mercredi 31 janvier 2018


Salutations à la Vierge Marie


 

 

 


 


 


 

 

 

 

 

La première en chemin, Marie


1
La première en chemin, Marie tu nous entraînes
A risquer notre "oui" aux imprévus de Dieu.
Et voici qu'est semée en l'argile incertaine
De notre humanité, Jésus-Christ, Fils de Dieu.
Marche avec nous, Marie,
Sur nos chemins de foi,
Ils sont chemin vers Dieu (bis).
2
La première en chemin, en hâte tu t'élances,
Prophète de Celui qui a pris corps en toi.
La parole a surgi, tu es sa résonance
Et tu franchis des monts pour en porter la voix.
Marche avec nous, Marie,
Aux chemins de l'annonce,
Ils sont chemin vers Dieu (bis).
3
La première en chemin, tu provoques le Signe
Et l'heure pour Jésus de se manifester.
"Tout ce qu'il vous dira, faites-le!" Et vos vignes
Sans saveur et sans fruit, en sont renouvelées.
Marche avec nous, Marie,
Aux chemins de l'écoute,
Ils sont chemin vers Dieu (bis).
4
La première en chemin, pour suivre au Golgotha
Le fils de ton amour que tous ont condamné,
Tu te tiens là, debout, au plus près de la Croix
Pour recueillir la vie de son cœur transpercé.
Marche avec nous, Marie,
Sur nos chemins de croix,
Ils sont chemin vers Dieu (bis).

 

Salut, Marie, Dame sainte,

reine, sainte mère de Dieu,

vous êtes la Vierge devenue Eglise;
choisie par le très saint Père du ciel,

consacrée par lui comme un temple 
avec
son Fils bien-aimé et l'Esprit Paraclet;
vous en qui fut et demeure
 toute
plénitude de grâce
 et Celui qui est tout bien.
Salut, Palais de Dieu!
 Salut,
Tabernacle de Dieu!
 Salut, Maison de Dieu!
Salut, Vêtement de Dieu!

Salut, Servante de Dieu!

Salut, Mère de Dieu!
Et salut à vous toutes, saintes Vertus,

qui, par la grâce et l'illumination de l'Esprit-Saint,

êtes versées dans le coeur des fidèles,

vous qui, d'infidèles que nous sommes,

nous rendez fidèles à Dieu!

 

 

 

 

 

 

 


5
La première en chemin, brille ton Espérance
Dans ton cœur déchiré et la nuit du tombeau.
Heureuse Toi qui crois d'une absolue confiance;
Sans voir et sans toucher, tu sais le jour nouveau.
Marche avec nous, Marie,
Aux chemins d'espérance,
Ils sont chemin vers Dieu (bis).
6
La première en chemin avec l'Eglise en marche
Dès les commencements, tu appelles l'Esprit!
En ce monde aujourd'hui, assure notre marche;
Que grandisse le corps de ton fils Jésus-Christ
Marche avec nous, Marie,
Aux chemins de ce monde,
Ils sont chemin vers Dieu (bis).
7
La première en chemin, aux rives bienheureuses,
Tu précèdes, Marie, toute l'humanité.
Du Royaume accompli, tues pierre précieuse,
Revêtue du soleil, en Dieu, transfigurée.
Marche avec nous, Marie,
Aux chemins de nos vies,
Ils sont chemin vers Dieu (bis).

Merci pour la diversité des ministères qui, étant complémentaires, participent les uns et les autres à l’édification de l’Église. Amen!

