lundi 31 août 2020

MARIE VOUS PARLE “...Petits enfants, réjouissez-vous en Dieu le Créateur car II vous a créé de façon si merveilleuse. Priez pour que votre vie soit un joyeux remerciement qui coule de vos cœurs comme un fleuve de joie. Petits enfants, remerciez sans cesse pour tout ce que vous possédez...“ Prions un “NOTRE PERE”, Un “JE VOUS SALUE MARIE”, Un “GLOIRE AU PERE” Un chant : Voici la demeure de Dieu

 


Et la réputation de Jésus se propageait dans toute la région. 

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris


Bulle

Saint Cyrille de Jérusalem (313-350)
évêque de Jérusalem et docteur de l'Église
Catéchèses baptismales, n°11, 5-10 (Catéchèses baptismales et mystagogiques, traduites et présentées par J. Bouvet; coll. Les écrits des Saints; Éd. Soleil Levant, 1962, p. 211s rev.)


« Du haut des cieux, ta Parole toute puissante s'élança du trône » (Sg 18,15)

Dieu est esprit (Jn 4,24), et donc celui qui est esprit a engendré spirituellement (...), d'une génération simple et incompréhensible. Le Fils lui-même dit du Père : « Le Seigneur m'a dit : ‘Tu es mon Fils; aujourd'hui, je t'ai engendré’ » (Ps 2,7). Cet aujourd'hui n'est pas récent mais éternel ; cet aujourd'hui n'est pas dans le temps, mais avant tous les siècles. « De mon sein, avant l'étoile du matin, je t'ai engendré » (Ps 109,3 LXX). Crois donc en Jésus Christ, Fils du Dieu vivant, mais Fils unique comme le dit l'Évangile : « Dieu a tant aimé le monde qu'il lui a donné son Fils unique, afin que celui qui croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle » (Jn 3,16). (...) Saint Jean témoigne à ce sujet : « Nous avons contemplé sa gloire, la gloire qu'il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité » (Jn 1,14).
Les démons eux-mêmes, tremblant devant lui, s'écriaient : « Laisse-nous ! Qu'y a-t-il entre toi et nous, Jésus ? Toi qui es le Fils du Dieu vivant ! » Il est donc Fils de Dieu par nature, et non pas par adoption, puisqu'il est né du Père. (...) Le Père, Dieu véritable, a engendré le Fils semblable à lui-même, Dieu véritable. (...) Le Père a engendré le Fils autrement que, chez les hommes, l'esprit engendre la parole ; car l'esprit en nous subsiste, tandis que la parole , une fois prononcée, s'évanouit. Nous savons, nous, que le Christ a été engendré « Parole vivante et subsistante » (1P 1,23), née du Père éternellement, de façon inexprimable, de même nature que lui : « Au commencement était la Parole et la Parole était Dieu » (Jn 1,1). Parole qui comprend la volonté du Père et produit toutes choses par son ordre ; Parole qui descend et qui remonte (cf Is 55,11) ; (...) Parole pleine d'autorité et qui régit tout car « le Père a tout remis entre les mains du Fils » (Jn 13,3).

dimanche 30 août 2020

 

Mais lui, passant au milieu d’eux, allait son chemin. 

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris


Bulle

Saint Jean-Paul II (1920-2005)
pape
Lettre apostolique « Novo Millenio Inuente », § 4 (trad. © Libreria Editrice Vaticana)


« C'est aujourd'hui »

       « Nous te rendons grâce, Seigneur Dieu, Maître de tout » (Ap 11,17)... Cette dimension de louange est de première importance. C'est en effet de là que part toute réponse authentique de foi en la révélation de Dieu dans le Christ. Le christianisme est grâce ; c'est la surprise d'un Dieu qui, non content de créer le monde et l'homme, s'est mis à la hauteur de sa créature et « après avoir, à maintes reprises et sous maintes formes, parlé par les prophètes, en ces jours qui sont les derniers, nous a parlé par son Fils » (He 1,1-2).
      En ces jours ! Oui, le Jubilé nous a fait sentir que deux mille ans d'histoire ont passé sans atténuer la fraîcheur de cet « aujourd'hui » par lequel les anges ont annoncé aux bergers l'événement merveilleux de la naissance de Jésus à Bethléem : « Aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur » (Lc 2,11). Deux mille ans ont passé mais plus que jamais reste vivante la proclamation que Jésus a faite de sa propre mission dans la synagogue de Nazareth devant ses compatriotes stupéfaits, s'appliquant à lui-même la prophétie d'Isaïe : « Cette parole de l'Écriture que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit ». Deux mille ans ont passé, mais les pécheurs qui ont besoin de miséricorde –- et qui n'en a pas besoin ? –- trouvent toujours une consolation dans cet « aujourd'hui » du salut qui, sur la croix, a ouvert les portes du Règne de Dieu au larron repenti : « Amen, je te le déclare : aujourd'hui, avec moi, tu seras dans le Paradis » (Lc 23,43).

