencement de mon travail,
Dirigez en le progrès,
Couronnez en la fin,
Par Jésus-Christ Notre Seigneur,
Amen.

Voir le commentaire ci-dessous, ou cliquer ici
Saint Jean-Paul II :
« Les Douze étaient avec lui, ainsi que des femmes »

Première lettre de saint Paul Apôtre à Timothée 6,2c-12.

Bien-aimé, voilà ce que tu dois enseigner et recommander.
Si quelqu’un donne un enseignement différent, et n’en vient pas aux paroles solides, celles de notre Seigneur Jésus Christ, et à l’enseignement qui est en accord avec la piété,
un tel homme est aveuglé par l’orgueil, il ne sait rien, c’est un malade de la discussion et des querelles de mots. De tout cela, il ne sort que jalousie, rivalité, blasphèmes, soupçons malveillants,
disputes interminables de gens à l’intelligence corrompue, qui sont coupés de la vérité et ne voient dans la religion qu’une source de profit.
Certes, il y a un grand profit dans la religion si l’on se contente de ce que l’on a.
De même que nous n’avons rien apporté dans ce monde, nous n’en pourrons rien emporter.
Si nous avons de quoi manger et nous habiller, sachons nous en contenter.
Ceux qui veulent s’enrichir tombent dans le piège de la tentation, dans une foule de convoitises absurdes et dangereuses, qui plongent les gens dans la ruine et la perdition.
Car la racine de tous les maux, c’est l’amour de l’argent. Pour s’y être attachés, certains se sont égarés loin de la foi et se sont infligé à eux-mêmes des tourments sans nombre.
Mais toi, homme de Dieu, fuis tout cela ; recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la persévérance et la douceur.
Mène le bon combat, celui de la foi, empare-toi de la vie éternelle ! C’est à elle que tu as été appelé, c’est pour elle que tu as prononcé ta belle profession de foi devant de nombreux témoins.

mercredi 16 septembre 2015

... par saint Jean-Paul 2


A la rencontre de l'homme

Saint Jean-Baptiste distingue clairement l'Avent de préparation de l'Avent de la rencontre. L'Avent de la rencontre est œuvre de l'Esprit-Saint, c'est le baptême de l'Esprit-Saint. C'est Dieu lui-même qui va à la rencontre de l'homme ; il veut le rencontrer au cœur même de son humanité, confirmant ainsi cette humanité comme éternelle image de Dieu et, en même temps, la rendant nouvelle.

Les paroles de saint Jean-Baptiste au sujet du Messie, du Christ : « Il vous baptisera dans l’Esprit-Saint » (Luc 3.16) touchent les racines mêmes de la rencontre de l’homme avec le Dieu vivant, rencontre qui s’accomplit dans le Christ et s’inscrit dans le processus de l’ « attente des nouveaux cieux et de la terre nouvelle où habitera la justice » (2 Pierre 3,13) : avent du monde futur. En Lui, Dieu a assumé concrètement la figure du Pasteur annoncé par les Prophètes, et en même temps, est devenu l’Agneau qui efface les péchés du monde ; c’est pourquoi Il s’est mêlé à la foule qui suivait Jean le Baptiste pour recevoir de ses mains le baptême de pénitence et devenir solidaire de tout homme, pour lui transmettre ensuite, à son tour, l’Esprit-Saint, cette Puissance divine qui nous donne la capacité de nous libérer du péché et de coopérer à la préparation et à la venue « des cieux nouveaux et de la terre nouvelle ».

mardi 15 septembre 2015

« Nous avons été rachetés d'un grand prix ! »

Saint Bonaventure (1221-1274), franciscain, docteur de l'Église
Les sept dons du Saint Esprit, conférence VI, 15-21 (trad. Orval)


« Voici ta mère »


    La glorieuse Vierge a payé notre rançon en femme courageuse et aimante d'un amour de compassion pour le Christ. Il est dit dans l'évangile de saint Jean : « La femme, lorsqu'elle enfante, a de la tristesse parce que son heure est venue » (16,21). La bienheureuse Vierge n'a pas éprouvé les douleurs qui précèdent l'enfantement, parce qu'elle n'a pas conçu à la suite du péché comme Ève contre qui la malédiction a été portée ; sa douleur, elle l'a eue après : elle a enfanté à la croix. Les autres femmes connaissent la douleur du corps, elle a éprouvé celle du cœur. Les autres souffrent d'une altération physique ; elle, de compassion et de charité.


    La bienheureuse Vierge a payé notre rançon en femme courageuse et aimante d'un amour de miséricorde pour le monde, et surtout pour le peuple chrétien. « Une femme peut-elle oublier son nourrisson et être sans pitié pour le fruit de ses entrailles ? » (Is 49,15) Ceci peut nous faire comprendre que le peuple chrétien tout entier est issu des entrailles de la glorieuse Vierge. Quelle Mère aimante nous avons ! Modelons-nous sur notre Mère et suivons-la dans son amour. Elle a eu compassion des âmes à tel point qu'elle a compté pour rien toute perte matérielle et toute souffrance physique. « Nous avons été rachetés d'un grand prix ! » (1Co 6,20)

lundi 14 septembre 2015

Bienheureux...

