samedi 31 mars 2012

Le semeur est sorti pour semer.
Il a pris le chemin de nos cœurs
Rien n’arrêtera son geste.
La moisson de l’amour nous attend
Chaque jour
Dieu sème en nous une parole d’humanité
Le Fils de l’Homme vient nous rencontrer
Dieu sème en nous une parole de liberté
Le Fils de l’Homme vient nous relever
Dieu sème en nous une parole de vérité
Le Fils de l’Homme vient nous envoyer

lundi 26 mars 2012

Sur les pas de mon arrière grand-mère ...

Pèlerin de la foi, de l’espérance et de la charité

Vendredi 23 mars 2012, Benoît XVI s’est envolé vers le Mexique qui célèbre le second centenaire de son indépendance. Son voyage se poursuivra à Cuba, du lundi 26 au jeudi 29 mars, pour fêter de la découverte de la "Vierge de la charité", patronne de l’île, depuis 400 ans.

Benoît XVI est arrivé vendredi 23 mars 2012 au Mexique, il a été accueilli à l’aéroport de León par le Président Felipe de Jesús Calderón Hinojosa et Mgr.José Guadalupe Martín Rábago, Archevêque de León. Etaient présents outre 3.500 fidèles le corps diplomatique et de nombreux évêques mexicains. Après les paroles d’accueil présidentiel, le Pape a prononcé son premier discours.



Dans les traces de Jean-Paul II



« Je suis très heureux d’être ici et je rends grâce à Dieu pour m’avoir permis de réaliser mon vœu...de pouvoir confirmer dans la foi le peuple de Dieu au Mexique. La ferveur du peuple mexicain est proverbiale, et le Successeur de Pierre le porte toujours dans sa prière. Je le dis dans ce lieu considéré comme le centre géographique de votre pays, une région où, depuis son premier voyage, mon vénéré prédécesseur désirait venir. Ne pouvant le faire, il avait laissé à cette occasion un message d’encouragement et de bénédiction lors du survol de son espace aérien. Je suis heureux de me faire l’écho de ses paroles sur la terre ferme et en étant parmi vous : Je rends grâce, avait écrit Jean-Paul II, pour l’affection envers le Pape et pour la fidélité au Seigneur des fidèles de Bajió et de Guanajuato. Que Dieu les accompagne toujours... Durant ma brève visite, je désire saluer tous les Mexicains et embrasser tous les peuples latino-américains, représentés aujourd’hui par de nombreux évêques, en ce lieu où le majestueux monument au Christ Roi qui se dresse sur le mont du Cubilete, manifeste l’enracinement de la foi catholique des Mexicains, qui recourent à sa bénédiction dans tous les événements de leur vie. »



Pèlerin de la foi, de l’espérance et de la charité



« Le Mexique et la majorité des peuples latino-américains ont commémoré ou vont commémorer le bicentenaire de leur indépendance. Nombreuses ont été les cérémonies d’action de grâce à Dieu. Comme lors de la messe que j’ai célébrée en la Basilique St.Pierre pour la solennité de Notre Dame de Guadalupe, on a invoqué avec ferveur Marie, la très sainte, qui fit voir avec douceur comment le Seigneur nous aime tous et se donne pour chacun sans distinction. Notre mère du ciel a continué de veiller sur la foi de ses fils, également lors de la formation de ces nations et continue à le faire, alors que de nouveaux défis se présentent à elles

mercredi 21 mars 2012

Heureux les artisans de paix !


Comment dans ces conditions prétendre être artisan de paix ?


Quelle paix recherchons-nous ? Voulons-nous "avoir la paix" ? Voulons-nous "être en paix" ? Vouloir "avoir la paix" à tout prix dans le quotidien nous entraîne parfois dans des attitudes illusoires. Comme par exemple compter sur le changement ou l’amélioration de l’autre, sur son silence ou sa soumission. La paix à ce prix ne sera jamais au mieux que provisoire et, de toute façon, insatisfaisante. Tant que nous concevrons la paix d’abord comme un bien-être, comme un bonheur terrestre ou le fruit de la justice, nous serons déçus. Il ne suffit pas d’avoir la paix pour être en paix. C’est ainsi que la paix s’impose comme un bien spirituel.