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jeudi 27 août 2020

 

Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure. » 

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris


Bulle

Vénérable Madeleine Delbrêl (1904-1964)
missionnaire des gens des rues
Les vertus devenues folles (La joie de croire, éd. du Seuil, 1968, p. 67-68, rev.)


Les vertus sages et les vertus folles

On nous a bien expliqué que tout ce que nous avons à faire sur la terre c’est d’aimer Dieu.
Et pour que nous ne soyons pas indécis, en peine de savoir nous y prendre, Jésus nous a dit que la seule façon, la seule recette, le seul chemin, c’était de nous aimer les uns les autres.
Cette charité qui, elle aussi, est théologale, parce qu’elle nous soude inséparablement à Lui, elle est la porte unique, le seuil unique, l’entrée unique à l’amour même de Dieu. À cette porte, tous ces chemins que sont les vertus aboutissent.
Toutes ne sont faites au fond que pour nous y conduire, plus vite, plus allégrement, plus sûrement. Une vertu qui n’aboutit pas là, c’est une vertu devenue folle. (…)
Et cela pourra peut-être nous amuser
d’arriver à une humilité sensationnelle,
ou à une pauvreté imbattable,
ou à une obéissance imperturbable,
ou à une indéréglable pureté ;
cela pourra peut-être nous amuser,
mais si cette humilité, cette pauvreté, cette pureté, cette obéissance ne nous ont pas fait rencontrer la bonté,
si ceux de notre maison, de notre rue, de notre ville, ont toujours aussi faim et aussi froid,
s’ils sont toujours aussi tristes et enténébrés,
s’ils sont toujours aussi seuls, nous serons peut-être des héros,
mais nous ne serons pas de ceux qui aiment Dieu.
Car il en est des vertus comme des vierges sages,
qui, leur lampe à la main, restent blotties à cette unique porte,
la porte de la dilection,
de la sollicitude fraternelle,
la seule porte qui s’ouvre sur les noces
de Dieu avec ses amis.

 

 

mercredi 26 août 2020

 Soyons alertes !

Soyez attentifs à mes paroles et prêtez l’oreille à mes humbles discours ; à vous tous, je crie, tous, je vous exhorte : « Élevez-vous vers Dieu, défaites-vous de vos attachements aux passions ! » Voici ce que vous crie le prophète : « Venez, montons à la montagne du Seigneur et à la maison du Dieu de Jacob » (Is 2,3), celle de l’impassibilité, et contemplons avec les yeux de notre intellect la joie qui nous est réservée par les promesses célestes.
Mes enfants bien-aimés, ramassez votre ardeur, prenez des ailes de feu comme les colombes, selon ce qu’il est écrit, envolez-vous (cf. Ps 54,7), et passez dans les rangs de droite (cf. Mt 25,33), ceux de la vertu. Accueillez joie, désir spirituel et passionné de Dieu. Goutez la très grande douceur (cf. Ap 10,9-10) de son amour et, par lui, considérant toutes choses comme secondaires, foulez aux pieds vaine gloire, désir de la chair et colère farouche ! (…)
Retroussons nos tuniques, soyons alertes, ayons le regard perçant, le vol rapide pour ce voyage qui nous mène de la terre au ciel ! Les voyageurs, certes, peuvent avoir à souffrir. Et cela vous arrive aussi : comme vous le voyez, en effet, vous peinez dans de durs travaux, vous vous fatiguez, vous travaillez la terre à en perdre le souffle, vous répandez votre sueur, vous êtes à bout de forces, affamés, assoiffés, l’un peine à labourer, l’autre à travailler la vigne, un autre à presser l’huile, ou encore à cuisiner, à bâtir, à faire le pain ou à s’occuper du cellier, bref chacun à leur place. Tous s’avancent sur la route de Dieu, ils approchent de la grande cité, et par la mort ils auront accès à l’indicible joie des biens que Dieu réserve à tous ceux qui l’auront aimé. (…) 
Puissions-nous être jugés dignes du royaume du Christ lui-même, notre Dieu, à qui appartiennent la gloire et la puissance avec le Père et le Saint-Esprit , maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen.

