lundi 28 décembre 2015

confiance avec Joseph !

Beaucoup de personnes passeront par l'école de Joseph, peut-être même que c'est votre cas aujourd'hui ?
 
Alors face aux épreuves restez calme, attendez comme Joseph patiemment et 
fidèlement le temps de Dieu,
sachant
que personne n'est plus grand que celui qui vous a donné la vision.


Une prière pour aujourd'hui


Père, illumine les yeux de mon cœur et donne-moi l'intelligence
 
pour que je puisse discerner la raison de mon existence.

Tout
 comme Joseph,
 je te demande de me garder,
de
 me fortifier pendant chaque étape de ma formation.

Au
 nom de Jésus.
 Amen.

dimanche 27 décembre 2015

Cependant, la Bible nous encourage à comprendre que nous servons le Dieu des nouveaux commencements. Il est le Dieu qui ressuscite les morts, qui a créé l'univers, qui a façonné le monde par sa parole. Il est celui pour qui il n'existe pas de limite et à qui rien n'est impossible. Il annonce ce qui doit arriver dès le commencement (Ésaïe 46.10).

Vous avez l'occasion d'avoir un nouveau commencement : à savoir, mettre de côté vos doutes et les remplacer par la foi, à vous attendre à des miracles et non à des échecs, à reconnaître qu'avec Dieu, il n'est jamais trop tard. Et quelles que soient les apparences, il n'existe aucun problème trop grand que Dieu ne puisse résoudre ! Aucun ennemi qu'il ne puisse défaire ! Il est le Dieu des miracles !

Maintenant, ne vivez plus dans le passé, ne vous contentez pas des expériences d'hier, ou de l'année dernière. Ne vous sentez pas vaincu, ne pensez pas que vos prières n'auront jamais de réponse. Laissez plutôt Dieu vous inonder de bénédictions ! Soyez prêt à recevoir de nouvelles révélations et de la sagesse. Laissez Dieu vous enseigner de nouvelles choses et vous bénir d'une nouvelle manière. Laissez-le changer votre vie !

Aujourd'hui, remplissez votre vie de louanges ! Chantez un chant nouveau en l'honneur de son nom ! Louez-le. Adorez-le ! Faites-lui confiance ! Déclarez que ses promesses sont vraies dans votre vie. Ayez foi et laissez-le accomplir une chose nouvelle et puissante en vous.

Une prière pour aujourd'hui

Père, je te permets de me changer. Enseigne-moi de nouvelles vérités. Ouvre mon esprit. Je ne te limiterai pas ! Je crois que tu peux faire des miracles. Je reçois une révélation plus grande. Au nom de Jésus. Amen.


John Roos
 

vendredi 25 décembre 2015

 
 
 
De la part de toute l'équipe de l'Etoile Notre Dame, un message d'espérance pour chacun de vous...
 
Bénédiction solennelle de la Messe de Noël :
 
« Que Dieu vous sauve de l'aveuglement du péché et qu'il ouvre vos yeux à la lumière.»
Amen !
« Qu'il mette en vos cœurs cette même joie et vous prenne comme messagers de la Bonne Nouvelle. »
Amen !
« Qu'il vous donne sa paix, qu'il vous tienne en sa bienveillance, qu'il vous unisse dès maintenant à l'Eglise du ciel. »
Amen !
 

JOYEUX NOEL 2015 !

Croyons en son amour, croyons à l’amour dans notre vie, nous verrons de grandes choses.
À vous tous, un très joyeux Noël !

jeudi 24 décembre 2015

JOYEUX NOEL

Je vous salue Marie pleine de grâces
Le Seigneur est avec vous
Vous êtres bénie entre toutes les femmes
et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, mère de Dieu
Priez pour nous pauvres pêcheurs maintenant et à l’heure de notre mort.

En cette nuit de Noël, prions tous ensemble notre mère qui nous donne Son Fils

Humilité et Confiance ...

...pour un VRAI NOEL qui changera ta vie maintenant, chaque jour et pour l'éternité !"

Invite-moi dans la crèche de ton coeur, par une simple prière de repentance, avec tes propres mots mais avec vérité et sincérité, et je répondrai à ton invitation sans tarder, comme je l'ai fait pour des millions d'hommes, de femmes et d'enfants dans le monde qui m'ont ouvert la porte de leur coeur.


L'Eternel, ton Créateur, qui t'aime.

« L’humilité de l’incarnation et la charité de la passion ».

