vendredi 31 août 2018

notre confiance est dans son nom très saint.


Samedi 1 Septembre
Le samedi de la 21e semaine du temps ordinaireVoir le commentaire ci-dessous

St Gilles En savoir plus

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 1,26-31.
Frères, vous qui avez été appelés par Dieu, regardez bien : parmi vous, il n’y a pas beaucoup de sages aux yeux des hommes, ni de gens puissants ou de haute naissance.
Au contraire, ce qu’il y a de fou dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi, pour couvrir de confusion les sages ; ce qu’il y a de faible dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi, pour couvrir de confusion ce qui est fort ;
ce qui est d’origine modeste, méprisé dans le monde, ce qui n’est pas, voilà ce que Dieu a choisi, pour réduire à rien ce qui est ;
ainsi aucun être de chair ne pourra s’enorgueillir devant Dieu.
C’est grâce à Dieu, en effet, que vous êtes dans le Christ Jésus, lui qui est devenu pour nous sagesse venant de Dieu, justice, sanctification, rédemption.
Ainsi, comme il est écrit : ‘Celui qui veut être fier, qu’il mette sa fierté dans le Seigneur.’

Psaume 33(32),12-13.18-19.20-21.
Heureux le peuple dont le Seigneur est le Dieu,
heureuse la nation qu'il s'est choisie pour domaine !
Du haut des cieux, le Seigneur regarde :
il voit la race des hommes.

Dieu veille sur ceux qui le craignent,
qui mettent leur espoir en son amour,
pour les délivrer de la mort,
les garder en vie aux jours de famine.

Nous attendons notre vie du Seigneur :
il est pour nous un appui, un bouclier.
La joie de notre cœur vient de lui,
notre confiance est dans son nom très saint.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 25,14-30.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole : « Un homme qui partait en voyage appela ses serviteurs et leur confia ses biens.
À l’un il remit une somme de cinq talents, à un autre deux talents, au troisième un seul talent, à chacun selon ses capacités. Puis il partit. Aussitôt,
celui qui avait reçu les cinq talents s’en alla pour les faire valoir et en gagna cinq autres.
De même, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres.
Mais celui qui n’en avait reçu qu’un alla creuser la terre et cacha l’argent de son maître.
Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint et il leur demanda des comptes.
Celui qui avait reçu cinq talents s’approcha, présenta cinq autres talents et dit : “Seigneur, tu m’as confié cinq talents ; voilà, j’en ai gagné cinq autres.”
Son maître lui déclara : “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.”
Celui qui avait reçu deux talents s’approcha aussi et dit : “Seigneur, tu m’as confié deux talents ; voilà, j’en ai gagné deux autres.”
Son maître lui déclara : “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.”
Celui qui avait reçu un seul talent s’approcha aussi et dit : “Seigneur, je savais que tu es un homme dur : tu moissonnes là où tu n’as pas semé, tu ramasses là où tu n’as pas répandu le grain.
J’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre. Le voici. Tu as ce qui t’appartient.”
Son maître lui répliqua : “Serviteur mauvais et paresseux, tu savais que je moissonne là où je n’ai pas semé, que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu.
Alors, il fallait placer mon argent à la banque ; et, à mon retour, je l’aurais retrouvé avec les intérêts.
Enlevez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui en a dix.
À celui qui a, on donnera encore, et il sera dans l’abondance ; mais celui qui n’a rien se verra enlever même ce qu’il a.
Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres extérieures ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !” »