... de Joseph FOLLIET


Bienheureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes, ils n'ont pas fini de s'amuser.
Bienheureux ceux qui savent distinguer une montagne d'une taupinière, il leur sera épargné bien des tracas.
Bienheureux ceux qui sont capables de se reposer et de dormir sans chercher d'excuses : ils deviendront sages.
Bienheureux ceux qui savent se taire et écouter : ils en apprendront des choses nouvelles.
Bienheureux ceux qui sont assez intelligents pour ne pas se prendre au sérieux : ils seront appréciés de leur entourage.

Heureux êtes-vous si vous savez regarder sérieusement les petites choses et paisiblement les choses sérieuses : vous irez loin dans la vie.
Heureux êtes-vous si vous savez admirer un sourire et oublier une grimace : votre route sera ensoleillée.
Heureux êtes-vous si vous êtes capables de toujours interpréter avec bienveillance les attitudes d'autrui même si les apparences sont contraires : vous passerez pour des naïfs, mais la charité est à ce prix.
Bienheureux ceux qui pensent avant d'agir et qui prient avant de penser : ils éviteront bien des bêtises.

Heureux êtes-vous si vous savez vous taire et sourire même lorsque on vous coupe la parole, lorsque on vous contredit ou qu'on vous marche sur les pieds : l'Evangile commence à pénétrer votre coeur.
Bienheureux surtout vous qui savez reconnaître le Seigneur en tous ceux que vous rencontrez : vous avez trouvé la vraie lumière, vous avez trouvé la véritable sagesse.

jeudi 10 septembre 2015

« Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux »

« Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux »

Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens 3,12-17.
Frères, puisque vous avez été choisis par Dieu, que vous êtes sanctifiés, aimés par lui, revêtez-vous de tendresse et de compassion, de bonté, d’humilité, de douceur et de patience.
Supportez-vous les uns les autres, et pardonnez-vous mutuellement si vous avez des reproches à vous faire. Le Seigneur vous a pardonné : faites de même.
Par-dessus tout cela, ayez l’amour, qui est le lien le plus parfait.
Et que, dans vos cœurs, règne la paix du Christ à laquelle vous avez été appelés, vous qui formez un seul corps. Vivez dans l’action de grâce.
Que la parole du Christ habite en vous dans toute sa richesse ; instruisez-vous et reprenez-vous les uns les autres en toute sagesse ; par des psaumes, des hymnes et des chants inspirés, chantez à Dieu, dans vos cœurs, votre reconnaissance.
Et tout ce que vous dites, tout ce que vous faites, que ce soit toujours au nom du Seigneur Jésus, en offrant par lui votre action de grâce à Dieu le Père.
                   
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Notre Seigneur et Dieu Jésus Christ, montrant l'amour qu'il nous porte, a souffert pour l'humanité tout entière et a donné l'espérance de la résurrection à tous également, même si chacun, par ses œuvres, appelle sur lui la gloire ou le châtiment.

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mercredi 9 septembre 2015

« Bienheureux les pauvres...

« Heureux, vous les pauvres... Heureux, vous qui pleurez »


   « Bienheureux les pauvres. » Les pauvres ne sont pas tous bienheureux ; car la pauvreté est une chose neutre : il peut y avoir de bons et de méchants pauvres... Bienheureux le pauvre qui a crié et que le Seigneur a exaucé (Ps 33,7) : pauvre de fautes, pauvre de vices, le pauvre chez qui le prince de ce monde n'a rien trouvé (Jn 14,30), pauvre à l'imitation de ce Pauvre qui, étant riche, s'est fait pauvre pour nous (2Co 8,9). C'est pourquoi Matthieu donne l'explication complète : « Bienheureux les pauvres en esprit », car le pauvre en esprit ne se gonfle pas, ne s'exalte pas en sa pensée tout humaine. Telle est donc la première béatitude.


   [« Bienheureux les doux » écrit Matthieu ensuite.] Ayant laissé tout péché..., étant content de ma simplicité, dénué de mal, il me reste à modérer mon caractère. A quoi me sert-il de manquer des biens du monde si je ne suis pas doux et tranquille ? Car suivre le droit chemin, c'est bien entendu suivre celui qui dit : « Apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur » (Mt 11,29)...


    Cela fait, souvenez-vous que vous êtes pécheur : pleurez vos péchés, pleurez vos fautes. Et il est bien que la troisième béatitude soit pour ceux qui pleurent leurs péchés, car c'est la Trinité qui pardonne les péchés. Purifiez-vous donc par vos larmes et lavez-vous par vos pleurs. Si vous pleurez sur vous-mêmes, un autre n'aura pas à vous pleurer... Chacun a ses morts à pleurer ; nous sommes morts quand nous péchons... Que celui qui est pécheur pleure donc sur lui-même et se reprenne, afin de devenir juste, car « le juste s'accuse lui-même » (Pr 18,17).

lundi 7 septembre 2015

Je n'ai mon repos qu'en Dieu seul

Psaume 62(61),6-7.9.
Je n'ai mon repos qu'en Dieu seul ;
oui, mon espoir vient de lui.
Lui seul est mon rocher, mon salut,
ma citadelle : je reste inébranlable.