« Vous êtes le corps de Christ, et vous êtes ses membres, chacun pour sa part. Et Dieu a établi dans l’Église premièrement des apôtres, secondement des prophètes, troisièmement des docteurs, ensuite ceux qui ont le don des miracles, puis ceux qui ont les dons de guérir…  » (1 Corinthiens 12.27/28)
Les deux images les plus utilisées par les apôtres pour parler de l’Église sont l’image du corps et l’image de l’édifice. En parlant du corps, l’apôtre donne une énumération de quelques dons et ministères en les cataloguant ainsi : Premièrement, deuxièmement, troisièmement … Certains ont voulu voir dans ce texte la mise en place d’une hiérarchie cléricale et en ont conclu qu’il était normal que l’autorité la plus grande soit exercée par le collège apostolique. Est-ce cela que les apôtres ont voulu enseigner ? Avant de nous prononcer considérons un deuxième texte dans lequel Paul parle de son ministère : « Selon la grâce de Dieu qui m’a été donnée, j’ai posé le fondement comme un sage architecte, et un autre bâtit dessus. Mais que chacun prenne garde à la manière dont il bâtit dessus. » (1 Corinthiens 3.10)
Ici l’apôtre indique qu’en tant qu’apôtre il a posé le fondement. Ce texte établit-il une hiérarchie entre les ministères où indique-t-il un ordre logique dans une construction ? Le premier à intervenir est l’architecte.
De quoi est-il question dans ces textes, de hiérarchie ou de services ? Le contexte est suffisamment clair pour nous indiquer que ces passages ne définissent pas une suite rationnelle de postes d’autorité mais une suite rationnelle des dons nécessaires à la construction de l’édifice spirituel que représente l’Église. C’est à cause de notre arrière-plan religieux ou même social que nous voyons une hiérarchie dans la liste des dons que présente Paul dans 1 Corinthiens 12.28.
L’interprétation naturelle et logique découlant du contexte c’est que cette énumération de dons reflète, avant tout, une priorité logique des ministères nécessaires à la construction de l’Église et certainement pas une hiérarchie. L’ordre indique le degré d’utilité du don pour l’édification de l’Église, au fur et à mesure de sa croissance. Paul le dit clairement dans 1 Corinthiens 3.10, pour la construction de l’Église, il faut avant tout, le ministère des apôtres, car ce sont eux qui posent la fondation. Comme les apôtres posent le fondement de l’église, ils sont cités les premiers. Tout comme on pourrait dire que pour édifier une maison il faut premièrement un maçon qui pose les fondations et construit les murs, deuxièmement un charpentier qui pose la charpente et le toit, troisièmement un plaquiste… Le maçon n’est pas plus grand que l’électricien ou le menuisier qui viennent en deuxième ou troisième position etc. Chacun est un élément essentiel pour l’édification de l’ensemble.
Le rôle des apôtres est prioritaire, mais cette priorité ne signifie pas primauté !
Ma prière en ce jour :
Merci pour la diversité des ministères qui, étant complémentaires, participent les uns et les autres à l’édification de l’Église. Amen!
Paul Calzada

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Psaume 32(31),1-2.5.6-7.
Heureux l'homme dont la faute est enlevée,
et le péché remis !
Heureux l'homme dont le Seigneur ne retient pas l'offense,
dont l'esprit est sans fraude !

Je t'ai fait connaître ma faute,
je n'ai pas caché mes torts.
J'ai dit : « Je rendrai grâce au Seigneur
en confessant mes péchés. »
Et toi, tu as enlevé

l'offense de ma faute.
Ainsi chacun des tiens te priera
aux heures décisives ;
même les eaux qui débordent

ne peuvent l'atteindre.

Tu es un refuge pour moi,

mon abri dans la détresse ;

de chants de délivrance,

tu m'as entouré.

- Que faire au jardin en Février ? -
Demain nous sommes le 1er février, les jours commencent à s’allonger mais l’hiver est encore bien présent. Au jardin, en terrasse ou chez vous il est encore temps d’entreprendre certaines tâches : par exemple diviser les aromatiques, semer des annuelles et même acheter des rosiers à racines nues en vue de la belle saison. On vérifie aussi les pots, on aide les plantes à sortir de leur hivernage et on réalise les premières plantations. A l’intérieur, on chouchoute les plantes d’appartement et on dépoussière les feuilles pour qu’elles s’épanouissent davantage. Février est placé sous le signe de l’anticipation ! Willemse vous aide à prioriser les tâches, quel que soit le type de plante dont vous devez prendre soin.

