dimanche 29 juin 2014

Commentaire du jour :
Saint Aelred de Rievaulx (1110-1167), moine cistercien Sermon 18, pour la fête de Saints Pierre et Paul ; PL 195, 298 (trad. cf Bouchet, Lectionnaire, p. 451 et coll. Pain de Cîteaux, n°12, p. 17)

« Sur cette pierre, je bâtirai mon Église »


      « La terre s’effondre et tous ses habitants ; j’ai fixé, moi, ses colonnes » (Ps 74,4). Colonnes de la terre, tous les apôtres le sont, mais en premier lieu les deux dont nous célébrons la fête. Ils sont les deux colonnes qui portent l’Église par leur enseignement, leur prière et l'exemple de leur constance. C’est le Seigneur lui-même qui a affermi ces colonnes. Car d'abord ils étaient faibles, bien incapables de se soutenir et de soutenir les autres. Et ici apparaît le grand dessein du Seigneur : s’ils avaient été toujours forts, on aurait pu penser que leur force venait d’eux-mêmes. Voilà pourquoi le Seigneur, avant de les affermir, a voulu montrer de quoi ils étaient capables afin que tous sachent que leur force vient de Dieu… Pierre a été jeté par terre par la voix d’une simple servante…; l’autre colonne aussi a été bien faible : « Autrefois je ne savais que blasphémer, persécuter, insulter » (1Tm 1,13)…


      C'est pourquoi nous devons louer de tout cœur ces saints, nos pères qui ont supporté tant de peines pour le Seigneur et qui ont persévéré avec tant de force. Ce n’est rien de persévérer dans la joie, le bonheur et la paix. Mais voilà ce qui est grand : être lapidé, flagellé, frappé pour le Christ (2Co 11,25), et en tout cela persévérer avec le Christ. Il est grand avec Paul d'être maudit et de bénir, d’être persécuté et d’endurer, d’être calomnié et de consoler, d'être comme le rebut du monde et d'en tirer gloire (1Co 4,12-13)… Et que dire de  Pierre ? Même s’il n'avait rien supporté pour le Christ, il suffirait pour le fêter aujourd'hui qu’il ait été crucifié pour lui… Il savait bien où était celui qu’il aimait, celui qu’il désirait… : sa croix a été son chemin vers le ciel.    

samedi 28 juin 2014

Commentaire du jour :
Benoît XVI, pape de 2005 à 2013 Discours du 30/05/2009 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana)

« Sa mère gardait fidèlement toutes ces choses en son cœur »


      Dans le Nouveau Testament, nous voyons que la foi de Marie « attire », pour ainsi dire, le don de l'Esprit Saint — avant tout dans la conception du Fils de Dieu, mystère que l'archange Gabriel lui-même explique ainsi : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre » (Lc 1,35)… Le cœur de Marie, en parfaite harmonie avec le Fils divin, est le temple de l'Esprit de vérité (Jn 14,17), où chaque parole et chaque événement sont conservés dans la foi, dans l'espérance et dans la charité.


      Nous pouvons ainsi être certains que le très saint cœur de Jésus, pendant toute la période de sa vie cachée à Nazareth, a toujours trouvé dans le cœur immaculé de la Mère un foyer toujours ardent de prière et d'attention constante à la voix de l'Esprit. Ce qui s’est passé aux noces de Cana (Jn 2,1s) témoigne de cette harmonie particulière entre mère et fils pour rechercher la volonté de Dieu. Dans une situation chargée de symboles de l'alliance, tel que le banquet nuptial, la Vierge Marie intercède et provoque, pour ainsi dire, un signe de grâce surabondante : le « bon vin », qui renvoie au mystère du Sang du Christ. Cela nous conduit directement au Calvaire, où Marie se tient sous la croix avec les autres femmes et avec l'apôtre Jean. La mère et le disciple recueillent spirituellement le testament de Jésus : ses dernières paroles et son dernier souffle, dans lequel il commence à diffuser l'Esprit, et ils recueillent le cri silencieux de son Sang, entièrement versé pour nous (Jn 19,25s). Marie savait d'où venait ce sang (cf Jn 2,9) : il s'était formé en elle par l'opération de l'Esprit Saint, et elle savait que cette même puissance créatrice allait ressusciter Jésus, comme il l'avait promis.


