vendredi 28 octobre 2016

Faire connaître et aimer Marie     

Les bienfaits du Rosaire

Le Rosaire :
  1. Il nous élève insensiblement à la connaissance parfaite de Jésus Christ ;
  2. purifie nos âmes du péché ;
  3. nous rend victorieux de tous nos ennemis ;
  4. nous rend la pratique des vertus facile ;
  5. nous embrase de l’Amour de Jésus Christ ;
  6. nous enrichit de grâces et de mérites ;
  7. nous fournit de quoi payer toutes nos dettes à Dieu et aux hommes ;
  8. et enfin nous fait obtenir de Dieu toutes sortes de grâces.

Continuons à réciter le Rosaire. Et si vous n’avez pas encore commencé à le faire, sachez que c’est peut-être par-là que le Seigneur vous appellera à rejoindre sa bergerie, à devenir son fils, le fils de sa Très Sainte Mère et frère de son Fils bien-aimé : en aimant et priant avec dévotion Marie, notre Mère pour toujours.

D’après saint Louis-Marie Grignion de Montfort
aleteia.org

Découvrir plus sur mariedenazareth.com :
La force du Rosaire (Montfort)

Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.
L'unité des Douze, l'unité de l'Église


      Nous considérons ensemble les apôtres Simon le Cananéen et Jude (Thaddée) — qu'il ne faut pas confondre avec Judas Iscariote — non seulement parce que dans les listes des Douze ils sont toujours cités l'un à côté de l'autre (cf. Mt 10,4; Mc 3,18; Lc 6,15; Ac 1,13) mais aussi parce que les renseignements les concernant ne sont pas nombreux, à part le fait que le canon du Nouveau Testament conserve une lettre attribuée à Jude.

      Simon reçoit une épithète qui varie dans les quatre listes : tandis que Matthieu et Marc le qualifient de « Cananéen », Luc au contraire l'appelle « zélote ». En réalité, les deux qualificatifs sont équivalents, car ils signifient la même chose. En hébreu, en effet, le verbe « kana » veut dire « être jaloux, passionné »... Il est donc bien possible que ce Simon, s'il n'appartient pas proprement au mouvement nationaliste des zélotes, ait été au moins caractérisé par un zèle ardent pour l'identité juive, donc pour Dieu, pour son peuple et pour la loi divine. S'il en est bien ainsi, Simon se situe aux antipodes de Matthieu qui, au contraire, en tant que publicain, exerçait une activité considérée comme totalement impure. Un signe évident que Jésus appelle ses disciples et collaborateurs dans les couches sociales et religieuses les plus diverses, sans aucun a priori. Ce qui l'intéresse, ce sont les personnes et non les catégories sociales ou les étiquettes !

      Et ce qui est beau, c'est que dans le groupe de ses disciples, tous, bien que différents, coexistaient, surmontant les difficultés que l'on peut imaginer : c'était Jésus lui-même qui était, en effet, la raison de leur cohésion dans laquelle tous se retrouvaient unis. Cela constitue clairement une leçon pour nous, souvent enclins à souligner les différences et peut-être les oppositions, oubliant que, en Jésus Christ, nous est donnée la force pour concilier nos conflits. Gardons aussi à l'esprit que le groupe des Douze est la préfiguration de l'Église, en laquelle doivent trouver place tous les charismes, tous les peuples et races, toutes les qualités humaines, qui trouvent leur composition et leur unité dans la communion avec Jésus.

jeudi 20 octobre 2016


Le jour où je me suis aimé pour de vrai…
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n’étaient rien d’autre qu’un signal
lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle authenticité
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de vouloir une vie différente,
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue
à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation,
ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien
que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts,
et que ce n’est pas le moment.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire :
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle amour-propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire des grands plans.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime,
quand ça me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui, j’appelle ça simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison,
et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert l’humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur,
Elle devient un allié très précieux.
Charlie Chaplin
 

.............. Suite

 

mercredi 19 octobre 2016

le prix du sourire

Les poèmes sur le sourire :

Un sourire.