C'est le moment d'acheter vos rosiers !
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Vous avez envie de variétés de roses bien particulières pour embellir votre jardin cette année ? C’est le moment de commander vos rosiers à racines nues ! N’oubliez pas, lors de la réception de vos plantes, de praliner leurs racines durant toute une nuit avant de procéder à leur plantation le lendemain...
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Récoltez vos légumes d'hiver et semez les légumes-fruits
Que faire au potager en février ?
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Le mois de février est propice à la récolte de choux d’hiver, d’épinards, de frisée, de mâche et de pissenlit pour composer des salades vitaminées. Pensez également à semer vos tomates, courgettes, concombres et autres aubergines sous un abri lumineux, dans une caissette à température ambiante de 20° C environs...
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Que faire sur les terrasses et les balcons en février ?
Que faire sur les terrasses et les balcons en février ?
Les gros froids sont passés, les températures commencent à s’adoucir, les journées s’allongent et le soleil, jusque-là timide, se fait de plus en plus présent. Bien qu’il fasse encore froid en février, tous les indicateurs sont réunis pour annoncer tout doucement la venue du printemps ! Mais avant que la nature ne se réveille complètement, il reste encore quelques travaux à réaliser ; pas question de s’ennuyer ce mois-ci. Voici de quoi faire sur les terrasses et les balcons en février...
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Que faire à l’intérieur en février ?
Les longues heures de jardinage à l’extérieur semblent déjà bien loin ; tout est calme dans les jardins ou sur les terrasses en hiver ; février est le moment propice pour chouchouter ses plantes d’intérieur. Voici quelques conseils pour un programme consacré à vos plantes vertes d’intérieur...

Les gros froids sont passés, les températures commencent à s’adoucir, les journées s’allongent et le soleil, jusque-là timide, se fait de plus en plus présent. Bien qu’il fasse encore froid en février, tous les indicateurs sont réunis pour annoncer tout doucement la venue du printemps ! Mais avant que la nature ne se réveille complètement, il reste encore quelques travaux à réaliser ; pas question de s’ennuyer ce mois-ci. Voici de quoi faire sur les terrasses et les balcons en février.

Préparer le terrain

Si le jardin ne nécessite pas encore de véritable intervention, les plantes en pot sur les terrasses auront besoin d’une vérification. Pour favoriser leur reprise, il faudra vérifier chaque pot : le nettoyer, contrôler son drainage, évacuer les excédents d’eau éventuels dans les soucoupes, … Profitez-en également pour vérifier les plantes qui auront besoin d’être rempotées dans des supports plus grands. Une fois la liste établie, jetez un œil à votre stock pour déterminer si vous avez besoin de le compléter en pots, en terreaux, en engrais, en tuteurs ou autres ! N’oubliez pas ce qu’il vous faudra pour le potager : graines, tuteurs, bêches, … puisque les longs mois d’hiver ont été savamment utilisés pour définir ce que vous souhaitez planter dans votre extérieur !

Aider les plantes à sortir de leur hivernage

Pour éviter que les protections hivernales mises en place quelques semaines auparavant ne produisent un effet de serre sous les rayons du soleil, vous pourrez commencer à les ouvrir, voire même à les enlever complètement si le temps le permet, notamment pour les arbustes !

Réaliser les premières plantations

Si certaines plantations avaient déjà été effectuées en fin d’année, certaines variétés qui tolèrent moins bien les gelées, préfèrent être plantées à partir du mois de février. Pour que jardins et terrasses fleurissent rapidement, il est donc possible de planter quelques fleurs et autres arbustes tels que les rosiers, les pensées, les vignes, les bougainvilliers, etc. En ce qui concerne le potager, on pourra planter des framboisiers, des groseilliers, des prunelliers… et, si vous disposez d’une serre, la palette s’élargit avec les carottes, les radis, les concombres, les céleris, etc.

