mercredi 31 mai 2017

Père juste, le monde ne t’a pas connu, mais moi je t’ai connu, et ceux-ci ont reconnu que tu m’as envoyé.
Je leur ai fait connaître ton nom, et je le ferai connaître, pour que l’amour dont tu m’as aimé soit en eux, et que moi aussi, je sois en eux. »


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris



Commentaire du jour :

Saint Ignace d'Antioche (?-v. 110), évêque et martyr
Lettre aux Ephésiens (trad. coll. Icthus, vol. 2, p. 77)


« Que tous, ils soient un, comme toi, tu es en moi et moi en toi »

Mon action de grâces en ce jour : Merci Seigneur car tu as promis d’être avec nous tous les jours. Tu es avec moi pour me protéger de tout mal. Tu es mon bouclier, ma forteresse, contre les assauts de l’ennemi.


Jour n°23
Délivre-nous du mal


"Ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin" (Matthieu 6.13).

La dernière requête mentionnée dans le nôtre Père est en relation avec le besoin que nous éprouvons d’être délivrés du mal. Il est important de souligner, que cette demande de délivrance du mal n’est pas la première des choses demandées. Comme cela a été dit, la prière nous invite à porter premièrement notre attention sur Dieu, ensuite, dans un deuxième temps, Jésus nous enseigne à présenter nos besoins avec humilité, avec confiance, avec un cœur attentif aux besoins de ceux qui nous entourent, et ce n’est qu’après ces priorités, que nous réclamons le secours de Dieu face au mal.

Le «mal» n’est pas une abstraction, mais il désigne une personne, Satan, le méchant, le diable, celui qui veut contrecarrer le dessein de Dieu en notre faveur. S’il est vrai que la prière nous amène sur le terrain de la confrontation avec «le mal», Jésus place cette notion de confrontation, ou de combat spirituel à la fin.
Il existe aujourd’hui certains courants, dans les milieux évangéliques, qui font du combat spirituel une priorité absolue. Ils n’ont que cette notion à présenter. Sans nier la nécessité d’une prière qui nous fasse entrer dans cette réalité du combat spirituel, il convient de savoir laisser les priorités là où Jésus les a mises.

Que nous ayons besoin du secours divin pour triompher du mal, c’est une évidence. Jésus l’a, lui-même, demandé à Dieu pour nous : "Je ne te prie pas de les retirer du monde, mais de les préserver du mal" (Jean 17.15).
Que signifie cette requête: "Ne nous induis pas en tentation" ? Dieu est-il à l’origine de la tentation ? Dans l’épître de Jacques, il est dit que "Dieu ne tente personne" (Jacques 1.13). Y-a-t-il là une contradiction ? Nous savons que la Bible ne saurait se contredire. En fait la parole, prononcée par Jésus dans le "notre Père", peut parfaitement être traduite ainsi : "Ne nous abandonne pas dans la tentation". Cette traduction est conforme à tout l’enseignement de la Bible. En effet, il est logique de demander à Dieu de faire en sorte que nous résistions à la tentation, ou que nous soyons secourus dans l’épreuve. Car le mot tentation est exactement le même mot que le mot épreuve.

L’épreuve fait partie de notre cheminement avec Dieu. L’épreuve de Job en est un exemple, tout comme les diverses épreuves de Joseph, vendu par ses frères, et jeté en prison... L’épreuve peut être une école par laquelle Dieu nous apprend à devenir des disciples accomplis. Elle nous permet de grandir. Il est normal que nous lui demandions aide et secours dans de telles circonstances.

Mon action de grâces en ce jour : Merci Seigneur car tu as promis d’être avec nous tous les jours. Tu es avec moi pour me protéger de tout mal. Tu es mon bouclier, ma forteresse, contre les assauts de l’ennemi.



Paul Calzada


  Au nom  du Père du Fils et du Saint Esprit

Amen !