24 décembre - Vigile de la Nativité 

Un jour, à table, un frère rappela la pauvreté de la bienheureuse Vierge…

Il n’importe pas uniquement de savoir que Dieu s’est fait homme; il importe aussi de savoir quel genre d’homme il s’est fait. La manière dont Jean et Paul décrivent l’événement de l’Incarnation, de façon différente et complémentaire, est significative. Pour Jean, le Verbe qui était Dieu s’est fait chair; pour Paul, « le Christ qui était dans la condition de Dieu, se dépouilla lui-même en prenant la condition de serviteur, et  s'est abaissé lui-même en devenant obéissant jusqu'à en mourir ». François d’Assise se situe dans la ligne de saint Paul. Plus que sur la réalité ontologique de l’humanité du Christ (en laquelle il croit fermement avec toute l’Eglise), il insiste, jusqu’à s’en émouvoir, sur l’humilité et la pauvreté de celle-ci.

Deux choses avaient le pouvoir de l’émouvoir aux larmes : « L’humilité de l’incarnation et la charité de la passion ». « Il lui était impossible de ne pas fondre en larmes en pensant à la pauvre petite Vierge, qui se trouva, ce jour-là, dans un si complet dénuement. Un jour, à table, un frère rappela la pauvreté de la bienheureuse Vierge et la détresse du Christ, son enfant. Sur le champ, François se leva, secoué de sanglots douloureux, il s'assit sur la terre nue pour manger le reste de son pain. 

mardi 22 décembre 2015

Confiance !

Une prière pour aujourd'hui

Merci mon Dieu d'avoir envoyé ton fils Jésus pour sauver l'humanité. Merci d'être le maître du temps et des circonstances. Même les contretemps sont un instrument dans ta main ! Je choisis de te faire confiance pour aujourd'hui et pour demain.


C'est donné !

c'est donné ! Telle est la porte de ce royaume que nous ouvre l’enfant de Noël ! Voilà la source de la vraie joie ! -



« Le Puissant fit pour moi des merveilles »


             « Mon âme magnifie le Seigneur. » Comment le magnifies-tu ? Rendrais-tu donc plus grand celui dont la grandeur est infinie ? « Le Seigneur est grand, dit le psalmiste, et louable infiniment » (Ps 144,3). Il est grand, et si grand que sa grandeur ne supporte ni comparaison ni mesure. Comment donc le magnifies-tu, puisque tu ne le rends pas plus grand ?


            Tu le magnifies parce que tu le loues. Tu le magnifies parce que, au milieu des ténèbres de ce monde, plus lumineuse que le soleil, plus belle que la lune, plus odorante que la rose, plus blanche que la neige, tu fais connaître davantage la splendeur de Dieu. Tu le magnifies non pas en donnant un accroissement à sa grandeur sans mesure, mais en apportant, parmi les ténèbres du monde, la lumière de la vraie divinité... Tu le magnifies lorsque tu es élevée à une dignité si haute que tu reçois la grâce en plénitude (Lc 1,28), que tu mérites la visite de l'Esprit Saint, et que, devenue Mère de Dieu tout en restant vierge inviolée, tu enfantes un Sauveur pour le monde qui se perd.


            D'où vient cela ? De ce que le Seigneur est avec toi (Lc 1,28), le Seigneur qui a fait de ses dons tes mérites. Voilà pourquoi l'on dit que tu le magnifies : parce que toi-même tu es magnifiée en lui et par lui. Ton âme magnifie donc le Seigneur seulement en ce sens que toi-même tu es magnifiée par lui..., car tu es le réceptacle du Verbe, le cellier du vin nouveau qui enivre la sobriété des croyants. Tu es la Mère de Dieu.