 Avoir la paix de l'âme, c'est aimer Jésus,

Avoir la paix de l'âme, c'est aimer Marie,

Avoir la paix de l'âme, c'est écouter Joseph, entendre Ses Paroles, aimer Son Amour,

Avoir la paix de l'âme, c'est savoir que Dieu nous aime et que nous L'aimons,

Savoir Seigneur Jésus Christ, que Tu es Notre VIE !


mardi 25 août 2020

Psaume 128(127),1-2.4.5b.

Heureux qui craint le Seigneur 
et marche selon ses voies ! 
Tu te nourriras du travail de tes mains : 
Heureux es-tu ! À toi, le bonheur ! 

Voilà comment sera béni 
l'homme qui craint le Seigneur. 
De Sion, que le Seigneur te bénisse ! 
Tu verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie. 

 

Septembre 2020 : "Donnez et on vous donnera ; c’est une bonne mesure, tassée, secouée, débordante qu’on vous versera dans le pan de votre vêtement » 
(Luc 6, 38).

 

Medjugorje, message du 25 août 2020
 
"Chers enfants! Ceci est un temps de grâce. Je suis avec vous et je vous appelle à nouveau, petits enfants: revenez à Dieu et à la prière, jusqu'à ce que la prière devienne joie pour vous. Petits enfants, vous n'avez pas d'avenir ni de paix tant que votre vie ne commence par une conversion personnelle et un changement vers le bien. Le mal va cesser et la paix va commencer à régner dans vos coeurs et dans le monde. C'est pourquoi, petits enfants, priez, priez, priez ! Je suis avec vous et j'intercède auprès de mon Fils Jésus pour chacun d'entre vous. Merci d'avoir répondu à mon appel."

dimanche 23 août 2020

Heureux l homme (...)

 

Jésus reprend : « Je te dis que je t’ai vu sous le figuier, et c’est pour cela que tu crois ! Tu verras des choses plus grandes encore. » 
Et il ajoute : « Amen, amen, je vous le dis : vous verrez le ciel ouvert, et les anges de Dieu monter et descendre au-dessus du Fils de l’homme. » 

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris


Bulle

Benoît XVI
pape de 2005 à 2013
Audience générale du 04/10/06 (© Libreria Editrice Vaticana)


Nathanaël-Barthélemy reconnaît le Messie, le Fils de Dieu

L'évangéliste Jean nous rapporte que, lorsque Jésus voit Nathanaël s'approcher, il s'exclame : « Voici un véritable fils d'Israël, un homme qui ne sait pas mentir ». Il s'agit d'un éloge qui rappelle le texte d'un psaume : « Heureux l'homme (...) dont l'esprit est sans fraude » (Ps 31,2), mais qui suscite la curiosité de Nathanaël ; il réplique avec étonnement : « Comment me connais-tu ? » La réponse de Jésus n'est pas immédiatement compréhensible. Il dit : « Avant que Philippe te parle, quand tu étais sous le figuier, je t'ai vu ». Nous ne savons pas ce qui s'est passé sous ce figuier. Il est évident qu'il s'agit d'un moment décisif dans la vie de Nathanaël. Il se sent touché au plus profond du cœur par ces paroles de Jésus, il se sent compris et il comprend : cet homme sait tout sur moi, il sait et connaît le chemin de la vie, je peux réellement faire confiance à cet homme. Et ainsi, il répond par une profession de foi limpide et belle en disant : « Rabbi, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d'Israël ! »
Dans cette confession apparaît un premier pas important dans l'itinéraire d'adhésion à Jésus. Les paroles de Nathanaël mettent en lumière un double aspect complémentaire de l'identité de Jésus : il est reconnu aussi bien dans sa relation spéciale avec Dieu le Père, dont il est le Fils unique, que dans son rapport au peuple d'Israël, dont il est déclaré le roi, un qualificatif propre au Messie attendu. Nous ne devons jamais perdre de vue ni l'une ni l'autre de ces deux composantes, car si nous proclamons seulement la dimension céleste de Jésus, nous risquons d'en faire un être éthéré et évanescent, et si au contraire nous ne reconnaissons que sa situation concrète dans l'histoire, nous finissons par négliger la dimension divine qui précisément le qualifie.

 

 

samedi 22 août 2020

« Ciel et terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas » (Mt 24,35). (…) C'est pourquoi (…) dirigez les pas de votre âme, ainsi que vous avez commencé, sur la fermeté de cette pierre: sur elle, vous le savez, notre Rédempteur a fondé l'Église à travers le monde entier, de sorte que les cœurs sincères réglant sur elle leur marche ne trébuchent pas.

Amen !

