dimanche 4 février 2018

Merci Seigneur pour le prix que tu as payé pour me sauver. Je ne pouvais acquitter moi-même le prix de mon salut, mais tu as accepté de le payer pour moi et pour tous les hommes. Amen !

La liberté n'a pas de prix !


« Si un homme frappe l’œil de son esclave, homme ou femme, et qu’il lui fasse perdre l’œil, il le mettra en liberté, pour prix de son œil. Et s’il fait tomber une dent à son esclave, homme ou femme, il le mettra en liberté, pour prix de sa dent. » (Exode 21.26/27)
La liberté n’a pas de prix ! Qui n’a jamais entendu cette expression ?
Elle est utilisée par les artistes, les hommes et femmes politiques, elle fait parfois la une des journaux… Cette devise nous rappelle qu’il est possible de faire mille et un sacrifices pour s’évader d’un goulag, qu’il est possible de verser des sommes astronomiques pour faire libérer des otages… Heureux sont, ceux qui ont vu tous ces sacrifices et le versement de ces rançons, aboutir à une libération.
En fait dire que la liberté n’a pas de prix c’est dire que le prix à payer est immense, et quel prix ! Parfois les tractations ont été longues et périlleuses, les sommes versées ont été énormes. Certains ont payé de leur vie cette quête de liberté. Le combat pour la liberté coûte cher. La sortie d’Egypte pour le peuple juif, du temps de Moïse, a coûté la vie à tous les premiers nés d’Egypte. L’abolition de l’esclavage a coûté une guerre fratricide aux Etats Unis. Les guerres de religion en France, qui ont fait des milliers de victimes, et l’arbitraire du pouvoir politique, ont été des éléments qui ont favorisé la révolution française, entraînant des milliers de morts, pour enfin ouvrir un chemin vers la liberté. La conquête de la liberté est souvent longue et coûteuse.
Dans le texte de ce jour, nous voyons que le prix de la liberté c’était soit la perte d’un œil, soit la perte d’une dent, suite à des coups violents portés sur l’esclave. La liberté avait un prix !
Nous avons été créés libres, mais le péché a entamé cette liberté. Pour nous redonner accès à la liberté, Jésus a payé du prix de sa vie. Ayant fait cela il peut maintenant nous dire : « Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. » (Jean 8.36)
Personne ne pouvait payer un prix aussi grand pour nous rendre libres, Jésus l’a fait. Souvenons-nous que notre liberté a été payée au prix le plus fort que l’on puisse imaginer : la vie du Fils de Dieu ! Or, ce prix là, nul d’entre nous ne pouvait le payer !
Ma prière en ce jour :
Merci Seigneur pour le prix que tu as payé pour me sauver. Je ne pouvais acquitter moi-même le prix de mon salut, mais tu as accepté de le payer pour moi et pour tous les hommes. Amen !
Paul Calzada

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