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Les pierres polies

« David, choisit dans le torrent cinq pierres polies…  » (1 Samuel 17.40/50).
Ces cinq pierres avaient été polies, par le fait qu’elles s’étaient entrechoquées les unes contre les autres. La force de l’eau a entraîné les pierres, les faisant rouler les unes sur les autres. Un coup par ci, un coup par là, et les aspérités avaient sauté les unes après les autres.
Ces pierres nous rappellent l’importance, pour les croyants, du fait de vivre ensemble. Voulez-vous être une pierre utile à l’œuvre de Dieu ? Cela ne sera possible que si vous vivez la communion fraternelle, baignant dans l’eau de la Parole et de l’Esprit. Certes il peut y avoir des heurts, mais ils participent à notre perfectionnement.
Imaginez que l’une de ces pierres, pour une raison ou une autre, soit sortie du lit du torrent ; dans ce cas, jamais David n’aurait pu la ramasser. Pour accomplir ses desseins, Dieu ira toujours chercher des pierres (disciples), qui sont dans le torrent de la grâce, qui aiment la communion fraternelle, et qui aiment sa Parole en étant attentifs à la voix de l’Esprit.
Certes, la communion fraternelle révèle notre caractère, elle peut produire certaines frictions. Nous le voyons dans la Bible au travers du cas de deux femmes qui ont servi avec l’apôtre Paul, Evodie et Syntiche, et qui passent par un moment de tension (Philippiens 4.2/3).
Le but de ces frictions n’est pas de nous éloigner les uns des autres, mais de nous perfectionner les uns les autres. Le but, c’est « d’arrondir les angles », c’est de nous rendre meilleurs ! Même si vous avez reçu quelques coups, ne quittez pas la communion fraternelle, restez au contact des frères et sœurs. Considérez que Dieu vous façonne, au travers de ces crises, pour le service qu’il prépare pour vous.
Parmi les cinq pierres, David en prend une et arme sa fronde. Je suppose qu’il a choisi celle qui était la plus ronde, donc la plus polie, celle qui avait été la plus malmenée.
Imaginez que cette pierre se mette à parler et dise : « Je suis la meilleure, c’est moi qui ai abattu le géant… vous les quatre autres pierres vous n’avez servi à rien ! » Je suppose que vous lui diriez qu’elle est bien prétencieuse, vous ajouteriez : « Tu n’as aucun mérite, tu n’as été qu’un instrument entre les mains de David, il aurait pu en prendre une autre à ta place. Tu n’es pas plus que les quatre autres ». Et vous auriez raison.
Ma prière en ce jour :
Seigneur, je veux rester dans le torrent de la grâce et vivre dans la communion fraternelle. Je veux considérer les frictions par lesquelles je passe, comme des opportunités pour que tu transformes mon caractère à l’image de Jésus. Amen !
Paul Calzada

"Dieu ne m’a pas donné un esprit de peur, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse !"




     
       

    Le Saint-Esprit habite en vous !
La Pensée du Jour Du TopChrétien. Par Keith Butler. Mercredi 31 Mai 2017. Le Saint-Esprit habite en vous !.
Le Saint-Esprit habite en vous !
"Car ce n’est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse." 2 Timothée 1.7
Dieu vous a donné un esprit de force! Regardez-vous dans un miroir et proclamez en vous désignant du doigt : "C’est moi, ça ! Dieu m’a donné un esprit de force."
Dieu vous a donné la sagesse et un esprit sain.
Le Saint-Esprit n’est pas seulement l’esprit de force, mais aussi d’amour. Le fruit de l’Esprit commence par l’amour. Vous pouvez marcher dans l’amour, même avec ce membre de votre famille au caractère difficile, parce que le Saint-Esprit demeure en vous.
Le Saint-Esprit vous donne également la sagesse et la santé mentale. En tant que croyant, vous n’avez pas à souffrir de troubles mentaux. Vous n’avez pas à lutter contre la dépression, l’angoisse ou diverses phobies. Dieu vous a donné la sagesse et un esprit sain. La Bible dit que vous avez la pensée de Christ. Votre esprit est semblable à celui de l’Oint de Dieu.
Une action pour aujourd’hui
Quand la peur frappe à la porte de votre cœur, laissez la foi lui répondre ! Proclamez : "Dieu ne m’a pas donné un esprit de peur, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse !"