      Ainsi, la foi de Marie a soutenu celle des disciples jusqu'à la rencontre avec le Seigneur ressuscité, et a continué à les accompagner également après son ascension au ciel, dans l'attente du « baptême dans l'Esprit Saint » (Ac 1,5)…. Voilà pourquoi Marie est, pour toutes les générations, l'image et le modèle de l'Église qui, avec l'Esprit, avance dans le temps en invoquant le retour glorieux du Christ : « Viens, Seigneur Jésus » (Ap 22,17.20).

vendredi 27 juin 2014

Sainte Faustine Kowalska (1905-1938), religieuse Petit journal, § 1321 (trad. Parole et Dialogue 2002, p. 444)

« Je suis doux et humble de cœur »


Je te salue, Cœur très miséricordieux de Jésus,
Source vivante de toutes les grâces,
Unique abri et notre refuge,
En toi je trouve l’éclat de l’espérance.

Je te salue, Cœur très compatissant de mon Dieu,
Insondable, vivante source d’amour,
D’où jaillit la vie pour l’homme pécheur,
Ainsi que la source de toute douceur.

Je te salue, plaie ouverte du très saint Cœur (Jn 19,34),
D’où sont sortis les rayons de miséricorde,
Et d’où il nous est donné de puiser la vie,
Uniquement avec le vase de la confiance.

Je te salue, bonté de Dieu, inconcevable,
Jamais mesurée, ni approfondie,
Pleine d’amour et de miséricorde, mais toujours sainte,
Et cependant tu es comme une bonne mère qui se penche sur nous.

Je te salue, trône de la miséricorde, Agneau de Dieu,
Toi qui offris ta vie en sacrifice pour moi,
Toi devant qui chaque jour mon âme s’abaisse,
Vivant en une foi profonde.

mercredi 25 juin 2014

« Tout arbre bon donne de beaux fruits »

Commentaire du jour :
Pape François Exhortation apostolique « Evangelii Gaudium / La Joie de l’Évangile » § 169, 171 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana)

« Tout arbre bon donne de beaux fruits »


      Dans une civilisation paradoxalement blessée par l’anonymat et, en même temps, obsédée par les détails de la vie des autres, malade de curiosité morbide, l’Église a besoin d’un regard de proximité pour contempler, s’émouvoir et s’arrêter devant l’autre chaque fois que cela est nécessaire. En ce monde, les ministres ordonnés et les autres agents pastoraux peuvent rendre présent le parfum de la présence proche de Jésus et son regard personnel. L’Église devra initier ses membres — prêtres, personnes consacrées et laïcs — à cet « art de l’accompagnement », pour que tous apprennent toujours à ôter leurs sandales devant la terre sacrée de l’autre (Ex 3,5). Nous devons donner à notre chemin le rythme salutaire de la proximité, avec un regard respectueux et plein de compassion mais qui en même temps guérit, libère et encourage à mûrir dans la vie chrétienne…


      Plus que jamais, nous avons besoin d’hommes et de femmes qui, à partir de leur expérience d’accompagnement, connaissent la manière de procéder, où ressortent la prudence, la capacité de compréhension, l’art d’attendre, la docilité à l’Esprit, pour protéger tous ensemble les brebis qui se confient à nous des loups qui tentent de disperser le troupeau. Nous avons besoin de nous exercer à l’art de l’écoute, qui est plus que le fait d’entendre. Dans la communication avec l’autre, la première chose est la capacité du cœur qui rend possible la proximité, sans laquelle il n’existe pas une véritable rencontre spirituelle. L’écoute nous aide à découvrir le geste et la parole opportune qui nous secouent de la tranquille condition de spectateurs. C’est seulement à partir de cette écoute respectueuse et capable de compatir qu’on peut trouver les chemins pour une croissance authentique, qu’on peut réveiller le désir de l’idéal chrétien, l’impatience de répondre pleinement à l’amour de Dieu et la soif de développer le meilleur de ce que Dieu a semé dans sa propre vie.

lundi 23 juin 2014

Paix et bonheur ...