Recueil : Le Livre d'amour (1920)
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne,
Il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel,
Personne n'est assez riche pour s'en passer,
Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter,
Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires,
Il est le signe sensible de l'amitié,
Un sourire donne du repos à l'être fatigué,
Donne du courage au plus découragé
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler,
Car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne.
Et si toutefois, vous rencontrez quelqu'un qui ne sait plus sourire,
Soyez généreux donnez-lui le vôtre,
Car nul n'a autant besoin d'un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres.


Raoul Follereau
(1903-1977)

Read more at http://www.mon-poeme.fr/poemes-sur-le-sourire/#Wc3Qr7bzeZf9Ddr3.99

mercredi 12 octobre 2016

Quel mystère que celui d’un enfant qui se développe dans le ventre de sa mère. À qui va-t-il ressembler ? L’entourage se fait tout un tas d’idées… jusqu’à ce que l’enfant, finalement, paraisse au grand jour.

Aujourd’hui j’aimerais vous parler de la grossesse la plus célèbre de la Bible… celle de Marie.

"Voici, la jeune fille vierge sera enceinte. Et elle enfantera un fils que l’on appellera Emmanuel, ce qui veut dire Dieu est avec nous." (La Bible, Matthieu 1.23)

Comme tous les bébés, Jésus s’est développé dans le secret, à l’intérieur du ventre de sa maman. Au fil des semaines, il a grandi à l’abri des regards jusqu’à ce que le temps de la naissance arrive et qu’enfin il soit visible aux yeux des hommes.

Nombreux sont ceux qui se font une idée de qui est le Seigneur et de ce qu’il n’est pas... selon eux. Aujourd’hui c’est à vous de porter, partager sa vie et la rendre visible autour de vous. Concrètement cela revient à laisser Jésus vivre et grandir en vous jusqu’à ce que le fruit de sa vie en vous paraisse.

L'apôtre Paul dit "Ce n’est plus moi qui vit, c’est Christ qui vit en moi." (La Bible, Galates 2.20).

Porter et partager la vie de Christ, c'est agir comme lui. Aimer votre ennemi. Bénir celui qui vous maudit. Pardonner celui qui vous a offensé(e). C’est tendre la main à cet(te) inconnu(e) dans la rue, c’est prendre le temps d’écouter votre prochain avec compassion. sophie, manifestez l’amour et l’attitude de Christ chaque jour.

Je vous invite à prier avec moi : Seigneur permets-moi de manifester ta vie à chaque instant. Que tu puisses grandir et que je diminue. Prends toute la place afin qu’un grand nombre soit interpellé et touché par ta vie et ton amour en moi. Amen.
Merci d'exister,

Eric Célérier

P.S. : Découvrez le site ConnaitreMarie.com, dont le but est de proposer un portrait de Marie selon la Bible retraçant son histoire, son parcours avec Jésus et mettant en lumière, qu’à travers toute sa vie, Marie suit Jésus et sert Dieu. 

Psaume 1,1-2.3.4.6.
Heureux est l'homme
qui n'entre pas au conseil des méchants,
qui ne suit pas le chemin des pécheurs,
ne siège pas avec ceux qui ricanent,
mais se plaît dans la loi du Seigneur
et murmure sa loi jour et nuit !

Il est comme un arbre
planté près d'un ruisseau,
qui donne du fruit en son temps,
et jamais son feuillage ne meurt ;
tout ce qu'il entreprend réussira.
Tel n'est pas le sort des méchants.

Mais ils sont comme la paille
balayée par le vent :
Le Seigneur connaît le chemin des justes,
mais le chemin des méchants se perdra.