PASSLEMOT
"Il changea la mer en une terre sèche, on a traversé à pied..." (Ps 66:6). Quand Dieu t'accompagne, aucun obstacle ne t'arretera. Avance en paix. PassLeMot.fr
Lire Psaumes 66.6 dans la Bible


La Pensée du Jour


Le Saint-Esprit habite en vous !


Un Miracle Chaque Jour


Les promesses de Dieu sont pour vous, Mon ami(e) !


 Au nom  du Père du Fils et du Saint Esprit
      Consécration Solennelle
Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit
De soeur Marie du Sacré Coeur Bernaud, fondatrice de la Garde d'honneur du Sacré Coeur de Jésus :



«Qui a consolé Notre Seigneur comme sa tendre Mère ?

Qui l'a suivi plus courageusement ?

Qui a veillé avec un plus fidèle amour auprès de son très doux Coeur meurtri et désolé, pour panser ses blessures, le dédommager de l'oubli des uns, de l'ingratitude des autres, des défections de presque tous ?

Notre céleste Mère est le plus parfait modèle des consolateurs du Coeur blessé de Jésus.

Gardienne du trésor que le Ciel et la terre ne peuvent contenir, sentinelle vigilante et aimable de son Fils, Elle seule peut nous enseigner comment nous pourrons l'aimer, le consoler, le glorifier.

Ayant peu à peu contracté la douce habitude de vivre au contact de cette aimable Mère, nous voudrons l'étendre à tous les actes de notre vie, ne plus cheminer que tenant la main bénie de cette bonne Mère, n'agir que son divin regard, ne nous guider que par ses sages conseils, ne nous inspirer enfin que de ses dispositions admirables : quel plus sûr moyen d'arriver à Jésus, de consoler et ravir son Coeur ! »

Prière de consécration :
Ô Notre Dame, Mère de tous les hommes, mettez dans notre coeur un désir brûlant et sincère de vivre toujours dans la proximité de votre Fils, de lui être toujours fidèle, de l'aimer comme Il nous aime, de lui tenir compagnie au Tabernacle et d'accorder notre vie à la vôtre.

Ô Marie, Vierge sainte, je remets toute ma vie entre vos mains, mon passé, mon présent et mon futur.

De votre manteau virginal, recouvrez-moi, gardez-moi sur votre sein maternel comme vous avez tenu l'Enfant-Jésus ;

je vous donne toutes mes actions, mes pensées, mes paroles pour que vous habitiez chacune d'elles ;

soyez ma Reine et faites de moi votre dévoué sujet ;

dans mes chutes, soyez cette Mère qui console et me relève, et au moment venu, de vos mains immaculées, présentez mon âme à votre Fils pour qu'auprès de Lui, je puise vous contempler dans toute votre splendeur pour l'éternité.


Geneviève Vignes, coordinatrice au Siège à Paray le Monial



Une dizaine de de Chapelet
Un Chant: 
Hymne acathiste https://www.youtube.com/watch?v=TbAxe_gNvVQ
 


Un Miracle Chaque Jour - Image du jour

Les promesses de Dieu pour vous sont nombreuses Mon ami(e) : promesses de salut (Romains 10.9), de paix (Jean 14.27), de guérison (Exode 15.26), etc. Aucune de ces promesses n’est une "parole en l’air" : toutes accomplissent l’objectif de Dieu pour votre vie, Mon ami(e).
Souvenez-vous en tout au long de cette journée : Dieu ne prononce aucune parole en l'air. Tout ce qu'il dit s'accomplit !
Merci d'exister,

Là où arrive Marie, Jésus est présent


l'EVANGILE AU QUOTIDIEN

« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68


Mercredi 31 mai 2017

Fête de la Visitation de la Vierge Marie


Saint(s) du jour : Ste Battista (Camilla) Varano, abbesse (1458-1524)

Voir le commentaire ci-dessous, ou cliquer ici
Benoît XVI: Là où arrive Marie, Jésus est présent