Le plus grand parmi vous sera votre serviteur. Qui s’élèvera sera abaissé, qui s’abaissera sera élevé. » Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris Bulle Isaac le Syrien (7e siècle) moine près de Mossoul Discours ascétiques, 1e série, n°20 (trad. Touraille, DDB 1981, p. 140) « Qui s'élèvera sera abaissé, qui s'abaissera sera élevé » L'humilité est une puissance secrète que les saints reçoivent quand ils ont mené à bien toute l'ascèse de leur vie. Cette puissance en effet n'est donnée qu'à ceux qui parviennent à la perfection de la vertu par la force de la grâce. (...) C'est la puissance même qu'ont reçu les bienheureux apôtres sous la forme du feu. Le Sauveur leur avait ordonné en effet de ne pas quitter Jérusalem jusqu'à ce qu'ils aient reçu la puissance d'en haut (Ac 2,3 ; 1,4). Jérusalem est ici la vertu. La puissance est l'humilité. Et la puissance d'en haut est le Paraclet, c'est-à-dire l'Esprit Consolateur. Or c'est là ce qu'avait dit l'Écriture Sainte : les mystères sont révélés aux humbles (Lc 10,21). Aux humbles est donné de recevoir en eux-mêmes cet Esprit des révélations qui découvre les mystères. C'est pourquoi des saints ont dit que l'humilité accomplit l'âme dans les contemplations divines. Que nul donc n'aille s'imaginer qu'il est parvenu à la mesure de l'humilité parce qu'une pensée de componction lui sera venue à un certain moment, ou parce qu'il aura versé quelques larmes. (...) Mais si un homme a vaincu tous les esprits contraires (...), s'il a renversé et soumis toutes les forteresses des ennemis, et si alors il a senti qu'il a reçu cette grâce, quand « l'Esprit rend témoignage à son esprit » (Rm 8,16) selon la parole de l'apôtre Paul, là est la perfection de l'humilité. Bienheureux celui qui la possède. Car à tout heure il embrasse le sein de Jésus (cf Jn 13,25).

vendredi 21 août 2020

Amen !

« Qui s'élèvera sera abaissé, qui s'abaissera sera élevé » L'humilité est une puissance secrète que les saints reçoivent quand ils ont mené à bien toute l'ascèse de leur vie. Cette puissance en effet n'est donnée qu'à ceux qui parviennent à la perfection de la vertu par la force de la grâce. (...) C'est la puissance même qu'ont reçu les bienheureux apôtres sous la forme du feu. Le Sauveur leur avait ordonné en effet de ne pas quitter Jérusalem jusqu'à ce qu'ils aient reçu la puissance d'en haut (Ac 2,3 ; 1,4). Jérusalem est ici la vertu. La puissance est l'humilité. Et la puissance d'en haut est le Paraclet, c'est-à-dire l'Esprit Consolateur. Or c'est là ce qu'avait dit l'Écriture Sainte : les mystères sont révélés aux humbles (Lc 10,21). Aux humbles est donné de recevoir en eux-mêmes cet Esprit des révélations qui découvre les mystères. C'est pourquoi des saints ont dit que l'humilité accomplit l'âme dans les contemplations divines. Que nul donc n'aille s'imaginer qu'il est parvenu à la mesure de l'humilité parce qu'une pensée de componction lui sera venue à un certain moment, ou parce qu'il aura versé quelques larmes. (...) Mais si un homme a vaincu tous les esprits contraires (...), s'il a renversé et soumis toutes les forteresses des ennemis, et si alors il a senti qu'il a reçu cette grâce, quand « l'Esprit rend témoignage à son esprit » (Rm 8,16) selon la parole de l'apôtre Paul, là est la perfection de l'humilité. Bienheureux celui qui la possède. Car à tout heure il embrasse le sein de Jésus (cf Jn 13,25).

dimanche 16 août 2020

Beau documentaire à voir et revoir

Les mots de l’intérieur 24/12/2019 Qu’est-ce la prière ? Qu’est-ce que veut dire prier ? Comment prier ? On a bien souvent banalisé la prière. Elle contient en elle-même le risque de répétition, de confondre les mots avec le bruit des mots, les phrases avec la cadence des phrases, comme une belle musique, mais dont on ne saisirait plus les détails, les nuances, les expressions, le souffle profond. Il y a une grande poésie dans la prière, mais aussi, et surtout, du sens. Un sens fondamental, intrinsèque, originel. Prier s’apprend, se réapprend, s’approfondit toujours. Une incessante recherche de sens, de profondeur, de communion, d’apaisement, qu’il nous faut toujours découvrir, et redécouvrir sans cesse... Un film humble mais esthétique à l’écoute de la prière, à travers des témoignages et des scènes de vie partagées. Un voyage aux frontières de l’intime et du sublime. Partager Facebook Tweet Email