Albert Brie
Écrivain
Albert Brie, né le 6 décembre 1925 à Québec, et mort le 27 octobre 2015 à Belœil, est un écrivain et humoriste québécois. Il a participé comme scripteur francophone à plusieurs médias canadiens. Wikipédia
Naissance : 6 décembre 1925, Québec, Canada
Date de décès : 27 octobre 2015

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Présentation
L'humour est une forme d'esprit railleuse « qui s'attache à souligner le caractère comique, ridicule, absurde ou insolite de certains aspects de la réalité ».
L'humour est distingué par plusieurs concepts : c’est un langage, mais aussi un moyen d’expression. Il joue un rôle essentiel dans l’équilibre de la personne, il libère les tensions et préserve notre santé. L’humour peut être employé dans différents buts et peut, par exemple, se révéler pédagogique ou militant. Sa forme, plus que sa définition, est diversement appréciée d'une culture à l'autre, d'une région à une autre, d'un point de vue à un autre, à tel point que ce qui est considéré par certains comme de l'humour, peut être considéré par les autres comme une méchante moquerie ou une insulte.
L'humour permet à l'homme de prendre du recul sur ce qu'il vit, comme le soulève Joseph Klatzmann dans son ouvrage L'Humour juif en souhaitant « rire pour ne pas pleurer ». Plus pessimiste, Nietzsche affirme « L'homme souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire », se rapprochant du cynisme.

10 raisons d’embaucher un ancien scout !

Mode de vie

10 raisons d’embaucher un ancien scout !

Saviez-vous qu'un scout a des atouts fondamentaux sur le marché du travail actuel ?

Le succès de la méthode scoute n’est plus à démontrer . Depuis le jour où son fondateur, le général britannique Robert Baden-Powell,  a voulu appliquer les valeurs chrétiennes lui-même était chrétien grâce à une méthodologie de formation pour les jeunes, le scoutisme n’a fait que se développer. Maintenant , le magazine Forbes, l’une des revues les plus prestigieuses sur l’ entreprise et l’économie, a publié sous la signature d’Ana Sáenz de Miera, directrice  pour l’Espagne et le Portugal de l’association Ashoka, un article qui explique pourquoi il est conseillé d’embaucher quelqu’un qui a été scout. En France et en Espagne, les différents mouvements scouts développent cette oeuvre avec le même zèle que le fondateur du mouvement, conformément aux règles scoutes en faveur de la formation transversale de la personne – physique , mentale et  spirituelle.
Voici les 10 caractéristiques qui, selon Forbes, font d’un scout une valeur ajoutée pour l’entreprise et la société dans laquelle il vit :
1. Il sait travailler en équipe
Il aura peut-être quinze ans d’expérience de travail en équipe, toujours dans le respect de l’autre comme valeur transversale. Il sait monter une tente ou organiser un camp d’été pour 200 enfants, bénévolement. La formation aux scouts est par nature coopérative et pour des projets.
2. Il est créatif
Il trouve depuis des années des solutions créatives à des situations adverses. Il a dû improviser des abris face à des tempêtes imprévues, s’inventer un jeu de vikings qui motive cent gamins durant quinze jours ou organiser une campagne de collecte de fonds pour couvrir les frais d’un camp de travail en Syrie.
3. Il respecte son échelle de valeurs et sa parole
Il est accoutumé à programmer et mener des activités basées sur les valeurs scoutes, qui ont un cadre bien défini (un peu comme le « code éthique » auquel nous nous référons dans le monde professionnel). Cela suscite en lui le besoin de croire dans les projets auxquels il prend part et de les aligner sur ses intérêts et ses passions. La vérité, la noblesse, la justice, la solidarité et le respect de la parole donnée sont des valeurs immuables dans ce contexte.
4. Il sait diriger et être dirigé
Depuis l’âge de six ans il prend des décisions et travaille à plusieurs projets simultanément : dans certains il dirige, dans d’autres il est dirigé par ses compagnons. Quand il dirige, il le fait avec consensus et confiance, se mettant dans la peau des autres et étant cohérent dans ses décisions. Quand il est dirigé, il travaille en équipe avec respect, promouvant le consensus et la cohésion.
5. Il est empathique
Comme dans une entreprise, dans un groupe scout coexistent des garçons et des filles de tous types et âges, de capacités et d’intérêts différents. L’empatie joue un rôle essentiel  pour la coexistence et l’aide mutuelle. Un scout a appris que tous ne doivent pas porter le même poids dans le sac à dos, mais que le poids se répartit en fonction des capacités de chacun ; ou que la meilleure excursion n’est pas celle qui arrive plus haut, mais celle qui est à la portée de tout le groupe.
6. Il valorise l’effort
Depuis l’enfance, les activités de la vie scoute, très liées à la nature, doivent viser à apprendre à se dépasser même quand on croit qu’on n’a plus la force pour faire un pas de plus, à sourire face aux difficultés et à faire un effort pour atteindre  tous les objectifs  qu’on se propose.
7. Il sait se fixer des objectifs et les évaluer
Dès l’âge de 6 ans, le scout est exercé à se fixer des objectifs, tant personnels que d’équipe, pour ensuite les évaluer et recevoir l’évaluation des autres. Le feedback constructif est donc une pratique qu’un scout domine à la perfection lorsqu’il entame sa vie professionnelle.
8. Il est généreux
« Donner »et « partager » sont les verbes les plus présents dans la vie scoute. L’eau qui reste dans une gourde n’appartient pas à son propriétaire, mais à celui qui en a le plus besoin, et un éducateur peut arriver à investir bénévolement 1000 heures par an, consacrées à éduquer les enfants à être des personnes meilleures.
9. Il combat l’injustice
Avec le message « Essayez de quitter la terre en la laissant un peu meilleure que vous ne l’avez trouvée »,  la pédagogie scoute est basée sur le fait que les enfants sont capables de comprendre et mettre en pratique leur propre potentiel en vue d’améliorer leur environnement, en affrontant avec courage les défis qui se présentent et non en tournant la tête devant les injustices, mais en agissant pour changer la situation .
10. Il est une personne « pleine de ressources »
Il possède une grande expérience pour dynamiser des réunions, inventer un jeu pour résoudre un conflit, parler en public ou localiser l’entreprise la moins chère pour louer des camionnettes. Il est audacieux et dynamique, et habitué à régler les problèmes de toutes sortes.
Les compétences que nous recherchons tous dans les personnes qui intégreront notre équipe de travail ne sont-elles pas celles-là ?
• Si vous avez été scout et éducateur scout, mettez-le sur votre CV et dîtes-le dans vos entretiens d’embauche.
• Si vous êtes à la recherche de talents, ne perdez pas de vue les avantages concurrentiels d’un scout.
• Si vous êtes mère ou père et que vous voulez élever vos enfants avec de telles compétences, essentielles, inscrivez vos enfants aux scouts, même si cela comporte de vous réveiller à l’aube le samedi  .
*La fiabilité de ces principes est proportionnel au nombre d’années comme scout, et augmente sensiblement si vous avez été éducateur scout