Démarrer l'arrosage

Evidemment, le mois de février ne nécessite pas d’arrosage abondant et encore moins quotidien ; on parle bien ici d’un apport en eau avec parcimonie et surtout si le temps ne se charge pas de donner aux plantes d’extérieur ce dont elles ont besoin ! Ceux qui devront attirer votre attention sont les bulbes à fleurs, dont la floraison printanière ne tardera pas tels que les tulipes, les jacinthes ou encire les narcisses.
 
Profitez de cette reprise toute en douceur pour confirmer vos souhaits en matière de plantations pour embellir votre extérieur, cette année encore !

mardi 30 janvier 2018


Alors que le pape François vient d’approuver la reconnaissance du martyre des moines de Tibhirine et de douze autres religieux morts en Alégrie, Aleteia vous propose de redécouvrir le testament spirituel de Christian de Chergé, l’un des sept moines de l’abbaye Notre-Dame de l’Atlas de Tibhirine assassinés le 21 mai 1996.

Le Vatican a publié un décret ce 27 janvier reconnaissant le martyre des moines de Tibhirine et de Mgr Pierre Claverie, assassinés en 1996 en Algérie. Christian de Chergé était l’un d’entre eux. Prieur des frères cisterciens de l’abbaye Notre-Dame de l’Atlas de Tibhirine, il a été assassiné à l’âge de 59 ans. Peu de temps avant sa mort, il avait rédigé un testament spirituel… Dans lequel il pardonnait à ceux qui allaient le tuer. Un témoignage d’amour brûlant d’actualité.
« S’il m’arrivait un jour — et ça pourrait être aujourd’hui — d’être victime du terrorisme qui semble vouloir englober maintenant tous les étrangers vivant en Algérie, j’aimerais que ma communauté, mon Église, ma famille, se souviennent que ma vie était DONNÉE à Dieu et à ce pays.
Qu’ils acceptent que le Maître Unique de toute vie ne saurait être étranger à ce départ brutal.
Qu’ils prient pour moi : comment serais-je trouvé digne d’une telle offrande ?
Qu’ils sachent associer cette mort à tant d’autres aussi violentes, laissées dans l’indifférence de l’anonymat.
Ma vie n’a pas plus de prix qu’une autre. Elle n’en a pas moins non plus. En tout cas, elle n’a pas l’innocence de l’enfance. J’ai suffisamment vécu pour me savoir complice du mal qui semble, hélas, prévaloir dans le monde et même de celui-là qui me frapperait aveuglément.
J’aimerais, le moment venu avoir ce laps de lucidité qui me permettrait de solliciter le pardon de Dieu et celui de mes frères en humanité, en même temps que de pardonner de tout cœur à qui m’aurait atteint. Je ne saurais souhaiter une telle mort. Il me paraît important de le professer.
Je ne vois pas, en effet, comment je pourrais me réjouir que ce peuple que j’aime soit indistinctement accusé de mon meurtre. C’est trop cher payer ce qu’on appellera, peut-être, la « grâce du martyre » que de la devoir à un Algérien, quel qu’il soit, surtout s’il dit agir en fidélité à ce qu’il croit être l’Islam.
Je sais le mépris dont on a pu entourer les Algériens pris globalement. Je sais aussi les caricatures de l’Islam qu’encourage un certain islamisme. Il est trop facile de se donner bonne conscience en identifiant cette voie religieuse avec les intégrismes de ses extrémistes.
L’Algérie et l’Islam, pour moi, c’est autre chose, c’est un corps et une âme. Je l’ai assez proclamé, je crois, au vu et au su de ce que j’en ai reçu, y retrouvant si souvent ce droit fil conducteur de l’Évangile appris aux genoux de ma mère, ma toute première Église. Précisément en Algérie, et, déjà, dans le respect des croyants musulmans.
Ma mort, évidemment, paraîtra donner raison à ceux qui m’ont rapidement traité de naïf, ou d’idéaliste : « Qu’il dise maintenant ce qu’il en pense ! » Mais ceux-là doivent savoir que sera enfin libérée ma plus lancinante curiosité.
Voici que je pourrai, s’il plaît à Dieu, plonger mon regard dans celui du Père pour contempler avec Lui ses enfants de l’Islam tels qu’Il les voit, tout illuminés de la gloire du Christ, fruits de Sa Passion investis par le Don de l’Esprit dont la joie secrète sera toujours d’établir la communion et de rétablir la ressemblance en jouant avec les différences.
Cette vie perdue totalement mienne et totalement leur, je rends grâce à Dieu qui semble l’avoir voulue tout entière pour cette JOIE-là, envers et malgré tout.
Dans ce MERCI où tout est dit, désormais, de ma vie, je vous inclus bien sûr, amis d’hier et d’aujourd’hui, et vous, ô mes amis d’ici, aux côtés de ma mère et de mon père, de mes sœurs et de mes frères et des leurs, centuple accordé comme il était promis !
Et toi aussi, l’ami de la dernière minute, qui n’aura pas su ce que tu faisais.
Oui, pour toi aussi je le veux ce MERCI, et cet « À-DIEU » envisagé de toi.
Et qu’il nous soit donné de nous retrouver, larrons heureux, en paradis, s’il plaît à Dieu, notre Père à tous deux.
AMEN ! Inch’Allah ! »
Alger, 1er décembre 1993
Tibhirine, 1er janvier 1994
Christian