vendredi 14 août 2020

28e jour du Secret de Marie La manière de faire vivre et régner Marie dans nos âmes (suite) La manière de le cultiver (suite) .....Il faut arracher et couper les chardons et les épines qui pourraient suffoquer cet arbre avec le temps ou l'empêcher d'apporter son fruit: c'est-à-dire qu'il faut être fidèle à couper et trancher, par la mortification et violence à soi- même, tous les plaisirs inutiles et vaines occupations avec les créatures, autrement crucifier sa chair, et garder le silence et mortifier ses sens. Il faut veiller à ce que les chenilles ne l'endommagent point. Ces chenilles sont l'amour-propre de soi- même et de ses aises, qui mangent les feuilles vertes et les belles espérances que l'Arbre avait du fruit: car l'amour de soi-même et l'amour de Marie ne s'accordent aucunement. Il ne faut pas laisser les bêtes en approcher. Ces bêtes sont les péchés, qui pourraient donner la mort à l'Arbre de vie par leur seul attouchement: il ne faut même pas que leur haleine donne dessus, c'est-à-dire les péchés véniels, qui sont toujours très dangereux si on ne s'en fait point de peine... Il faut arroser continuellement cet arbre divin, de ses communions, ses messes et autres prières publiques et particulières; sans quoi cet arbre cesserait de porter du fruit. Il ne faut pas se mettre en peine s'il est soufflé et secoué du vent, car il est nécessaire que le vent des tentations le souffle pour le faire tomber, que les neiges et les gelées l'entourent pour le perdre; c'est-à-dire que cette dévotion à la Sainte Vierge sera nécessairement attaquée et contredite; mais pourvu qu'on persévère à le cultiver, il n'y a rien à craindre. Un Chant : Regardes l'Etoile Demain ...La manière de faire vivre et régner Marie dans nos âmes (suite)

jeudi 13 août 2020

27e jour du Secret de Marie La manière de faire vivre et régner Marie dans nos âmes (suite) La manière de le cultiver Voici, âme prédestinée, la manière de le cultiver : Cet arbre, étant planté dans un cœur bien fidèle, veut être en plein vent, sans aucun appui humain; cet arbre, étant divin, veut toujours être sans aucune créature qui pourrait l'empêcher de s'élever vers son principe, qui est Dieu. Ainsi, il ne faut point s'appuyer de son industrie humaine ou de ses talents purement naturels, ou du crédit et de l'autorité des hommes: il faut avoir recours à Marie et s'appuyer [sur] son secours. Il faut que l'âme, où cet arbre est planté, soit sans cesse occupée comme un bon jardiner, à le garder et regarder. Car cet arbre, étant vivant et devant produire un fruit de vie, veut être cultivé et augmenté par un continuel regard et contemplation de l'âme; et c'est l'effet d'une âme parfaite d'y penser continuellement et d'en faire sa principale occupation. Chant : Ne crains pas Demain ...La manière de faire vivre et régner Marie dans nos âmes (suite)