Ce n'est pas une grande chose
de bien vivre en compagnie
de personnes bonnes et paisibles,
car cela plaît naturellement
à tout le monde.
Chacun aime volontiers la paix
et éprouve davantage d'affection
 pour ceux qui pensent comme nous. Mais pouvoir vivre en paix avec des gens durs,
méchants et indisciplinés, qui nous rebutent,
c'est une grande grâce,
une façon de vivre louable et courageuse... Celui qui sait le mieux gérer la souffrance
gardera une plus grande paix.
C'est lui qui est vainqueur de lui-même
et maître du monde, ami du Christ et héritier du ciel

Marie, modèle de discrétion et de modestie !

23 juin – Italie : Madonna del Ardesio (1607) 

L'exemple lumineux qui convient à ton âme

L'enfant imite sa mère en toutes choses, même si elles sont difficiles ou dangereuses, non pas dans l'idée de suivre l'exemple de celle qui est son idole et son tout, mais simplement parce qu'il l'aime et croit en elle. Il prendra le médicament qu'il lui voit absorber, il ira avec elle en prison.

Marie est l'exemple lumineux qui convient à ton âme. Conforme-toi à lui. Le Dieu trinitaire ne peut façonner sainteté plus grande que celle-là.

Marie, modèle de discrétion et de modestie, est cependant toujours là lorsqu'il faut servir : elle ne se montre pas, elle n'élève pas la voix, mais elle est toujours auprès de Jésus : sa vie est tout entière consacrée au Seigneur, au Seigneur présent en toi.
Lire aussi sur mariedenazareth.com :
Qui est Marie pour nous ?

Cardinal François-Xavier NGUYEN VAN THUAN
Sur le chemin de l'espérance, Le Sarment, Fayard 1991 Chapitre 35 - Notre Mère Marie, notules 925-926

dimanche 22 juin 2014

CONFIANCE EN MARIE EN CE BEAU DEBUT D'ETE 2014 !

22 juin – Dimanche du saint Sacrement - Canada, Notre Dame du Cap – Malte : Apparition de Marie à Ta Pinu, Gozo (1883) - 431 : Proclamation du dogme de Marie Mère de Dieu à Ephèse 

Pour honorer les souffrances du Christ et de sa Mère

Le sanctuaire de Ta'Pinu est situé au centre de l'île de Gozo. En 1545, une chapelle était dédiée à Notre Dame de l'Assomption. Elle fut restaurée en 1619 par Pinu Gauci et fut appelée Ta'Pinu.

En 1883, une jeune paysanne, Carmela Grima, entendit une voix féminine venir de la petite église et lui dire : « récite trois Ave Maria en honneur des trois jours durant les quels mon corps est resté dans la tombe». La femme se confia à un jeune garçon pieux qui lui avoua qu'il avait entendu au même endroit une voix qui l'invitait à prier pour honorer la « plaie cachée » de Jésus, c'est à dire la plaie de l'épaule, à cause du poids de la croix.

Alors le pèlerinage commença et un sanctuaire agrandi fut inauguré le 13 décembre 1931. En 1983, premier centenaire de cette apparition, un congrès marial-mariologique fut organisé en ce lieu. C'est aussi en ce lieu que Jean Paul II, le 26 mai 1990, célébra la messe et encouragea les Maltais à se confier à Marie.
Lire aussi sur mariedenazareth.com :
Gozo, sanctuaire de Ta’Pinu

Attilio GALLI,
Madre della Chiesa dei Cinque continenti, Ed. Segno, Udine, 1997, p. 215-220

samedi 21 juin 2014

Merci Marie...