La Question du Mardi

En association avec
Une Minute avec Marie et les Questions de fond d'Aleteia

Qui était vraiment Marie-Madeleine ?

Régis Burnet
Né en 1973, Régis Burnet est ancien élève de l'École normale supérieure et professeur de Nouveau Testament à l'Université catholique de Louvain-la-Neuve...

Madeleine est une figure féminine et populaire des Évangiles. Apôtre des apôtres, modèle de confiance, elle est celle qui a aimé Jésus d’un amour d’amitié unique, qu’il ne faut pas avoir peur d’assumer. La Madeleine est bien plus riche que tout ce que l’on a dit !
1. Dans les Évangiles et la tradition patristique, trois femmes ont été identifiées avec Marie-Madeleine : Marie de Magdala, Marie de Béthanie, et la pécheresse anonyme. Il existe un débat parmi les exégètes sur l’assimilation de ces trois femmes à Marie-Madeleine. Mais l’enseignement de l’Église sur cette belle figure unifiée reste d’actualité : Marie-Madeleine est la grande repentie, contemplative et apôtre. En savoir +

2. Marie-Madeleine grandit dans la Tradition. La progression de son culte est un cas intéressant d’hagiographie, c'est-à-dire de formation d’une tradition autour de la vie d’une sainte. La femme de Magdala rencontre un succès foudroyant auprès, successivement, des moines, des nobles et des pauvres. En savoir +

3. L’image d’une Marie-Madeleine sulfureuse est récente. Elle n’a aucun fondement dans les Écritures ou la Tradition : le fruit d’un esprit de « petit blasphème » anticlérical et positiviste au XIXesiècle, elle est érigée au rang de thèse scientifique au XXe siècle et popularisée par des œuvres de fiction au demeurant assez médiocres. En savoir +

4. Dans la tradition chrétienne, et telle que nous la révèle les Écritures, Marie-Madeleine reçoit le nom d’apôtre des apôtres. C’est une référence à son rôle unique de témoin de la résurrection et d’évangélisatrice des apôtres. En savoir +

5. Marie-Madeleine est aussi une figure d’amitié très forte. Elle porte à Jésus un amour fidèle, qui n’a pas besoin d’être sexuel pour être profond. Sa conversation avec Jésus dans le jardin de la résurrection révèle son attachement au corps de son Seigneur, qui en fait un exemple de confiance et de foi. En savoir +

6. La sainte incarne également le repentir et la confiance. La figure de la pénitente touchée par l’amour du Christ est aujourd’hui la plus traditionnelle qui soit. La conversion de Marie-Madeleine est une manifestation de confiance : en cela, elle est, avec la Vierge Marie, un contrepoint éclatant à la défiance d’Ève dans la Genèse. En savoir +
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Plus de questions de fond

la lecture, l’écoute de la louange, la communion fraternelle, les rencontres amicales, l’écriture, etc.