mardi 11 août 2020

25e jour du Secret de Marie « l'Oraison à Marie » ORAISON A MARIE Je vous salue, Marie, Fille bien-aimée du Père Eternel; je vous salue, Marie, Mère admirable du Fils; je vous salue, Marie, Epouse très fidèle du Saint-Esprit; je vous salue, Marie, ma chère Mère, mon aimable Maîtresse et ma puissante Souveraine, je vous salue, ma joie, ma gloire, mon cœur et mon âme! Vous êtes toute à moi par miséricorde, et je suis tout à vous par justice. Et je ne le suis pas encore assez: je me donne à vous tout entier de nouveau, en qualité d'esclave éternel, sans rien réserver pour moi ni pour autre. Si vous voyez encore en moi quelque chose qui ne vous appartienne pas, je vous supplie de le prendre en ce moment, et de vous rendre la Maîtresse absolue de mon pouvoir; de détruire et déraciner et d'y anéantir tout ce qui déplait à Dieu, et d'y planter, d'y élever et d'y opérer tout ce qui vous plaira. Et que la lumière de votre foi dissipe les ténèbres de mon esprit; que votre humilité profonde prenne la place de mon orgueil; que votre contemplation sublime arrête les distractions de mon imagination vagabonde; que votre vue continuelle de Dieu remplisse ma mémoire de sa présence; que l'incendie de la charité de votre cœur dilate et embrase la tiédeur et la froideur du mien; que vos vertus prennent la place de mes péchés; que vos mérites soient mon ornement et mon supplément devant Dieu. Enfin, ma très chère et bien-aimée Mère, faites, s'il se peut, que je n'aie point d'autre esprit que le vôtre pour connaître Jésus-Christ et ses divines volontés; que je n'aie point d'autre âme que la vôtre pour louer et glorifier le Seigneur; que je n'aie point d'autre cœur que le vôtre pour aimer Dieu d'un amour pur et d'un amour ardent comme vous. Je ne vous demande ni visions, ni révélations, ni goûts, ni plaisirs même spirituels. C'est à vous de voir clairement sans ténèbres; c'est à vous de goûter pleinement, sans amertume; c'est à vous de triompher glorieusement à la droite de votre Fils dans le ciel, sans aucune humiliation; c'est à vous de commander absolument aux anges et aux hommes et aux démons, sans résistance, et enfin de disposer, selon votre volonté, de tous les biens de Dieu, sans aucune réserve. Voilà, divine Marie, la très bonne part que le Seigneur vous a donnée et qui ne vous sera jamais ôtée; et ce qui me donne une grande joie. Pour ma part, ici-bas, je n'en veux point d'autre que celle que vous avez eue, savoir: de croire purement, sans rien goûter ni voir; de souffrir joyeusement, sans consolation des créatures; de mourir continuellement à moi-même sans relâche; et de travailler fortement jusqu'à la mort, pour vous, sans aucun intérêt, comme le plus vil de vos esclaves. La seule grâce que je vous demande, par pure miséricorde, c'est que, tous les jours et moments de ma vie, je dise trois fois Amen: Ainsi soit-il, à tout ce que vous avez fait sur la terre, lorsque vous y viviez; Ainsi soit-il, à tout ce que vous faites à présent dans le ciel; Ainsi soit- il, à tout ce que vous faites en mon âme, afin qu'il n'y ait que vous à glorifier pleinement Jésus en moi pendant le temps et l'éternité. Ainsi soit-il. Chant : Hymne acathiste Demain ... La manière de faire vivre et régner Marie dans nos âmes
Chers frères et sœurs, laissons-nous envelopper par la miséricorde de Dieu. Comptons sur sa patience qui nous donne toujours du temps. Ayons le courage de retourner dans sa maison, de demeurer dans les blessures de son amour, en nous laissant aimer par lui, de rencontrer sa miséricorde dans les sacrements. Nous éprouverons sa tendresse, si belle ; nous sentirons qu'il nous embrasse et nous serons nous aussi plus capables de miséricorde, de patience, de pardon, d'amour.
Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu. » Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris Bulle Pape François Homélie du 07/04/2013, Prise de possession de la chaire de l'évêque de Rome (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana) « Partir à la recherche de la brebis égarée » Après son péché, Adam éprouve de la honte, il se sent nu, il ressent le poids de ce qu'il a fait, et pourtant Dieu ne l'abandonne pas. Si à ce moment-là, avec le péché, commence l'exil de chez Dieu, il y a déjà la promesse du retour, la possibilité de retourner à Dieu. Dieu demande immédiatement : « Adam, où es-tu ? » (Gn 3,9) ; il le cherche. Jésus est devenu nu pour nous, il a pris sur lui la honte d'Adam, la nudité de son péché pour laver notre péché : « par ses plaies nous avons été guéris » (Is 53,5; 1P 2,24). Rappelez-vous ce que dit saint Paul : « De quoi est-ce que je me vanterai, sinon de ma faiblesse, de ma pauvreté ? » (cf 2Co 11,30s) C'est vraiment dans le fait de ressentir mon péché, dans le fait de regarder mon péché, que je peux voir et rencontrer la miséricorde de Dieu, son amour, et aller à lui pour en recevoir le pardon. Dans ma vie personnelle, j'ai vu bien des fois le visage miséricordieux de Dieu, sa patience. J'ai vu aussi en de nombreuses personnes le courage d'entrer dans les plaies de Jésus en lui disant : « Seigneur, me voici, accepte ma pauvreté, cache dans tes plaies mon péché, lave-le avec ton sang » (Ap 1,5). Et j'ai toujours vu que Dieu l'a fait, a accueilli, consolé, lavé, aimé. Chers frères et sœurs, laissons-nous envelopper par la miséricorde de Dieu. Comptons sur sa patience qui nous donne toujours du temps. Ayons le courage de retourner dans sa maison, de demeurer dans les blessures de son amour, en nous laissant aimer par lui, de rencontrer sa miséricorde dans les sacrements. Nous éprouverons sa tendresse, si belle ; nous sentirons qu'il nous embrasse et nous serons nous aussi plus capables de miséricorde, de patience, de pardon, d'amour.

