mercredi 29 juin 2016

Je bénirai le Seigneur en tout temps,

Psaume 34(33),2-3.4-5.6-7.8-9.
Je bénirai le Seigneur en tout temps,
sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur :
que les pauvres m'entendent et soient en fête !

Magnifiez avec moi le Seigneur,
exaltons tous ensemble son nom.
Je cherche le Seigneur, il me répond :
de toutes mes frayeurs, il me délivre.

Qui regarde vers lui resplendira,
sans ombre ni trouble au visage.
Un pauvre crie ; le Seigneur entend :
il le sauve de toutes ses angoisses.

L'ange du Seigneur campe à l'entour
pour libérer ceux qui le craignent.
Goûtez et voyez : le Seigneur est bon !
Heureux qui trouve en lui son refuge !

lundi 27 juin 2016

la vie est belle

Mère Teresa ? Une femme qui n’eut jamais d’enfant, mais qui fut pleinement une mère pour tant d’enfants.
« La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est un rêve, réalise-le.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est mystère, perce-le.
La vie est promesse, remplis-la.
La vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la. »

dimanche 19 juin 2016

Soyez fidèle dans les petites choses
Une parole pour aujourd'hui
Les grandes occasions se cachent souvent dans des tâches subalternes. Les petites choses de la vie déterminent les grandes. Ne cherchez pas à accomplir de grandes tâches pour Dieu. Acquittez-vous des petits services et Dieu vous confiera ce qu'il jugera bon.


MERCI PETITE THERESE PETITE VOIE DE CONFIANCE
Choisir Jésus, c’est choisir le plus fidèle des amis, le plus patient des confidents, le plus sage des conseillers.

mercredi 15 juin 2016

58 Ainsi, mes frères et sœurs bien-aimés, soyez fermes, inébranlables. Travaillez de mieux en mieux à l'œuvre du Seigneur, sachant que votre travail n'est pas sans résultat dans le Seigneur.      

lundi 13 juin 2016

LA VIE EST BELLE MALGRE TOUT

c’est simple : elle a eu tort. Aucune arme, verbale ou morale, de peut ni ne pourra plus vous faire du mal. Dieu, votre père, vous aime et il veut vous dire qu'avec lui vous ferez des exploits. Il les voit par avance. Il sait que vous allez réussir et il vous dit… sophie, je suis tellement fier de toi !
Merci d'exister,

CHANTONS ET LOUONS DIEU NOTRE PERE

dimanche 12 juin 2016

Commentaire du jour :

Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), capucin
CE, 18.16 ; AD, 54 (trad. Une Pensée, Médiaspaul 1991, p. 63)


« Qui est cet homme, qui va jusqu'à pardonner les péchés ? »


Que l'espérance en la miséricorde de Dieu nous soutienne dans le tumulte des passions et des contrariétés. Courons avec confiance vers le sacrement de pénitence, où le Seigneur nous attend à tout moment avec une tendresse infinie. Et une fois nos péchés pardonnés, oublions-les, car le Seigneur l'a déjà fait avant nous. En admettant même que tu aies commis tous les péchés du monde, le Seigneur te le répète : « Tes nombreux péchés te sont remis parce que tu as beaucoup aimé ».

vendredi 10 juin 2016

Soyons des serviteurs de la vie : faisons jaillir la vie en abondance pour nos prochains afin d’avoir part à cette vie.

Méditation

 

 
frère Nicolas Burle
Couvent de Tours
 

 
Le bonheur des autres
L’abbé Pierre, à l’âge de douze ans, vola un jour de la confiture chez lui et laissa un de ses frères accusé à sa place. Ses parents ayant découvert le pot aux roses, il fut privé de participer à une grande fête de famille. Le soir, ses frères et sœurs reviennent enchantés et veulent lui raconter leur merveilleuse journée. Mais lui les accueille sèchement : « Qu’est-ce que cela peut me faire ? Je n’étais pas avec vous. » Après le dîner, son père vint le voir et lui dit : « J’ai entendu ce que tu as dit tout à l’heure et j’en suis très déçu : comment pourras-tu être heureux si tu ne sais pas te réjouir du bonheur des autres ? »
Selon l’abbé Pierre, cette phrase a changé sa vie. Ce jour-là, il a cessé de ne s’intéresser qu’à lui-même, il a compris que le bonheur des autres était la condition de son bonheur et que le bonheur des autres n’enlevait rien à son bonheur. Il est devenu un ami de Dieu, un ami de la vie qui jaillit.

Le Seigneur avait béni Isaac et il « devint un personnage important, de plus en plus important, jusqu’à devenir vraiment très important. »* Chassé par les jaloux, il aurait pu devenir amer ou violent. Mais il choisit de déblayer les puits de son père Abraham pour que la vie jaillisse de nouveau. Alors, « les serviteurs d’Isaac creusèrent dans la vallée et y trouvèrent un puits d’eaux vives ».** car le Seigneur est venu pour que nous ayons « la vie, la vie en abondance »***. Soyons des serviteurs de la vie : faisons jaillir la vie en abondance pour nos prochains afin d’avoir part à cette vie.