Psaume 86(85),1-2.3-4.5-6.
Écoute, Seigneur, réponds-moi,
car je suis pauvre et malheureux.
Veille sur moi qui suis fidèle, ô mon Dieu,
sauve ton serviteur qui s'appuie sur toi.

Prends pitié de moi, Seigneur,
toi que j'appelle chaque jour.
Seigneur, réjouis ton serviteur :
vers toi, j'élève mon âme !

Toi qui es bon et qui pardonnes,
plein d'amour pour tous ceux qui t'appellent,
écoute ma prière, Seigneur,
entends ma voix qui te supplie.




Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 5,21-43.
Au cours de mes 15 années de ministère pastoral, j’ai rencontré plusieurs chrétiens qui luttaient avec leurs pensées, toutes sortes de mauvaises pensées.
J’en ai vu chercher des solutions dans la délivrance et les exorcismes, d’autres sont allés auprès des psychiatres, d’autres sont allés de ministères en ministères et de conférences en conférences, d’autres ont continué à lutter avec leurs forces tout en comptant sur le Seigneur pour les aider, d’autres ont abandonné la foi car le combat était trop dur et heureusement plusieurs ont retrouvé la paix !
Je ne juge aucun. Bien au contraire, je salue le courage et la détermination de tous ces bien-aimés pour trouver une solution à leur problème. Cela me fait penser à cette femme à la perte de sang “qui avait dépensé tout son bien pour les médecins, sans qu’aucun ait pu la guérir.” (Luc 8:43)
Lorsque j’étais jeune converti, j’avais entre 18 et 20 ans, j’ai eu des luttes avec mes pensées. J’avais des mauvaises pensées qui revenaient quotidiennement, et il semblait que je n’avais plus de contrôle. Cela m’a profondément perturbé. Est-ce que j’aimais le Seigneur ? Est-ce que j’étais vraiment converti ? Le Seigneur pouvait-il me pardonner ces mauvaises pensées quotidiennes ? Est-ce que ce n’était pas le “péché contre le Saint-Esprit” ?
J’ai alors été amené à faire plusieurs constats concernant ces mauvaise pensées à tendance obsessionnelle.
Tout d’abord, j’avais remarqué que plus je luttais contre ces pensées et plus elles étaient nombreuses. Ensuite, j’ai réalisé que mon identité et mon salut ne résidaient pas dans ces pensées, mais en Jésus. Enfin, il m’était apparu évident que ces pensées n’étaient pas le fait d’une volonté personnelle mais plutôt quelque chose que je subissais.
J’ai donc cessé d’accorder de l’importance à ces “mauvaises pensées” et j’ai occupé mes pensées à d’autres choses comme la lecture, l’écoute de la louange, la communion fraternelle, les rencontres amicales, l’écriture, etc. Assez rapidement ces mauvaises pensées ont complètement disparu. Un jour je me suis dit : “Tiens, ça fait plusieurs mois que je n’ai plus de mauvaises pensées !”
Ce n’est qu’un témoignage personnel mais j’ai eu à coeur de le partager avec vous, cela aider peut-être quelqu’un. Cette femme à la perte de sang, qui n’avait jamais trouvé de solution à son problème, a été un jour au bénéfice de la grâce et de la puissance de Jésus.
La grâce de Jésus est gratuite et elle est là pour chacun aujourd’hui. Je crois qu’alors que nous allons prier tous ensemble Dieu va guérir et délivrer plusieurs personnes de ces mauvaises pensées.
Prions pour que nos frères et soeurs bien-aimés, qui sont en proie à des luttes avec leurs pensées, soient délivrés de ce fardeau et retrouvent la paix.
Envoyé avec amour,
Guillaume
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