Que faire pour "être en paix" ?


Se réconcilier avec Dieu et "faire la paix". L’écouter, méditer l’Evangile et voir par le cœur. S’attacher librement au Christ, déposer son fardeau et, sous sa conduite, nous exercer à l’amour. Aspirer à réaliser la Béatitude "Bienheureux ceux qui font œuvre de paix" (Matthieu 5, 9). Accueillir la tendresse du Christ. S’ouvrir à la bonté, à la patience, à la compréhension, à la sollicitude, à la miséricorde. Mais aussi, intégrer la totalité de notre humanité, y compris toutes nos zones d’ombre pour en faire humblement un chemin vers Dieu. Cette attitude nous aidera à devenir plus humain, à ne pas couper les liens et à nous avancer vers l’autre. A maintenir l’esprit de fraternité en dépit de toutes les ruptures.
« Etre en paix », c’est expérimenter par la grâce de l’Esprit, la présence du Christ et ressentir sa paix dans nos cœurs. Paix qui surpasse toute intelligence, subsiste dans les tribulations et rayonne dans nos rapports avec les hommes.

samedi 17 mars 2012

POUR TOUS QUI ONT UN FAIBLE POUR L'IRLANDE ET DANS SON HISTOIRE JE VOUS ADRESSE CECI :

Le 17 mars, c’est la Saint Patrick !
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Ne vous étonnez pas si, le 17 mars, vous croisez quelques irlandais chantants, dansants et titubants dans les rues…
C’est tout simplement parce que c’est la Saint Patrick !
En ce jour joyeux, tous les irlandais du monde se réunissent dans les pubs pour célébrer la fête nationale irlandaise.

La fete Irlandaise par excellence

Chaque année, la St Patrick est l’occasion pour eux de rendre hommage à leur beau pays. Généralement vêtus de vert, couleur traditionnelle de l’Irlande, les irlandais immortalisent le 17 mars en défilant fièrement dans les rues. Ils en profitent aussi pour déguster des plats traditionnels, trinquer à la bière, danser et chanter à tue tête !
Mais les irlandais ne sont pas les seuls à célébrer St Patrick… Cette fête est devenue si populaire qu’elle réunit tous les fêtards non-irlandais ! Comme on dit : plus on est de fous, plus on rit !!

Qui est St Patrick ?

Avant d’être le jour de la fête nationale irlandaise, le 17 mars est avant tout le jour de la Saint Patrick, le saint patron de l’Irlande. Selon la religion catholique, le saint Patrick est un prêtre qui a convertit l’Irlande Celtique au christianisme au Vème siècle. On raconte qu’il a évangélisé le pays en expliquant aux habitants les préceptes de la religion chrétienne. Vous remarquerez que Saint Patrick est souvent associé au trèfle… En effet, les légendes disent qu’il s’en servait pour apprendre aux gens le concept de la Sainte Trinité : une feuille pour le Père, une le Fils et une le Saint Esprit. Depuis, le trèfle est l’emblème national de l’Irlande et les irlandais le porte à leur boutonnière le jour de la Saint Patrick !

mercredi 14 mars 2012

Un chant d’amour Touareg dit : "Ne parle que si ta parole est plus belle que le silence".