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

Bulle
Catéchisme de l'Église catholique
§ 2402-2405

« Il leur confia ses biens »
La destination universelle et la propriété privée des biens : Au commencement, Dieu a confié la terre et ses ressources à la gérance commune de l'humanité pour qu'elle en prenne soin, la maîtrise par son travail et jouisse de ses fruits (Gn 1,26-29). Les biens de la création sont destinés à tout le genre humain. Cependant la terre est répartie entre les hommes pour assurer la sécurité de leur vie, exposée à la pénurie et menacée par la violence. L'appropriation des biens est légitime pour garantir la liberté et la dignité des personnes, pour aider chacun à subvenir à ses besoins fondamentaux et aux besoins de ceux dont il a la charge. Elle doit permettre que se manifeste une solidarité naturelle entre les hommes. Le droit à la propriété privée... n'abolit pas la donation originelle de la terre à l'ensemble de l'humanité. La destination universelle des biens demeure primordiale, même si la promotion du bien commun exige le respect de la propriété privée, de son droit et de son exercice.
« L'homme, dans l'usage qu'il en fait, ne doit jamais tenir les choses qu'il possède légitimement comme n'appartenant qu'à lui, mais les regarder aussi comme communes : en ce sens qu'elles puissent profiter non seulement à lui, mais aux autres » (Vatican II, GS 69). La propriété d'un bien fait de son détenteur un administrateur de la Providence pour le faire fructifier et en communiquer les bienfaits à autrui, et d'abord à ses proches. Les biens de production... requièrent les soins de leurs possesseurs pour que leur fécondité profite au plus grand nombre. Les détenteurs des biens d'usage et de consommation doivent en user avec tempérance, réservant la meilleure part à l'hôte, au malade, au pauvre.
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15 conseils bibliques pour être heureux



GIRL HAPPY

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Quelques conseils issus de la Bible pour trouver le bonheur dans son quotidien.

L’être humain cherche naturellement le bonheur mais comment y parvenir avec toutes les vicissitudes que la vie nous apporte ? Découvrez ces magnifiques citations extraites de la Bible. Elles vous aideront à conquérir le bonheur chaque jour.

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jeudi 30 août 2018

Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous.

31 août - Fête orthodoxe de la Déposition de la ceinture de la Vierge à Chalcoprateia

Une Minute avec Marie
Faire connaître et aimer Marie     

« Va te confesser », lui dit la Vierge Marie 


En Allemagne, au tout début du XVIIIe siècle, un homme commit un péché grave. La honte l’empêcha de se confesser, mais il était tourmenté de remords et décida de se suicider en se noyant. Or, arrivé au bord de l’eau, il ne plongea pas et pleurant à chaudes larmes implora Dieu de le pardonner sans confession.
Plusieurs nuits de suite, il sentit qu’on le frappait sur l’épaule et entendit : « Va te confesser », mais il n’y alla pas. Sa honte le retenait. Puis il finit par aller jusqu’à l’église, mais là encore, il n’osa avouer son péché et s’en retournait chez lui lorsqu’il eut l’inspiration de prier la Sainte Vierge Marie.
À peine se fut-il mis à genoux, qu’il se sentit tout autre. Il revint à l’église, demanda un confesseur et déclara ses péchés avec grande contrition. Il avoua ensuite qu’il avait eu plus de joie pendant cette confession que s’il avait gagné tout l’or du monde !
Découvrir plus sur mariedenazareth.com :
 
Extrait des Gloires de Marie d’Alphonse de Liguori
D’après Le chapelet des enfants  
Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen
.

« Bienheureux ceux qui ont été appelés au festindes noces de l'Agneau. » (Ap 19,9)


Vendredi 31 Août
Le vendredi de la 21e semaine du temps ordinaireVoir le commentaire ci-dessous