lundi 10 août 2020

24e jour du Secret de Marie « l'Oraison à Jésus » ORAISON A JESUS Mon aimable Jésus, permettez-moi de m'adresser à vous pour vous témoigner la reconnaissance où je suis de la grâce que vous m'avez faite, en me donnant à votre sainte Mère par la dévotion de l'esclavage, pour être mon avocate auprès de votre Majesté, et mon supplément universel dans ma très grande misère. Hélas! Seigneur, je suis si misérable que, sans cette bonne Mère, je serais infailliblement perdu. Oui, Marie m'est nécessaire auprès de vous, partout : nécessaire pour vous calmer dans votre juste colère, puisque je vous ai tant offensé tous les jours; nécessaire pour arrêter les châtiments éternels de votre justice que je mérite; nécessaire pour vous regarder, pour vous parler, vous prier, vous approcher et vous plaire; nécessaire pour sauver mon âme et celle des autres; nécessaire, en un mot, pour faire toujours votre sainte volonté et procurer en tout votre plus grande gloire. Ah! que ne puis-je publier par tout l'univers cette miséricorde que vous avez eue envers moi! Que tout le monde ne connait-[il] que, sans Marie, je serais déjà damné! Que ne puis-je rendre de dignes actions de grâces d'un si grand bienfait! Marie est en moi. Oh! quel trésor! Oh! quelle consolation! Et je ne serais pas, après cela, tout à elle! Oh! quelle ingratitude, mon cher Sauveur! Envoyez-moi plutôt la mort que ce malheur m'arrive: car j'aime mieux mourir que de vivre sans être tout à Marie. Je l'ai mille et mille fois prise pour tout mon bien avec saint Jean l'Evangéliste, au pied de la croix et je me suis autant de fois donné à elle; mais, si je ne l'ai pas encore bien fait selon vos désirs, mon cher Jésus, je le fais maintenant comme vous le voulez que je le fasse; et si vous voyez en mon âme et mon corps quelque chose qui n'appartienne pas à cette auguste Princesse, je vous prie de me l'arracher et de le jeter loin de moi, puisque, n'étant pas à Marie, il est indigne de vous. O Saint-Esprit! accordez-moi toutes ces grâces et plantez, arrosez et cultivez en mon âme l'aimable Marie, qui est l'Arbre de vie véritable, afin qu'il croisse, qu'il fleurisse et apporte du fruit de vie avec abondance. O Saint- Esprit! donnez-moi une grande dévotion et un grand penchant vers votre divine Epouse, un grand appui sur son sein maternel et un recours continuel à sa miséricorde, afin qu'en elle vous formiez en moi Jésus-Christ au naturel, grand et puissant, jusqu'à la plénitude de son âge parfait. Ainsi soit-il. Chant : Humblement dans le silence Demain ... « l'Oraison à Marie »
Psaume 112(111),1-2.5-6.7-8.4b.9. Heureux qui craint le Seigneur, qui aime entièrement sa volonté ! Sa lignée sera puissante sur la terre ; la race des justes est bénie. L'homme de bien a pitié, il partage ; il mène ses affaires avec droiture. Cet homme jamais ne tombera ; toujours on fera mémoire du juste. Il ne craint pas l'annonce d'un malheur : le cœur ferme, il s'appuie sur le Seigneur. Son cœur est confiant, il ne craint pas : il verra ce que valaient ses oppresseurs. Homme de justice, de tendresse et de pitié, à pleines mains, il donne au pauvre ; à jamais se maintiendra sa justice, sa puissance grandira, et sa gloire !

jeudi 6 août 2020

Amen !

Levant les yeux, ils ne virent plus personne, sinon lui, Jésus, seul. 
En descendant de la montagne, Jésus leur donna cet ordre : « Ne parlez de cette vision à personne, avant que le Fils de l’homme soit ressuscité d’entre les morts. » 

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris


Bulle

Saint Antoine de Padoue (v. 1195-1231)
franciscain, docteur de l'Église
Sermon du dimanche de la Septuagésime (Une Parole évangélique, trad. V. Trappazzon, éd. Franciscaines, 1995, p. 41, 43, 44, rev.)