mardi 4 octobre 2016

Jean d'Ormesson, le jeune qui monte


Jean d'Ormesson, le jeune qui monte 

 
 © BALTEL/SIPA
© BALTEL/SIPA

À l’heure où il sort son nouveau bréviaire antimorosité, l’épatant Guide des égarés, l’académicien s’est confié à La Vie. Quel est donc le secret de Jean d’O ?

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Un vrai bréviaire. Il en rêvait, il l’a fait ! Dans l’ancien bureau de Gaston Gallimard, Jean d’Ormesson trône sur le canapé comme au milieu de son salon, aussi frétillant qu’un écolier à l’heure de la récréation : impatient de parler de son nouvel ouvrage. Alors certes, on est après la publication de l’illustre Pléiade, papier bible, dorure à l’or fin, où il a été sanctuarisé l’an dernier. Consécration suprême. Mais passé le garde-à-vous dans la cour d’honneur, il est permis de se dégourdir un peu les jambes. Jean d’Ormesson l’explique sans ambages, c’est Stéphane Hessel et son Indignez-vous !, qui lui avait donné l’idée d’écrire « un petit ouvrage à mettre dans la poche ».
À l’injonction d’Hessel, l’académicien s’était retenu de répondre alors : « Profitez ! » Depuis, il a mis un peu d’eau dans son vin, un soupçon de gravité dans son hédonisme, pour publier « ce...

PAIX ET BIEN EN ST FRANCOIS

 ICI IL Y A DIEU.

Une prise de position pour aujourd'hui

N'ayez plus peur, le Seigneur est ici, il marche à vos côtés, vivez votre vie !




PAIX ET BIEN EN ST FRANCOIS