St Raymond Nonnat En savoir plus

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 1,17-25.
Le Christ, en effet, ne m’a pas envoyé pour baptiser, mais pour annoncer l’Évangile, et cela sans avoir recours au langage de la sagesse humaine, ce qui rendrait vaine la croix du Christ.
Car le langage de la croix est folie pour ceux qui vont à leur perte, mais pour ceux qui vont vers leur salut, pour nous, il est puissance de Dieu.
L’Écriture dit en effet : Je mènerai à sa perte la sagesse des sages, et l’intelligence des intelligents, je la rejetterai.
Où est-il, le sage ? Où est-il, le scribe ? Où est-il, le raisonneur d’ici-bas ? La sagesse du monde, Dieu ne l’a-t-il pas rendue folle ?
Puisque, en effet, par une disposition de la sagesse de Dieu, le monde, avec toute sa sagesse, n’a pas su reconnaître Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par cette folie qu’est la proclamation de l’Évangile.
Alors que les Juifs réclament des signes miraculeux, et que les Grecs recherchent une sagesse,
nous, nous proclamons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs, folie pour les nations païennes.
Mais pour ceux que Dieu appelle, qu’ils soient Juifs ou Grecs, ce Messie, ce Christ, est puissance de Dieu et sagesse de Dieu.
Car ce qui est folie de Dieu est plus sage que les hommes, et ce qui est faiblesse de Dieu est plus fort que les hommes.

Psaume 33(32),1-2.4-5.10-11.
Criez de joie pour le Seigneur, hommes justes !
Hommes droits, à vous la louange !
Rendez grâce au Seigneur sur la cithare,
jouez pour lui sur la harpe à dix cordes.

Oui, elle est droite, la parole du Seigneur ;
il est fidèle en tout ce qu'il fait.
Il aime le bon droit et la justice ;
la terre est remplie de son amour.

Le Seigneur a déjoué les plans des nations,
anéanti les projets des peuples.
Le plan du Seigneur demeure pour toujours,
les projets de son cœur subsistent d'âge en âge.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 25,1-13.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole :
« Le royaume des Cieux sera comparable à dix jeunes filles invitées à des noces, qui prirent leur lampe pour sortir à la rencontre de l’époux.
Cinq d’entre elles étaient insouciantes, et cinq étaient prévoyantes :
les insouciantes avaient pris leur lampe sans emporter d’huile,
tandis que les prévoyantes avaient pris, avec leurs lampes, des flacons d’huile.
Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent.
Au milieu de la nuit, il y eut un cri : “Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.”
Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et se mirent à préparer leur lampe.
Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes : “Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.”
Les prévoyantes leur répondirent : “Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.”
Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva. Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée.
Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent à leur tour et dirent : “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !”
Il leur répondit : “Amen, je vous le dis : je ne vous connais pas.”
Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure. »

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

Bulle
Saint Antoine de Padoue (v. 1195-1231)
franciscain, docteur de l'Église
Sermons pour le dimanche et les fêtes des saints (trad. Bayart, Eds. franciscaines 1944, p. 238)

« Voici l'Époux ! »
Entre Dieu et nous régnait une grave discorde. Pour l'apaiser, pour ramener la bonne entente, il a fallu que le Fils de Dieu épouse notre nature... Le Père a consenti et a envoyé son Fils. Celui-ci, dans le lit nuptial de la Bienheureuse Vierge, a uni notre nature à la sienne. Telles ont été les noces que le Père a fait alors pour son Fils. Le Verbe de Dieu, dit Jean Damascène, a pris tout ce que Dieu avait mis en notre nature : un corps et une âme raisonnable. Il a tout pris pour me sauver tout entier par sa grâce. La Divinité s'est abaissée jusqu'à ce mariage ; la chair ne pouvait conclure un mariage plus glorieux.
Des noces se célèbrent encore, quand survient la grâce du Saint-Esprit, pour opérer la conversion de l'âme pécheresse. On lit dans le prophète Osée : « Je reviendrai à ma première épouse ; alors je me trouverai mieux qu'à présent » (cf 2,9). Et plus loin : « Elle m'appellera : mon époux, et non plus : mon maître. Et j'enlèverai de sa bouche les noms des idoles... Je ferai alliance avec eux... » (v. 18-20). L'époux de l'âme c'est le Saint-Esprit, par sa grâce. Quand son inspiration intérieure invite l'âme à la pénitence, tous les appels des vices sont vains. Le maître qui dominait et ravageait l'âme, c'est l'orgueil qui veut commander, c'est la gourmandise et la luxure qui dévorent tout. Leurs noms mêmes sont enlevés de la bouche du pénitent... Quand la grâce se répand dans l'âme et l'illumine, Dieu fait alliance avec les pécheurs. Il se réconcilie avec eux... Alors se célèbrent les noces de l'époux et de l'épouse, dans la paix d'une conscience pure.
Enfin, des noces se célèbrent au jour du jugement, quand viendra l'Époux, Jésus Christ. « Voici que vient l'Époux, est-il dit ; allez au-devant de lui. » Alors il prendra avec lui l'Église, son épouse. « Viens, dit saint Jean dans l'Apocalypse, je te montrerai l'épouse de l'Agneau. Et il me montra la sainte cité de Jérusalem, descendant du ciel. » (21,9-10)... À présent, nous ne vivrons dans le ciel que par la foi et par l'espérance ; mais après peu de temps, l'Église célèbrera ses noces avec son Époux : « Bienheureux ceux qui ont été appelés au festin des noces de l'Agneau. » (Ap 19,9)