* Gn 26,13
** Gn 26,19
*** Jn 10,10
Méditation enregistrée dans les studios de Radio RCF Tours S. Martin

lundi 6 juin 2016

BIENHEUX CEUX QUI ONT UNE AME DE PAUVRE

Rébecca près d'un puits

 

"Le serviteur d’Abraham dit : “Seigneur, Dieu de mon maître Abraham,
permets-moi de faire aujourd’hui une heureuse rencontre
et montre ta faveur à l’égard de mon maître.”

 

Gn 24, 12

HEUREUX LE SERVITEUR DE DIEU HUMBLE
ET TOUT OUVERT A LUI                                                       

vendredi 3 juin 2016

Un long chemin de conversion !

Dieu a élu Abraham définitivement. Les voilà alliés, ils vont cheminer ensemble. Mais pourquoi, à quelles fins ? Le fameux récit dit de « la ligature d’Isaac » nous donne une réponse. Pas à pas, Dieu initie Abraham à un autre style de vie, le sien. Voilà qui éclaire pour nous les enjeux d’une vie avec Dieu, d’une vie dans la foi. Dans des moments de découragement, on se demande parfois : à quoi bon vivre encore ? Le sens de vivre dans la durée, c’est d’apprendre, sans cesse et encore, ce qu’est la pensée de Dieu, ce à quoi elle nous appelle. La conversion est un long chemin. Il y faut du temps. Et il faut la passion de connaître Dieu, le désir d’entrer dans sa manière d’aimer et d’agir. Par son obéissance sans faille, Abraham a manifesté sa soumission à Dieu. Dieu en échange lui révèle que l'âge où les pères, selon les coutumes ancestrales, avaient droit de vie et de mort sur femmes et enfants et pouvaient si besoin les immoler à une divinité, ce temps-là est fini.
La ligature d’Isaac, c’est le renoncement aux mœurs d’une paternité archaïque. Jésus, lui, nous apprendra que seul Dieu est vrai Père et que parmi nous, dans l’Esprit, il n’y a que des enfants. La scène nous montre aussi ce qui ouvre un chemin à la foi. Le renoncement, mais pas un renoncement à la vie. Tout ce qui n’entre pas dans les vues de Dieu, cela seul exige renoncement et doit être sacrifié. Dieu a montré à Abraham ce qui, chez lui, demande un sacrifice. Non bien sûr le fils béni de la promesse, mais la toute-puissance d’un homme sur son semblable, sans idée de la Miséricorde de Dieu.

jeudi 2 juin 2016

vivre dans l'amour.

"Si vous vous aimez les uns les autres, alors tous sauront que vous êtes mes disciples." (Jean 13.35)

Voulez-vous demander à Dieu de vous donner son cœur ?

Faites de grandes choses, accomplissez des exploits pour lui, annoncez la Bonne Nouvelle à toute la création, faites de toutes les nations des disciples, mais n'oubliez pas de vivre dans l'amour.

Si vous vivez dans l'amour, ce que Dieu a semé dans votre vie produira des fruits qui dépasseront votre entendement.

Ce texte est un extrait de la Pensée du Jour disponible aujourd'hui sur le TopChrétien. Cliquez-ici pour la lire. Et n'hésitez pas à me laisser un commentaire sur le TopChrétien.
Merci d'exister,

Eric Célérier

P.S. : Hier, j'étais l'invité de Radio Notre Dame, à Paris, pour parler du TopChrétien et de mon livre "Connexions Divines". Vous pouvez écouter l'émission ici

AMEN !

Aimer Dieu, son prochain et soi-même


Celui qui n'aime pas son frère n'est pas dans l'amour, et celui qui n'est pas dans l'amour n'est pas en Dieu, car « Dieu est amour » (1Jn 4,8).

En outre, celui qui n'est pas en Dieu n'est pas dans la lumière, car « Dieu est lumière, il n'y a pas de ténèbres en lui » (1Jn 1,5). Celui donc qui n'est pas dans la lumière, quoi d'étonnant qu'il ne voie pas la lumière, autrement dit, qu'il ne voie pas Dieu, puisqu'il est dans les ténèbres ? Il voit son frère d'une vue humaine, qui ne permet pas de voir Dieu. Mais si ce frère qu'il voit d'une vue humaine, il l'aimait d'un amour spirituel, il verrait Dieu qui est l'amour même, de cette vue intérieure qui permet de le voir...

Qu'il ne soit plus question de savoir combien de charité nous devons à notre frère, combien à Dieu : incomparablement plus à Dieu qu'à nous, autant à nos frères qu'à nous-mêmes ; or nous nous aimons d'autant plus nous-mêmes que nous aimons Dieu davantage. C'est donc d'une seule et même charité que nous aimons Dieu et le prochain, mais nous aimons Dieu pour lui-même, nous et le prochain pour Dieu.