lundi 21 décembre 2015

Le scoutisme, pour franchir les barrières entre quartiers

SCOUTISME EN QUARTIERS
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Témoignage de Mathieu Brindisi, bénévole et responsable national Scoutisme en quartier.
Par Chantal Joly
La rencontre a eu lieu pendant la deuxième semaine des vacances de la Toussaint. Sur cinq sites de la commune d’Argenteuil (Val d’Oise), 140 enfants accompagnés par 30 stagiaires avec 5 équipes mixtes de formateurs (éducateurs du Valdocco[1] et responsables scouts) ont passé un après-midi à jouer aux aventuriers. Un autre après-midi, 36 enfants de 6-10 ans d’Argenteuil, amenés par le Valdocco, ont pique-niqué et entrepris un vaste jeu de pistes déguisés en pirates dans le parc de Jambville (Yvelines), centre de formation et d’activités des Scouts et Guides de France. Des temps d’activités en situation réelle organisés dans le cadre d’une session de formation au BAFA[2], stages qui d’ordinaire n’accueillent pas d’enfants.
« C’est la quatrième édition de cette initiative qui croise deux expertises », explique Mathieu Brindisi. Né en banlieue parisienne à Colombes (Hauts-de-Seine), professeur de Français dans un collège qui fait le pari de métisser des milieux sociaux très opposés, Mathieu a rejoint il y a deux ans l’équipe bénévole Scoutisme en Quartiers et depuis septembre dernier, en est devenu le responsable national afin « de servir ce projet particulier ». « Il n’y a rien de pire, explique-t-il,que l’entre-soi, surtout dans les mouvements d’éducation ». De fait, les groupes de Scouts et Guides de France implantés en quartiers sont « comme tous les autres ». Et si le désir de «proposer le scoutisme à tout le monde » reste la pierre d’angle de la dynamique, celle-ci s’oriente aujourd’hui vers la volonté de s’ouvrir plutôt que de se limiter territorialement. Avec par exemple la proposition pour un groupe de quartiers de rejoindre un camp ou l’organisation par un groupe de centre-ville d’une animation de rue en périphérie.
Une expérience comme celle des vacances de la Toussaint, avec deux ateliers (« Se préparer à la rencontre », « Avoir vécu la rencontre » pour construire et déconstruire des préjugés), fait toucher du doigt et tomber bien des appréhensions et représentations. « Le jeune adulteanimateur qui, dans son local paroissial trouve impressionnant d’arriver au pied de barresd’immeubles se rend compte qu’il peut tout à fait occuper cet espace pour le jeu », raconte Mathieu.
Le débriefing à chaud a également l’intérêt de se faire avec les éducateurs du Valdocco qui repèrent des détails qui ne sautent pas aux yeux des non-initiés, comme la présence ou non de grands jeunes ou le regard des habitants pendant l’activité.
 [1]  Fondé en 1995 à Argenteuil de la rencontre entre un collectif d’habitants et des Salésiens de Don Bosco, Le Valdocco réalise des actions auprès des jeunes en faveur de la prévention, de l'éducation et de l'insertion professionnelle.
[2] Brevet d'Aptitude aux Fonctions d'Animateur.

L’expérience de la joie nous met en route

         En ces jours-là, Marie se mit en route.         
Évangile selon saint Luc, chapitre 1, verset 39
« Marie se mit en route. »
Lors de l’Annonciation, elle a été bouleversée par une initiative totalement gratuite de Dieu. La joie nous met en route. Nous sommes en mesure de répondre à son appel grâce à la joie qu’il nous donne. Joie née de la confiance en son inconditionnelle bienveillance. 
La Parole de Dieu peut nous saisir pour nous conduire ailleurs, car elle est toujours autre que nous ne l’imaginions. C’est une parole créatrice, libératrice, révélatrice du bien dont nous sommes capables. Elle libère en nous la force créatrice d’un désir inspiré par Dieu qui nous donne d’agir.
En quoi consiste précisément cette mise en route ? Elle est essentiellement de nature relationnelle. Marie part pour visiter sa cousine Élisabeth. Celle-ci a elle-même reçu de Dieu un nouvel élan en concevant un enfant.
L’enfant est le signe de l’ouverture à l’avenir et c’est en cela que nous devons être comme de petits enfants ! Le propre de l’esprit est de croître à tout âge chez ceux qui gardent un cœur d’enfant, capable de s’ouvrir à la confiance.
En contemplant Marie, ayons le désir de telles mises en route. Ce sera souvent avec, comme bagages, bien des pauvretés, nous n’en rencontrerons que mieux les autres en esprit de service. Cet humble mouvement d’ouverture et de disponibilité nous rendra libres ! N’hésitons pas à demander à Dieu cette nouvelle naissance à la rencontre ! Il vient à nous en ce Noël, Emmanuel, Dieu avec nous, pour se donner à nous. Choisissons de lui faire confiance. Il peut nous ouvrir ce chemin
.
Méditation enregistrée dans un studio de Radio Notre-Dame Paris.
L’expérience de la joie nous met en route
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confiance en Dieu


Choisissons de lui faire confiance. Il peut nous ouvrir ce chemin.

samedi 19 décembre 2015

vendredi 18 décembre 2015

"Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes choses vous seront données par-dessus."Matthieu 6.33
Lorsque Jésus veut enseigner ses disciples à prier, il leur rappelle que leurs besoins personnels doivent venir après Dieu, son règne, son royaume, sa gloire. La requête : "Donne-nous notre pain quotidien" (Matthieu 6.11) vient après le règne de Dieu. 