Livre de Sophonie 3,14-18a.
Pousse des cris de joie, fille de Sion ! Éclate en ovations, Israël ! Réjouis-toi, de tout ton cœur bondis de joie, fille de Jérusalem !
Le Seigneur a levé les sentences qui pesaient sur toi, il a écarté tes ennemis. Le roi d’Israël, le Seigneur, est en toi. Tu n’as plus à craindre le malheur.
Ce jour-là, on dira à Jérusalem : « Ne crains pas, Sion ! Ne laisse pas tes mains défaillir !
Le Seigneur ton Dieu est en toi, c’est lui, le héros qui apporte le salut. Il aura en toi sa joie et son allégresse, il te renouvellera par son amour ; il exultera pour toi et se réjouira,
comme aux jours de fête. »

Livre d'Isaïe 12,2.3.4abcd.4e-5.6.
Voici le Dieu qui me sauve :
j’ai confiance, je n’ai plus de crainte.
Ma force et mon chant, c’est le Seigneur ;
il est pour moi le salut.

Exultant de joie,
vous puiserez les eaux
aux sources du salut.

Ce jour-là, vous direz :
« Rendez grâce au Seigneur,
proclamez son nom,
annoncez parmi les peuples ses hauts faits ! »

Redites-le : « Sublime est son nom ! »
Jouez pour le Seigneur,
il montre sa magnificence,
et toute la terre le sait.

Jubilez, criez de joie, habitants de Sion,
car il est grand au milieu de toi,
le Saint d’Israël !



Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 1,39-56.
En ces jours-là, Marie se mit en route et se rendit avec empressement vers la région montagneuse, dans une ville de Judée.
Elle entra dans la maison de Zacharie et salua Élisabeth.
Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie d’Esprit Saint,
et s’écria d’une voix forte : « Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni.
D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ?
Car, lorsque tes paroles de salutation sont parvenues à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi.
Heureuse celle qui a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. »
Marie dit alors : « Mon âme exalte le Seigneur,
exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !
Il s’est penché sur son humble servante ; désormais tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom !
Sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras, il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour,
de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et sa descendance à jamais. »
Marie resta avec Élisabeth environ trois mois, puis elle s’en retourna chez elle.


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris



Commentaire du jour :

Benoît XVI, pape de 2005 à 2013
Discours du 31/05/2006 devant la grotte de Lourdes dans les Jardins du Vatican (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana)

Là où arrive Marie, Jésus est présent

En la fête de la Visitation de ce jour, comme dans toutes les pages de l'Évangile, nous voyons Marie docile aux desseins divins et dans une attitude d'amour prévoyant pour ses frères. En effet, l'humble jeune fille de Nazareth, encore surprise de ce que lui a annoncé l'ange Gabriel – c'est-à-dire qu'elle sera la Mère du Messie promis – apprend que sa parente âgée, Élisabeth, attend elle aussi un enfant dans sa vieillesse. Sans hésiter, elle se met en chemin, souligne l'évangéliste (cf. Lc 1, 39), pour arriver « en hâte » à la maison de sa cousine et se mettre à sa disposition dans un moment de nécessité particulière.

Comment ne pas remarquer que, dans la rencontre entre la jeune Marie et Élisabeth, désormais âgée, le protagoniste caché est Jésus ? Marie le porte dans son sein comme dans un tabernacle sacré et l'offre comme le don le plus grand à Zacharie, à son épouse Élisabeth et également à l'enfant qui se développe dans le sein de celle-ci. « Dès l'instant – dit la mère de Jean-Baptiste – où ta salutation a frappé mes oreilles, l'enfant a tressailli d'allégresse en mon sein » (Lc 1, 44). Là où arrive Marie, Jésus est présent. Celui qui ouvre son cœur à la Mère rencontre et accueille le Fils et il est envahi par sa joie. Jamais la véritable dévotion mariale ne dissimule ni ne diminue la foi et l'amour pour Jésus Christ notre Sauveur, unique médiateur entre Dieu et les hommes. Au contraire, se confier à la Vierge représente une voie privilégiée, vécue par de nombreux saints, pour se placer à la suite du Seigneur de façon plus fidèle. Confions-nous donc à Elle avec un abandon filial !







mardi 30 mai 2017


Jour n°22
La prière de bénédiction


"Bénissez ceux qui vous persécutent, bénissez et ne maudissez pas" (Romains 12.14).

