l’Évangile au Quotidien « Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68 |
Mardi 11 Décembre
Le mardi de la 2e semaine de l'Avent
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St Damase , Ste María Maravillas de Jesús |
Livre d'Isaïe 40,1-11.
Consolez, consolez mon peuple, – dit votre Dieu – |
parlez au cœur de Jérusalem. Proclamez que son service est accompli, que son crime est expié, qu’elle a reçu de la main du Seigneur le double pour toutes ses fautes. |
Une voix proclame : « Dans le désert, préparez le chemin du Seigneur ; tracez droit, dans les terres arides, une route pour notre Dieu. |
Que tout ravin soit comblé, toute montagne et toute colline abaissées ! que les escarpements se changent en plaine, et les sommets, en large vallée ! |
Alors se révélera la gloire du Seigneur, et tout être de chair verra que la bouche du Seigneur a parlé. » |
Une voix dit : « Proclame ! » Et je dis : « Que vais-je proclamer ? » Toute chair est comme l’herbe, toute sa grâce, comme la fleur des champs : |
l’herbe se dessèche et la fleur se fane quand passe sur elle le souffle du Seigneur. Oui, le peuple est comme l’herbe : |
l’herbe se dessèche et la fleur se fane, mais la parole de notre Dieu demeure pour toujours. |
Monte sur une haute montagne, toi qui portes la bonne nouvelle à Sion. Élève la voix avec force, toi qui portes la bonne nouvelle à Jérusalem. Élève la voix, ne crains pas. Dis aux villes de Juda : « Voici votre Dieu ! » |
Voici le Seigneur Dieu ! Il vient avec puissance ; son bras lui soumet tout. Voici le fruit de son travail avec lui, et devant lui, son ouvrage. |
Comme un berger, il fait paître son troupeau : son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son cœur, il mène les brebis qui allaitent. |
Psaume 96(95),1-2a.3a.10ac.11-12a.12b-13ab.
Chantez au Seigneur un chant nouveau, |
chantez au Seigneur, terre entière, |
chantez au Seigneur et bénissez son nom ! |
Racontez à tous les peuples sa gloire, |
Allez dire aux nations : « Le Seigneur est roi ! » |
Il gouverne les peuples avec droiture. |
Joie au ciel ! Exulte la terre ! |
Les masses de la mer mugissent, |
la campagne tout entière est en fête. |
Les arbres des forêts dansent de joie |
devant la face du Seigneur, car il vient, |
car il vient pour juger la terre. |
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 18,12-14.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Quel est votre avis ? Si un homme possède cent brebis et que l’une d’entre elles s’égare, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-dix-neuf autres dans la montagne pour partir à la recherche de la brebis égarée ? |
Et, s’il arrive à la retrouver, amen, je vous le dis : il se réjouit pour elle plus que pour les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées. |
Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu. » |
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Sainte Faustine Kowalska (1905-1938)
religieuse Petit Journal, § 1589 (trad. Éds. Parole et dialogue 2002, p. 527) |
« Ne laissera-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans la montagne pour partir à la recherche de la brebis égarée ? »
L'âme dans l'attente de la venue du Seigneur : |
Je ne sais pas, Seigneur, à quelle heure tu viendras, |
Je veille donc sans cesse et je tends l'oreille, |
Moi ta bien-aimée que tu as choisie, |
Car je sais que tu aimes venir inaperçu. |
Cependant le cœur pur, Seigneur, te pressent de loin. |
Je t'attends, Seigneur, dans le calme et le silence, |
Avec une grande nostalgie en mon cœur |
Et un désir inassouvi. |
Je sens que mon amour pour toi se change en brasier |
Et comme une flamme s'élèvera dans le ciel, à la fin de mes jours : |
Alors tous mes vœux se réaliseront. |
Viens donc enfin — mon très doux Seigneur, |
Et emporte mon cœur assoiffé |
Là-bas chez toi, dans les hautes contrées des cieux |
Où règne éternellement ta vie. |
Car la vie sur terre n'est qu'une agonie, |
Car mon cœur sent qu'il est créé pour les hauteurs |
Et rien ne l'intéresse des plaines de cette vie. |
Ma patrie, c'est le ciel ; je crois en cela invinciblement. |
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