lundi 12 mars 2012

Confiance dans la miséricorde[modifier]
La conscience accrue de la miséricorde de Dieu est un aspect essentiel de la petite voie, découverte fin 1894, par Thérèse. À peine a t-elle réalisé qu'en restant petite elle peut devenir sainte, qu'elle s'écrie : « O mon Dieu, vous avez dépassé mon attente et moi je veux chanter vos miséricordes »[E 31]. Elle a compris que la miséricorde de Dieu est particulièrement grande pour ceux qui se savent faibles, imparfaits et qui comptent sur lui[36]. Ce mot miséricorde, qui était jusqu'alors assez rare dans ses écrits, vient maintenant au premier plan[36]. Ainsi, c'est encore pour « chanter les miséricordes du seigneur » qu'elle accepte d'écrire, en 1895, ses souvenirs d'enfance, dans ce qui sera connu ensuite comme le manuscrit A[E 64], [36]. Et dans l'acte d'offrande qu'elle fait en juin de la même année, elle associe cet amour miséricordieux à « des flots de tendresse infinie »[E 34].
La miséricorde ne se résume donc pas, pour elle, au pardon de Dieu, même si cette dimension est importante. Elle a aussi trait à la douceur et à la tendresse de Dieu qui se penche sur les plus petits[36]. Dans l'ancien testament, le mot hébreu « Rah'amim » ( רחמים ) désigne d'abord le sein maternel, puis la tendresse qui en est issue, tendresse miséricordieuse. Ce mot évoque la tendresse maternelle de Dieu pour son peuple et ses enfants, pour les petits et les pauvres[42]. La découverte par Thérèse de la petite voie s'inspire d'ailleurs d'un passage du livre d'Isaïe (ch 66, 12-13), sur l'amour de Dieu pour son peuple, comparable à celui d'une mère pour ses enfants[E 31].
Si la petite voie ouvre, par une plus grande union à Dieu, sur une charité plus parfaite, l'homme demeure pourtant imparfait et peut encore tomber dans le péché[43]. Mais dans ce cas, il peut recourir, avec confiance, au pardon de Dieu qui le relève[43]. Sur ce point, Thérèse est particulièrement prolixe[43]. Elle dit, s'inspirant, comme souvent, des enfants : « Être petit ... c'est ne point se décourager de ses fautes, car les enfants tombent souvent, mais ils sont trop petits pour se faire beaucoup de mal »[E 65]. Elle qui a longtemps souffert des scrupules rassure maintenant l'abbé Bellière, qui s'inquiète de ses fautes passées[43]. En juin 1897, Thérèse lui écrit : « Le souvenir de mes fautes m'humilie, me porte à ne jamais m'appuyer sur ma force qui n'est que faiblesse, mais plus encore ce souvenir me parle de miséricorde et d'amour. Comment, lorsqu'on jette ses fautes avec une confiance toute filiale dans le brasier dévorant de l'amour, comment ne seraient-elles pas consumées sans retour ? »[E 66].
Ce sens de la miséricorde est crucial dans les derniers mois de sa vie, quand elle passe par l'épreuve de la nuit de la foi. Durant cette période, elle est assaillie de telles tentations qu'elle comprend mieux ce que vivent les plus grands pécheurs[D 136]. Pourtant, elle ne cesse de croire en la miséricorde infinie de Dieu pour celui qui revient vers lui[F 37]. Elle va jusqu'à dire, en juillet 1897, à sa sœur Pauline : « Dites bien, ma Mère, que si j'avais commis tous les crimes possibles, j'aurais toujours la même confiance, je sens que toute cette multitude d'offenses serait comme une goutte d'eau jetée dans un brasier ardent »[E 67].
Sa dernière lettre, à l'abbé Bellière, en août 1897, se termine par ces mots : « Je ne puis craindre un Dieu qui s'est fait pour moi si petit... Je l'aime !... Car il n'est qu'amour et miséricorde ! »[

samedi 3 mars 2012

Hymne à la lumière !

Hymne à la Lumière





O lumière resplendissante de beauté !

Qui luit au cœur du monde à satiété.

Illumine de ta pureté l’humble travailleur

Qui au crépuscule se fait veilleur en douceur !

O lumière resplendissante de beauté !

Protège de ta blancheur pureté

Celui qui lutte contre toute hostilité

Bénie es-tu resplendissante beauté !





Sophie en ce soir du 3 Mars 2012