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ÉDITO
J'ai la nausée !
Quand cela va-t-il s’arrêter ? Les scandales dans l’Église se succèdent à toute vitesse. J’en ai le tournis ! Chacun provoquant douleur, peine, tristesse et dégoût... Ce n’est, hélas, pas la première fois dans l’histoire que l’Église traverse une forte tempête. Pour s’en sortir, il n’y a qu’une route à emprunter, car l’histoire nous le dit : c’est à chaque fois un temps de purification, d’examen de conscience, de conversion et de réparation du mal commis. Comptons sur la miséricorde du Seigneur pour nous donner la force de nous retrousser les manches pour, avec le pape, "nettoyer les écuries d'Augias". C’est là le sens de son appel dans sa lettre au Peuple de Dieu. Ne désespérons pas, ne hurlons pas avec les loups, de choisissons pas de camps qui entretiennent des divisions. Soyons des hommes et des femmes de communion dans la vérité et la justice. C’est urgent !

Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous.


30 août – Portugal : Santa Maria de Cárquere

Une Minute avec Marie
Faire connaître et aimer Marie     

Le prince fut guéri, comme la Vierge l'avait promis 


Cárquere est un village du Portugal, situé non loin du fleuve du Douro, proche de Resende. Chaque année, le 4e dimanche de mai, on y célèbre Sainte Marie de Cárquere. Selon la tradition, Notre Dame de Cárquere serait liée à la guérison miraculeuse du prince Alfonso-Henriques destiné à devenir le premier roi du Portugal. Il était né les jambes paralysées à partir des genoux.
Son précepteur, le chevalier Egas de Monis, priait beaucoup la Vierge Marie, demandant la guérison des jambes du prince âgé de quatre ans. Et voici qu'une nuit de l'an 1109 ou 1113, Notre Dame apparut à Egas de Monis : Je suis la Vierge Marie. » Puis, elle lui ordonna de se rendre dans les collines voisines au-dessus du fleuve du Douro et lui indiqua un endroit très précis : Là, en creusant, vous trouverez une chapelle jadis édifiée en mon honneur. Vous placerez l'enfant sur l'autel ; il sera guéri. Mon Fils veut, par ce prince, détruire de nombreux ennemis de la foi.
Egas de Monis obéit. Il découvrit une petite statue dans les ruines de la chapelle : cette statuette est appelée Notre-Dame de Cárquere. Il porta le jeune prince sur l'autel de l'église, trouvé au milieu des ruines et le prince fut guéri, comme la Vierge Marie l'avait promis. La vieille chapelle de Cárquere devint célèbre dans tout le Portugal.
Aujourd'hui, des traces de l'autel et de l'église datant de l'époque romane ont été retrouvées. Au long du XIXe siècle, la sécularisation de la société fit tomber en ruines une grande part de cet héritage religieux. Mais au XXe siècle, Cárquere redevint l'un des piliers de l’héritage chrétien portugais.
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Radio Silence
Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.