mardi 25 juin 2013
dimanche 23 juin 2013
http://www.youtube.com/watch?v=GSL_7J2-1Lo
- Partagé à l'aide de la barre d'outils Google
réouverture de la grotte de lourdes 4 jours après les inondations et 4 jours après les grands pelés annulés !!!!
avec plusieurs solutions qui s'offrent à chacun d'y revenir ? pour 2013 ... 2014...?
qu'importe ... l'essentiel c'est la source qui ne tarie pas, source de vie et bonheur ... et cette élan de la solidarité au cœur de l'humanité en toute humilité
bon dimanche ...
Sophie
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réouverture de la grotte de lourdes 4 jours après les inondations et 4 jours après les grands pelés annulés !!!!
avec plusieurs solutions qui s'offrent à chacun d'y revenir ? pour 2013 ... 2014...?
qu'importe ... l'essentiel c'est la source qui ne tarie pas, source de vie et bonheur ... et cette élan de la solidarité au cœur de l'humanité en toute humilité
bon dimanche ...
Sophie
vendredi 21 juin 2013
lundi 17 juin 2013
jeudi 13 juin 2013
Ce n’est pas par hasard si le mont Athos est appelé le jardin de la Vierge…(…) Je cherchais un lieu pour écouter Dieu loin des bombardements culturels de notre monde. Le mont Athos a polarisé mes aspirations. Là, j’ai d’abord été sensible à la beauté de la nature, cette nature respectée par l’homme, une nature sauvage, vierge. Ce n’est pas par hasard que le mont Athos est appelé le jardin de la Vierge. Les vallées et les monts, les sentiers tout cela donne le sens de la vie comme un cheminement. (…) La légende raconte que la Vierge était en voyage avec l’apôtre saint Jean sur la mer Egée. Une tempête les fit accoster sur le mont Athos. Le lieu plut tellement à la Vierge Marie qu’elle demanda à son Fils de pouvoir y finir sa vie. C’est pourquoi le lieu est appelé jardin de la Vierge. Aucune femme n’est admise ici, excepté la Vierge Marie. Quand un pèlerin voyage dans les sentiers du mont Athos, il salue son prochain en disant : « Que la Vierge soit avec toi, qu’elle te protège, qu’elle te sauve des dangers »… |
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mardi 11 juin 2013
lundi 10 juin 2013
« Cultiver et protéger est un ordre de Dieu »
A l’occasion de la Journée Mondiale de l’Environnement, le 5 juin 2013, le Pape François a consacré la catéchèse de l’audience générale à la défense de la nature, mission donnée à l’homme par son Créateur. Il a exhorté à lutter contre la culture du gaspillage et du rejet au profit d’une culture de la solidarité et du dialogue.
A l’occasion de la Journée Mondiale de l’Environnement, le 5 juin 2013, le Pape François a consacré la catéchèse de l’audience générale à la défense de la nature, mission donnée à l’homme par son Créateur. Il a exhorté à lutter contre la culture du gaspillage et du rejet au profit d’une culture de la solidarité et du dialogue.
Lorsqu’on parle d’environnement, a dit le Pape François, "on pense au Livre de la Genèse qui rapporte que Dieu confia la terre à l’homme et à la femme pour qu’ils la cultivent et la protègent. Qu’est-ce que cela signifie ? Cultivons-nous et protégeons-nous vraiment la nature, ou bien exploitons nous et négligeons nous la création ?... Cultiver et protéger est un ordre de Dieu valable dans le temps et applicable à chacun de nous. Cela fait partie de son projet qui est de faire grandir le monde dans la responsabilité, afin d’en faire un jardin, un espace vivable pour tous. Benoît XVI a plusieurs fois rappelé que la mission attribuée à l’humanité par le Créateur implique le respect des rythmes et de la logique de la création. Mais l’homme est souvent dominé par la tendance à dominer, posséder, manipuler et exploiter, et non par le respect de la nature considérée comme un don gratuit. Ainsi perd-on le sens de la contemplation et de l’écoute de la création, ainsi oublie-t-on de cueillir ce que Benoît XVI appelle le rythme de l’histoire d’amour entre Dieu et l’homme. Ce défaut vient de ce qu’on pense et vit de façon horizontale, loin de Dieu et loin de ses signes".
La crise actuelle touche également l’homme
"Mais ce « cultiver et protéger » comprend aussi les rapports humains... Si la crise actuelle est largement liée à l’environnement, elle touche également l’homme. La personne est en danger et ceci justifie la priorité d’une écologie humaine. Ce danger est d’autant plus grave que sa cause est profonde. Il ne s’agit pas d’économie mais d’éthique et d’anthropologie...même si tout est dominé par une économie et une finance démunies d’éthique qui sacrifient les personnes au profit et à la consommation. Il s’agit d’une culture du gaspillage et du rejet...qui tend à devenir commune... La mode aujourd’hui, c’est l’argent et la richesse, pas l’homme. C’est la dictature de l’argent. Dieu a chargé l’homme de gérer la terre, non l’argent. Là est le devoir de chacun de nous. A l’inverse, la vie et la personne n’y sont plus considérées comme des valeurs primaires... Cette culture rend insensible jusqu’au gâchis alimentaire... La société de consommation nous a habitués à l’excès et au gaspillage des aliments, auxquels on finit par ne plus accorder de valeur. Et ceci va bien au-delà des simples paramètres économiques car ces denrées sont en fait comme volées aux pauvres et aux affamés ».
