jeudi 26 avril 2012

OH QU'IL EST DOUX
DE POUVOIR MARCHER
SUR LES CHEMINS DOUX
SANS L'AIDE DE BEQUILLES
OH QU'IL EST DOUX
DE POUVOIR MARCHER
DE RETROUVER LE SENS
DU TOUCHER DE LA TERRE
EN CE PRINTEMPS NOUVEAU
OH QU'IL EST DOUX
DE POUVOUR LOUER
TOUTES CES MERVEILLES
NOUVELLES QUI S'EVEILLENT
OH QU'IL EST DOUX
DE POUVOIR CHANTER
LE PRINTEMPS NOUVEAU
QUI SILLONNE EN DOUCEUR
VERS DES CHEMINS PROMETTEURS !

EN AVANT MARCHE DANS LA LOUANGE !

SOPHIE EN CE JEUDI 26 AVRIL 2012

lundi 16 avril 2012

Confiance avec St augustin !

C'est l'Amour qui demande,

C'est l'Amour qui cherche,

C'est l'Amour qui frappe à la porte,

C'est l'Amour qui découvre,

C'est l'Amour enfin qui demeure en ce qu'il a découvert.

St Augustin

samedi 14 avril 2012

FOI CONFIANCE MISERICORDE

La foi est la clef qui ouvre des flots de Miséricorde. La Miséricorde divine seule peut déverser en nous les flots de la grâce qui nous régénère, qui nous enfante à la vie éternelle, qui nous établit dans la communion ecclésiale et fraternelle (« un seul coeur, une seule âme » comme le dit la 1ère lecture), qui nous lave de tout péché. Mais c'est après avoir suscité et donné la foi en notre Rédempteur que cet amour miséricordieux peut nous atteindre : « Celui qui croit que Jésus est le Christ, celui-là est vraiment né de Dieu » (cf. 2e lecture) ; « cesse d'être incrédule, dit Jésus à saint Thomas, sois croyant ». Tout ce qui a été écrit dans l'Évangile l'a été afin que nous croyions que Jésus est le Messie, le Fils de Dieu et afin que, par notre foi, nous ayons la vie en son nom, peut-on dire en paraphrasant le dernier verset de l'évangile de ce dimanche. La foi est bien la clé qui ouvre notre coeur pour que nous recevions la grâce. À nous d'être disponibles à la volonté de Dieu, d'être attentifs et désireux d'y correspondre au mieux.

EN CES TEMPS NOUVEAUX
QUE NOTRE COEUR
S'OUVRE AU BONHEUR
DE CHEMINS NOUVEAUX !!!

SOPHIE EN CE SAMEDI 14 AVRIL 2012 SUITE A CETTE REFLEXION !

mardi 3 avril 2012

Parlons Prières
  • La vie donnée en abondance

    Qui fait oraison freine sa vie et peut regarder le temps qui passe. Je ne pense pas ici à l’examen du passé et aux résolutions pour l’avenir, c’est plutôt le domaine de la méditation, et il faut d’ailleurs s’en méfier : tout est bon pour fuir les exigences du présent. On regrette tellement les ratés du passé et on se promet tant de faire cela et cela dans l’avenir qu’on laisse distraitement le présent nous glisser entre les doigts.
    Mais l’oraison, elle, saisit le présent, elle utilise au maximum la minute à vivre. Intense présence à soi-même et à Dieu, elle est un morceau de vie quotidienne vécue en total éveil. Il y a d’autres moments d’éveil : la recherche, l’amour, le service, la création artistique, la performance sportive… Mais l’oraison est d’une intensité unique car elle est le plus fort contact avec notre profondeur et le plus ardent appel à Dieu qui veut que nous vivions.
    « Je suis venu pour qu’ils aient la vie et qu’ils l’aient en abondance » (Jean 10, 10)
    L’oraison nous installe dans un instant, rien que pour vivre cet instant, elle est ce qu’il y a de plus pur et de plus concentré dans notre vécu. Par le fait même, elle tend à nous redonner chaque jour un style général de vie éveillée. Nous pourrions tellement accueillir et donner, rien qu’en un seul jour ! Mais c’est au prix d’une continuelle lutte contre la lourdeur et la somnolence d’esprit.
    Une lutte que Jésus exige avec une insistance qui doit nous faire réfléchir. Visiblement, il n’aimait pas les gens qui ne tirent pas parti de leur vie ou qui se laissent surprendre :
    « Restez sur vos gardes, de peur que vos cœurs ne s’alourdissent dans la débauche, la boisson, les soucis de la vie. Veillez et priez en tout temps, afin d’avoir la force d’échapper à tout ce qui doit arriver et de paraître debout devant le Fils de l’homme » (Luc 21, 34-36).
    Bien entendu, là se place une méditation sur la parabole des talents. Chaque fois que je la reprends pour moi-même ou pour la prêcher j’ai toujours un choc : « Toi, que fais-tu de ta vie ? Est-ce cela que Dieu attend de toi ? »
    Père André Sève, assomptionniste.