1. Les biens matériels sont des biens, des
dons de Dieu. Les Écritures décrivent l’activité économique comme bienfait,
dans le cadre d’une économie de propriété et d’échanges, reconnue en
outre inégale. Ils exhortent ceux qui ont des biens matériels à les
utiliser, intelligemment et généreusement. En savoir +
2. Mais à un deuxième stade, les Écritures demandent de dépasser la
perspective de ce monde et de relativiser ses richesses. Y a-t-il alors malédiction des
« riches » ? Oui, s’ils se définissent par leurs richesses et
n’entendent pas l’appel de Dieu. Nous devons tous nous convertir pour
nous tourner vers les seuls vrais biens, ceux de la vie éternelle, et
donner à nos frères. En savoir +
3. Au niveau collectif, la Doctrine sociale de l’Église justifie la propriété ; mais elle la subordonne à la destination universelle des biens.
Ni égalitarisme, ni droit à faire ce qu’on veut de sa richesse. La
richesse est là pour servir au bien commun, c’est la responsabilité
principale du propriétaire. En savoir +
4. En définitive, nous devons rechercher notre sanctification.
Le point de départ est intérieur, c’est notre conversion personnelle.
Dans l’action ensuite, la priorité est à notre devoir d’état. Nous
devons enfin nous interroger sur ce que Dieu nous demande de faire de la
richesse qu’il nous a confiée. En savoir +
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