Pour une culture de la solidarité et du dialogue
Le Pape François a invité l’assemblée à réfléchir sur cette problématique : « Si une nuit d’hiver, tout près de cette place, quelqu’un meurt dans la rue, ce n’est pas une information" alors que si un réseau électronique saute c’est un drame ! "Si la bourse fléchit de quelques points, c’est une tragédie, mais pas que des êtres humains soient rejetés comme on jette des ordures... Partout de par le monde il y a des enfants qui n’ont rien à manger et on fait comme si c’était normal. Il ne peut pas en être ainsi !... Prenons tous l’engagement à respecter et protéger l’environnement et la création. Soyons attentifs à toute personne et luttons contre la culture du gaspillage et du rejet au profit d’une culture de la solidarité et du dialogue".
Source : Vatican Information Service du 5 juin 2013
La crise actuelle touche également l’homme
"Mais ce « cultiver et protéger » comprend aussi les rapports humains... Si la crise actuelle est largement liée à l’environnement, elle touche également l’homme. La personne est en danger et ceci justifie la priorité d’une écologie humaine. Ce danger est d’autant plus grave que sa cause est profonde. Il ne s’agit pas d’économie mais d’éthique et d’anthropologie...même si tout est dominé par une économie et une finance démunies d’éthique qui sacrifient les personnes au profit et à la consommation. Il s’agit d’une culture du gaspillage et du rejet...qui tend à devenir commune... La mode aujourd’hui, c’est l’argent et la richesse, pas l’homme. C’est la dictature de l’argent. Dieu a chargé l’homme de gérer la terre, non l’argent. Là est le devoir de chacun de nous. A l’inverse, la vie et la personne n’y sont plus considérées comme des valeurs primaires... Cette culture rend insensible jusqu’au gâchis alimentaire... La société de consommation nous a habitués à l’excès et au gaspillage des aliments, auxquels on finit par ne plus accorder de valeur. Et ceci va bien au-delà des simples paramètres économiques car ces denrées sont en fait comme volées aux pauvres et aux affamés ».
Pour une culture de la solidarité et du dialogue
Le Pape François a invité l’assemblée à réfléchir sur cette problématique : « Si une nuit d’hiver, tout près de cette place, quelqu’un meurt dans la rue, ce n’est pas une information" alors que si un réseau électronique saute c’est un drame ! "Si la bourse fléchit de quelques points, c’est une tragédie, mais pas que des êtres humains soient rejetés comme on jette des ordures... Partout de par le monde il y a des enfants qui n’ont rien à manger et on fait comme si c’était normal. Il ne peut pas en être ainsi !... Prenons tous l’engagement à respecter et protéger l’environnement et la création. Soyons attentifs à toute personne et luttons contre la culture du gaspillage et du rejet au profit d’une culture de la solidarité et du dialogue".
Source : Vatican Information Service du 5 juin 2013
« PAIX SUR LA TERRE » a 50 ans (3ème épisode)
« Pacem in Terris », encyclique de Jean XXIII, a été publiée le 11 avril 1963, un peu avant la mort du Pape, entre la première et la deuxième session du Concile Vatican II.
61. Ensuite, la nature de ce bien impose que tous les citoyens y aient leur part, sous des modalités diverses d’après l’emploi, le mérite et la condition de chacun. C’est pourquoi l’effort des pouvoirs publics doit tendre à servir les intérêts de tous sans favoritisme à l’égard de tel particulier ou de telle classe de la société… Mais des considérations de justice et d’équité dicteront parfois aux responsables de l’Etat une sollicitude particulière pour les membres les plus faibles du corps social…
62. Ici Nous devons attirer l’attention sur le fait que le bien commun concerne l’homme tout entier, avec ses besoins tant spirituels que matériels…
P. Pierre CHARIGNON
« Pacem in Terris », encyclique de Jean XXIII, a été publiée le 11 avril 1963, un peu avant la mort du Pape, entre la première et la deuxième session du Concile Vatican II.
Pour poursuivre l’étude et la méditation de ce texte majeur, à la fois très ancré dans les problématiques des années soixante avec la ‘guerre froide’ et toujours d’actualité, le Pôle Eglise et Cultures vous propose de prendre un moment personnel ou en groupe autour du 11 juin, fête de Saint Barnabé, occasion de réfléchir sur la notion de « Bien commun » : « La multitude de ceux qui avaient adhéré à la foi avait un sel cœur et une seule âme ; et personne ne se disait propriétaire de ce qu’il possédait, mais on mettait tout en commun… Joseph, que les Apôtres avaient surnommé Barnabé (ce qui veut dire l’homme du réconfort)… avait une terre, il la vendit et en apporta l’argent qu’il déposa au pied des Apôtres » (Actes des Apôtres 4,32-37). |
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SUPPORT DE LA REFLEXION AUTOUR DU 11 JUIN : n° 60-62
60. Les particularités ethniques qui distinguent les différents groupes humains s’inscrivent dans l’aire du bien commun, sans suffire pour autant à sa définition complète. Ce bien commun ne peut être défini doctrinalement dans ses aspects essentiels et les plus profonds, ni non plus être déterminé historiquement qu’en référence à l’homme ; il est, en effet, un élément essentiellement relatif à la nature humaine.61. Ensuite, la nature de ce bien impose que tous les citoyens y aient leur part, sous des modalités diverses d’après l’emploi, le mérite et la condition de chacun. C’est pourquoi l’effort des pouvoirs publics doit tendre à servir les intérêts de tous sans favoritisme à l’égard de tel particulier ou de telle classe de la société… Mais des considérations de justice et d’équité dicteront parfois aux responsables de l’Etat une sollicitude particulière pour les membres les plus faibles du corps social…
62. Ici Nous devons attirer l’attention sur le fait que le bien commun concerne l’homme tout entier, avec ses besoins tant spirituels que matériels…
P. Pierre CHARIGNON
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