Comptez sur lui en tous temps,
vous, le peuple.
Devant lui épanchez votre cœur :
Dieu est pour nous un refuge.

dimanche 6 septembre 2015

Soyez pleinement satisfait
 Par Joël Osteen   82 commentaires  
       
 

"Heureux ceux qui aspirent de toutes leurs forces à vivre comme Dieu le demande, car ils seront pleinement satisfaits." Matthieu 5.6 
Dieu aspire à déverser sa bénédiction abondante sur chaque domaine de votre vie. Il veut que vous viviez pleinement satisfait.

Les objets qui se disputent votre attention sont légion dans ce monde, mais aucun n'est de nature à vous satisfaire.
Si vous avez faim et soif de justice – ce qui est la façon divine de faire les choses – vous serez totalement rassasié. Vous pouvez orienter votre faim en choisissant sur quoi vous vous focalisez. Par exemple, si vous pensez constamment à votre plat préféré, si vous l'imaginez tôt le matin et continuez à en rêver tout au long de la journée, il y a de fortes chances que vous le mangiez le soir même !

L'objet auquel vous accordez votre attention, c'est celui que vous désirerez. De la même manière, plus vous fixez votre attention sur Dieu et sa Parole, plus vous aurez faim de lui. Comme le promet ce texte, si vous avez soif de justice, vous serez pleinement satisfait.

Les objets qui se disputent votre attention sont légion dans ce monde, mais aucun n'est de nature à vous satisfaire. Peut-être désirez-vous posséder une certaine voiture, ou vous habiller d'une certaine façon ou encore habiter dans un certain quartier ? 

Rien de cela n'est mauvais en soi, mais sachez que ces "choses" ne vous satisferont jamais. Reconnaissez que seul Dieu en est capable. Si vous avez faim de lui, vous vivrez dans la paix et la bénédiction, et vous serez pleinement satisfait tous les jours de votre vie !

Une prière pour aujourd'hui

Père céleste, je viens à toi aujourd'hui et te demande pardon d'avoir laissé quoi que ce soit accaparer mon cœur et mon attention plus que toi. Je choisis maintenant de te donner la priorité et d'avoir faim de ta justice. Au nom de Jésus. Amen.
 

vendredi 4 septembre 2015

Oui, le Seigneur est bon,
éternel est son amour,
sa fidélité demeure d'âge en âge.

jeudi 3 septembre 2015

C'est Dieu qui élève et c'est lui qui abaisse. C'est toujours dans le nom de Jésus que les pécheurs sont sauvés, les malades guéris et les captifs délivrés. Quelle folie de croire que notre nom est au-dessus du sien.

Une prière pour aujourd'hui

Seigneur, tu es mon Dieu et je suis ton humble serviteur, amen.
 

SUIVONS L'ETOILE MARIALE !

3 septembre - Consécration de l’Allemagne au Cœur Immaculé de Marie (1954) - Saint Grégoire le Grand (+604) 

Au cœur de l’Allemagne mariale

L'Allemagne a été consacrée à Marie, à Fulda, ville du centre du pays, lors de l'année mariale de 1950, par le Cardinal Frings.

C’est au VIIIe siècle qu’a été fondé, à Fulda, un premier centre spirituel, une abbaye bénédictine destinée à la mission dans le Nord de la Germanie. Lieu de la sépulture de saint Boniface l’abbaye de Fulda prit son essor après 754 et devînt une sorte de sanctuaire national pour les Germains.

Une grande basilique y fut construite, entre 791 et 819. L'école de Fulda commença à devenir florissante sous Charlemagne et fut développée par l’un de ses grands moines, Raban Maur (856) qui fut un merveilleux chantre de la grandeur de la Vierge :

« Marie, tu as mérité d'accueillir cette venue promise au monde entier tant de siècles auparavant ; tu es devenue la Maison de la majesté immense ; toi seule, par un privilège spécial, tu as possédé pendant neuf mois l'espérance du monde, l'honneur des siècles, la joie commune de tous », s’écrie-t-il dans l’une de ses nombreuses homélies à la gloire de la Mère de Dieu.  

www.mariedenazareth.com

mercredi 2 septembre 2015

CONFIANCE AVEC MARIE ...

« Marie recourt à Jésus avec confiance, Marie prie... elle a déjà remis le problème entre les mains de Dieu » et elle « enseigne à remettre nos familles entre les mains de Dieu ; à prier, en allumant l’espérance qui nous indique que nos préoccupations sont aussi celles de Dieu », a poursuivi le pape.

Le miracle est possible « parce qu’une femme était attentive, a su remettre dans les mains de Dieu ses préoccupations, et a agi avec bon sens et courage ».

mardi 1 septembre 2015

PATIENCE ET BONTE

J'en suis sûr, je verrai les bontés du Seigneur
sur la terre des vivants.
« Espère le Seigneur, sois fort et prends courage ;
espère le Seigneur. »