21 juin – Italie, Madonna del Giovianni Guglielmo 1623 - Eglise Copte, Fête de la Visitation de Marie  

Elle veut aider si discrètement qu'on ne saura pas que c'est elle…

Marie est présente dans notre vie : elle connaît, elle voit, elle s'inquiète, elle aime, elle demande, elle intervient. C'est sa manière à elle de nous visiter. La Visitation donne à cette présence de Marie un caractère plus familier, très humain : elle veut aider si discrètement qu'on ne saura pas que c'est elle, que nous ne nous sommes pas aperçus que Marie nous visitait !

Ce n'est pas aujourd'hui qu'elle a commencé ; ce que je viens de vous en dire doit vous faire découvrir la réalité. Non, elle ne commence pas de nous visiter, car elle l'a toujours fait, sans attendre que vous lui disiez merci. Vous ne le saviez pas ?

Peut-être aujourd'hui commencerez-vous d'être un peu plus attentifs, et vous efforcerez-vous de recevoir les visites de Marie d'une manière plus consciente, de les désirer, de les attendre, et, quelquefois, d'y assister dans le fond de votre cœur, avec émerveillement et dans un sentiment d'infinie gratitude.
Lire aussi sur mariedenazareth.com :
Marie, étoile de l'espérance (Benoît XVI)

René Voillaume
Fondateur des Frères de Charles de Foucauld ; mai 2006
www.croire.com

M

« Ne vous souciez pas de demain : demain se souciera de lui-même »

Commentaire du jour :
Julienne de Norwich (1342-après 1416), recluse anglaise Révélations de l'amour divin, ch 85 (trad. Cerf 1992, p. 266 rev.)

« Ne vous souciez pas de demain : demain se souciera de lui-même »


      Je m’émerveillais beaucoup : malgré notre sottise et notre aveuglement ici-bas, notre Seigneur en sa courtoisie nous regarde sans cesse avec bienveillance et avec joie. Le plus grand plaisir que nous puissions lui faire, c’est d’en être convaincus vraiment et avec intelligence, et de nous en réjouir avec lui et en lui. Car, de même que nous serons à tout jamais dans la béatitude de Dieu, le louant et le remerciant, de même nous sommes depuis toujours dans sa prévoyance : en son dessein éternel, il nous a aimés et connus avant l’origine des temps.


      C’était avec cet amour sans commencement qu’il nous a créés, c’est par ce même amour qu’il nous garde : il ne permet jamais que nous soyons blessés au point d’en perdre notre béatitude. C’est pourquoi, au temps du jugement, quand nous serons tous élevés jusqu’au ciel, nous verrons clairement en Dieu les secrets qui maintenant nous sont cachés. Alors personne ne sera tenté de dire : « Seigneur, s’il en avait été autrement, alors cela aurait été parfait. » Nous dirons tous d’une seule voix : « Seigneur, béni sois-tu ! Il en est ainsi, et tout est bien. Nous voyons en vérité que tout est accompli selon l’ordre que tu as voulu avant le commencement de toutes choses. »

vendredi 20 juin 2014

...la compassion étant la clef de la consolation. ...

Une initiative de l'Association Marie de Nazareth 

20 juin – Luxembourg, Notre Dame de Consolation, patronne de la ville de Luxembourg 

Je suis la consolation des affligés 

Un jour du mois de mai, la Vierge Marie déclara à Marie Lataste que pour consoler un affligé, il fallait avoir été soi-même dans l’affliction; on est alors mieux à même de compatir à sa douleur, la compassion étant la clef de la consolation. Et Marie précisa: "Je suis la consolation des affligés.(…). Heureux ceux qui tournent leurs regards vers moi, parce qu'ils sont consolés !...