Contempler le visage du Christ

« Il fut transfiguré devant eux » (Mt 17,2) Moule-toi, comme de la cire molle, sur cette figure, afin d’y imprimer l’image du Christ dont il est dit : « Son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la neige. » Dans ce passage, il faut considérer quatre choses : le visage, le soleil, les vêtements et la neige. Dans la partie antérieure de la tête qui s’appelle le visage de l’homme, il y a trois sens, ordonnés et disposés d’une manière admirable. Ce sont la vue, l’odorat, le goût. D’une manière analogue, dans le visage de notre âme, il y a la vision de la foi, l’odorat de la discrétion et le goût de la contemplation. (…)
Dans le soleil, il y a la clarté, la blancheur et la chaleur. La clarté du soleil convient parfaitement à la vision de la foi qui, avec la clarté de sa lumière perçoit et croit les réalités invisibles. Que le visage de notre âme resplendisse comme le soleil. Que ce que nous voyons par la foi brille dans nos œuvres ; que le bien que nous apercevons par nos yeux intérieurs se réalise au dehors dans la pureté de nos actions ; que ce que nous goûtons de Dieu dans la contemplation se transforme en chaleur dans l’amour du prochain. Ainsi comme celui de Jésus, notre visage « resplendira comme le soleil ».

mercredi 5 août 2020

Confiance en marie

19e jour du Secret de Marie

Entrer dans l'esprit de cette dévotion 
 
(suite)

Méditation :

Agir pour Marie
 

Il faut faire toutes ses actions pour Marie, c'est-à-dire qu'étant esclave de cette auguste Princesse, il faut qu'elle ne travaille plus que pour Elle, 
que pour son profit, que pour sa gloire, comme fin prochaine, 
et pour la gloire de Dieu, comme fin dernière.

Elle [doit] donc en tout ce qu'elle fait, renoncer à son amour propre, qui se prend presque toujours pour fin d'une manière presque imperceptible, et répéter souvent du fond du cœur: 
O ma chère Maîtresse, c'est pour vous que je vais ici ou là, que je fais ceci ou cela, que je souffre cette peine ou cette injure!

Prends bien garde, âme prédestinée, de croire qu'il est plus parfait d'aller tout droit à Jésus, tout droit à Dieu dans ton opération et intention;
si tu veux y aller sans Marie, ton opération, 
ton intention sera de peu de valeur;
mais y allant par Marie, c'est l'opération de Marie en toi, et, par conséquent, elle sera très relevée et très digne de Dieu.

De plus, prends bien garde de te faire violence pour sentir et goûter ce que tu dis et fais: dis et fais tout dans la pure foi que Marie a eue sur la terre, qu'elle te communiquera avec le temps;
laisse à ta Souveraine, pauvre petite esclave, la vue claire de Dieu, les transports, les joies, les plaisirs, les richesses, et ne prends pour toi 
que la pure foi, pleine de dégoûts, de distractions, d'ennuis, de sécheresse;
 
dis: Amen, ainsi soit-il, à ce que fait Marie, ma Maîtresse, dans le ciel;
c'est ce que fais de meilleur pour le présent...

Prends bien garde encore de te tourmenter si tu ne jouis pas sitôt de la douce présence de la Sainte Vierge en ton intérieur.
Cette grâce n'est pas faite à tous;
et quand Dieu en favorise une âme par grande miséricorde, il lui est bien aisé de la perdre si elle n'est pas fidèle à se recueillir souvent;
et si ce malheur t'arrivait, reviens doucement et fais amende honorable à ta Souveraine.
 

Concrétisation dans notre vie: 
 
Essayer, chaque jour de briser les entraves qui retiennent 
notre élan vers Marie
 
 

Demain ... Les effets que cette dévotion 
produit dans l'âme fidèle
 

mardi 4 août 2020

18e jour du Secret de Marie

Entrer dans l'esprit de cette dévotion (suite)

Méditation (suite)
 

Agir en Marie

Il faut faire toute chose en Marie, c'est-à-dire qu'il faut s'accoutumer peu à peu à se recueillir au-dedans de soi- même pour y former une petite idée ou image spirituelle de la très Sainte Vierge.

Elle sera à l'âme l'Oratoire pour y faire toutes ses prières à Dieu, 
sans crainte d'être rebutée; 
la Tour de David pour s'y mettre en sûreté contre tous ses ennemis; 
la Lampe allumée pour éclairer tout l'intérieur et pour brûler de l'amour divin; le Reposoir sacré pour voir Dieu avec elle;
et enfin son unique Tout auprès de Dieu, son recours universel.
Si elle prie, ce sera en Marie;
si elle reçoit Jésus par la sainte communion, 
elle le mettra en Marie pour s'y complaire;
si elle agit, ce sera en Marie; et partout et en tout elle produira des actes de renoncement à elle-même...

Agir par Marie

Il faut n'aller jamais à Notre-Seigneur que par son intercession et son crédit auprès de lui, ne se trouvant jamais seul pour le prier...
 

Concrétisation dans notre vie : 
Essayer, chaque jour de briser les entraves qui 
retiennent notre élan vers Marie
 

Demain ... Entrer dans l'esprit de cette dévotion (suite)