Il est essentiel que nos pensées soient tournées d'abord vers les autres.
Prier pour nos besoins quotidiens est certainement ce que nous savons faire le mieux. Cette prière peut revêtir diverses formes : "Bénis mon mari, mon épouse, ma famille, mon travail, mes biens, ma nourriture…" Les "me, mon, ma, mes" sont en première ligne. Cependant, avec raison, Jésus place ces besoins après les intérêts de Dieu. Ceci nous oblige à nous poser la question de nos priorités dans la prière.

Lorsque Jésus nous invite à demander "notre pain quotidien", n'oublions pas que cela se passait dans un contexte, où le pain de chaque jour n'était pas une garantie absolue. N'oublions pas aussi que cette situation de précarité est, aujourd'hui encore, le cas d'un grand nombre de personnes sur notre terre. Prier pour nos besoins en oubliant ces déshérités, n'est-ce pas faire preuve d'un égocentrisme regrettable ? 

Si nous pouvons aller à l'église, sans la crainte qu'on nous menace, qu'on nous arrête ou qu'on nous tue, nous sommes plus heureux que trois milliards de personnes au monde qui ne connaissent pas cette liberté. S'il y a de quoi manger dans notre frigo et que nous sommes vêtus, nous sommes plus riches que 75% des habitants de ce monde. Si nous lisons cette pensée nous sommes bénis, car nous ne faisons pas partie des deux milliards de personnes qui ne savent pas lire ! Lorsque nous prions pour nos besoins, n'oublions pas ces milliards d'hommes, de femmes et enfants qui n'ont pas d'eau potable, d'école, de médecin, de maison, qui sont battus, emprisonnés injustement, qui meurent de faim et aimeraient manger nos ordures ! 

Certes, nous pouvons prier pour nos besoins quotidiens, mais il est essentiel que nos pensées soient tournées d'abord vers les autres. Chaque jour des enfants meurent de faim, certains vont se vendre pour pouvoir manger un bol de riz. Nos poubelles débordent de déchets, alors que des millions d'enfants se nourrissent sur les ordures ménagères dans le tiers monde ! Esaïe dit : "partage ton pain avec celui qui a faim" (Esaïe 58.7). 

Une remarque pour aujourd'hui

Ne soyez pas des sangsues qui disent égoïstement : "Donne, donne !" (Proverbes 30.15). Que la prière pour vos besoins quotidiens soit toujours placée dans cette perspective de générosité et de partage avec votre prochain.
 
:: Le désir de notre coeur, en tant que mission, est de poursuivre l'oeuvre pendant “qu'il est encore temps, car le jour vient où personne ne pourra travailler”. Soutenez le Top Chrétien dès aujourd'hui  et devenez vous aussi le miracle dans la vie de quelqu'un ::

jeudi 17 décembre 2015

Avancez vers la destinée que Dieu vous réserve.


Le don de la Sagesse


         Je suis issue de la bouche du Très-Haut.         
Livre de Sirac le Sage, chapitre 24, verset 3
« Ô Sagesse de la bouche du Très-Haut, toi qui régis l’univers avec force et douceur. »*
Le compte à rebours est commencé. Dans sept jours viendra la fête. À partir d’aujourd’hui, on chante des refrains spéciaux appelés « grandes antiennes de l’Avent ». Créées au tout début du christianisme, elles sont aussi appelées « grandes Ô », car elles s’adressent au Christ de façon très solennelle. À l’image des « grandes eaux » du château de Versailles, elles font monter vers le Ciel, dans une ardente supplication, l’immense désir de l’humanité d’être sauvée par le haut.
Beaucoup d’entre nous sont déçus par la médiocrité des humains. Mais dès que l’un d’entre nous est reconnu vrai « sage », il devient notre référence, notre phare, dans cette nuit où tout est devenu relatif.
Nous lui signons un chèque en blanc, car être reconnu sage montre qu’il est passé maître dans l’art de vivre et de gouverner sa vie dans l’équilibre que nous recherchons tous.
Aujourd’hui, le Christ est interpellé comme « Sagesse » du Père. Comme si, en ce jour, nous lui disions : « À l’image de ton Père, tu vas venir sans bruit. » « Avec force et douceur », tu nous montres le bon chemin. Ta manière si discrète et si présente de venir dans la nuit de ce monde nous déroute. Mais cette façon si personnelle de te manifester dans le mystère de Noël, nous le confessons, nous ravit. Nous te signons un chèque en blanc : « Viens, Seigneur, viens nous sauver ! »