Or, ma fille, toutes les afflictions ont été en moi, hormis celles du péché...  Cependant, le péché des autres a été une affliction pour moi, parce qu'il offense Dieu et qu'il a fait mourir mon Fils. J'ai vu mon Fils mourir sur la croix, et dans ce moment j'ai reçu en moi toutes les afflictions qu’un cœur peut éprouver ou supporter...

Je saurai donc compatir à toutes les douleurs... et faire disparaître l'affliction(…) en montrant que toutes choses passent, et que les épreuves, loin d’être un sujet d’affliction, sont au contraire un sujet de gloire et de bonheur... À celui qui souffre, je lui donnerai aussi mon Fils, source de toute joie et principe de tout bonheur sur la terre et dans le ciel.
Lire aussi sur mariedenazareth.com :
Marie et la divine miséricorde

La Sainte Vierge à Marie Lataste
In Les Charismes de la Vierge Marie, 7-1-Consolatrice des affligés (Livre 3, chapitre 12)
voiemystique.free.fr

« Là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur »

Commentaire du jour :
Saint Vincent de Paul (1581-1660), prêtre, fondateur de communautés religieuses Conférence du 16 mai 1659, Sur l’indifférence (Seuil 1960, p. 648)

« Là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur »


Où est le cœur aimant ? En la chose qu'il aime. Par conséquent, là où est notre amour, là où notre cœur est captif ; il ne peut en sortir, il ne peut s'élever plus haut, il ne peut aller ni à droite, ni à gauche ; le voilà arrêté. Là où est le trésor de l'avare, là est son cœur ; et là où est notre cœur, là est notre trésor. Et ce qui est déplorable, c’est que ces choses qui nous retiennent en servitude sont, pour l’ordinaire, des choses très indignes.


Eh quoi ! un rien, une imagination, une parole sèche qu'on nous a dite, un manque d'accueil gracieux, un petit refus, la pensée seule qu'on ne fait pas grand compte de nous : tout cela nous blesse et nous indispose au point qu'on n'en peut guérir ! L'amour-propre nous attache à ces blessures imaginaires ; on ne saurait s'en tirer, on est toujours là-dedans. Et pourquoi ? C'est que l'on est captif de cette passion… Sommes-nous en « la liberté des enfants de Dieu » ? (Rm 8,21) Ou sommes-nous liés aux biens, aux aises, aux honneurs ?...


Ô Sauveur, vous nous avez ouvert la porte de la liberté ; enseignez-nous à la trouver. Faites-nous connaître l'importance de notre franchise [liberté] ; faites-nous recourir à vous pour y parvenir. Éclairez-nous, mon Sauveur, pour voir à quoi nous sommes attachés, et mettez-nous, s'il vous plaît, en la liberté des fils de Dieu.

Intéressant !


    1. Recherche Responsable de gestion comptable

      Missions : Etablir les contrats de travail, préparer et effectuer les payes des intervenantes et du personnel administratif, réaliser le suivi de la trésorerie et en valider la fiabilité (réalisation des remises, des dépôts bancaires et contrôle des espèces), établir et effectuer les déclarations fiscales et sociales légales, rapprochement bancaire, proc...éder à la codification et à la saisie des factures (facturation des clients, suivi du recouvrement des créances et enregistrement comptable des factures), effectuer les comptes de résultats, bilan, définir et suivre le budget de l’Association

      Maitrise de l’outil informatique (traitement de texte, tableur…) et si possible logiciels Apologic

      Type de contrat : CDD de remplacement

      Expérience : exigée de 2 années minimum

      Formation : BAC + 3 comptabilité exigé

      Salaire à négocier selon profil

      Durée hebdomadaire de travail : 20h hebdo

      Secteur d’activité : Aide à domicile

      •Envoyez ou déposez votre CV à l'Assad

      26 Avenue du 8 septembre
      62480 Le Portel

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