Parmi les diverses formes de prières, retenons celle-ci : La prière de bénédiction. Souvenons-nous que cette forme de prière fut utilisée par les patriarches tels Jacob ou Moïse. Nous la retrouvons, non seulement dans l’Ancien Testament, mais également dans le Nouveau Testament. Selon la loi, des sacrificateurs étaient voués à cette tâche (Nombres 6.23/27).

A plusieurs reprises nous sommes exhortés à bénir : "Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent" (Matthieu 5.44) ou (Luc 6.28).
Les apôtres, Paul ou Pierre, nous rappellent cela : "Ne rendez point mal pour mal, ou injure pour injure ; bénissez, au contraire, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin d’hériter la bénédiction" (1 Pierre 3.9).
Ces paroles de Pierre, nous rappellent que la prière de bénédiction, non seulement est une source de bénédiction pour les autres, mais qu’elle est également une source de bénédiction pour ceux qui la pratiquent.

Il nous arrive de prier Dieu en lui demandant de bénir telle ou telle personne, telle ou telle situation. Au travers de ces textes, Dieu nous invite à bénir, nous-mêmes, ces personnes ou ces situations. Au lieu de dire à quelqu’un : "Que Dieu vous bénisse", dites-lui : "Je vous bénis dans le nom du Seigneur". Certes, nous ne pouvons bénir qu’au travers d’un seul nom : le nom du Seigneur. En son nom, lorsque nos vies sont à lui, et que nous nous plaçons sur le terrain de sa grâce, nous pouvons bénir. Il n’y a aucune prétention en cela, il n’y a que la mise en œuvre de la grâce que Dieu nous accorde en Christ.
Souvenez-vous que vous tous qui êtes à Christ, vous faites fonction de sacrificateurs : "Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière" (1 Pierre 2.9) et (Apocalypse 1.6).

Dans l’église de Jésus-Christ, il n’y a pas un clergé et des laïcs, comme nous l’entendons parfois ; il n’y a qu’un seul corps, c’est celui de Christ, composé de l’ensemble des croyants, lesquels sont tous sacrificateurs. Donc, chaque croyant est en mesure de faire cette prière de bénédiction.

Un encouragement pour ce jour : Frères et sœurs, vous qui êtes à Christ, exercez votre ministère de sacrificateurs en bénissant vos familles, vos enfants, vos voisins, vos frères et sœurs, les divers ministères que Christ donne à l’église...


Paul Calzada

chant à Marie

https://youtu.be/Rnd4xS03pTw

Ô douce Vierge Marie, faites de nous de véritables artisans de paix !


 Au nom  du Père du Fils et du Saint Esprit
 8 ème méditation

Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit


De sœur Marie du Sacré Cœur Bernaud, fondatrice de la Garde d'honneur du Sacré Cœur de Jésus :


« Qui n'a rencontré, et admiré parfois, quelques âmes d'élites arrivées au sommet de la sainteté et en pleine possession de la Paix ?

Quelle limpidité dans leur regard, quelle suavité dans leurs paroles, quelle aménité dans leur accueil, quelle sérénité inaltérable au milieu des évènements les plus divers et même les plus douloureux ?

Ces nobles et grandes âmes donnent la paix, la font rayonner autour d'elles, sont enfin la plus belle manifestation du règne de Dieu en sa créature, le Dieu de paix trône sur leur cœur.

Semons la paix, donnons la paix, soyons des anges de paix !

Ainsi faisant, nous glorifierons notre Roi bien-aimé qui s'est proclamé ‘'Prince de Paix'' !»

 
Prière de consécration :
Ô Notre Dame de la Paix, pacifiez nos cœurs sans cesse troublés, apaisez les révoltes, calmez nos esprits agités.

Rendez notre cœur semblable au vôtre, toujours prompt à aimer, à accueillir, à consoler et à pardonner.

Ô douce Vierge Marie, faites de nous de véritables artisans de paix !



Une dizaine de Chapelet 


Un chant:  
Marie, Reine de France: 
cantique pour la France composées par les jeunes des jmj du Berry: 


https://www.youtube.com/watch?v=Rnd4xS03pTw&feature=youtu.be

 Au nom  du Père du Fils et du Saint Esprit