Le bonheur et la grâce
« Le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les jours de ma vie » (Psaume 23.6).
Qui
ne veut pas être heureux ? La quête du bonheur est une préoccupation
humaine légitime. Tout être humain aspire au bonheur. Cependant, tous
les hommes n’ont pas les mêmes critères pour évaluer le bonheur, et
chacun cherche le bonheur dans des voies différentes.
Le
psalmiste s’interroge ainsi : « Qui nous fera voir le bonheur ? »
(Psaume 4.6). Certains cherchent le bonheur dans la réussite matérielle,
dans le succès, dans les plaisirs, d’autres dans l’ascétisme, la
contemplation, l’altruisme. Ici, nous avons une réponse à la question du
psalmiste : Le bonheur est lié à la grâce. Là où agit la grâce, là où
opère la grâce, le bonheur est présent.
Un
jour on demandait au célèbre compositeur Haydn, pourquoi ses chants
religieux étaient si gais. Il répondit : « Je ne saurai faire autrement.
Lorsque je pense à Dieu, et à sa grâce offerte en Christ, mon âme est
remplie d’une telle joie, que les notes sautent et dansent sous ma
plume. J’éprouve un tel bonheur à cause de la grâce divine, que je ne
vois pas comment je pourrai ne pas être heureux quand j’écris ces
chants. »
Le
bonheur que nous apporte la grâce de Dieu est illustré dans les trois
paraboles du chapitre 15 de l’évangile de Luc : La brebis perdue et
retrouvée procure une grande joie au berger, la drachme perdue et
retrouvée est l’occasion pour cette femme d’inviter ses amies à une
fête, et le Père du fils prodigue organise une grande fête à l’occasion
du retour de son fils.
Là où la grâce opère, il y a de la joie.
Dans cette dernière parabole, la grâce du père, envers son fils prodigue repentant, va mettre la maison en fête, mais le seul qui ne se réjouit pas, c’est le frère aîné enfermé dans une vision légaliste.
Là où la grâce est accueillie, il y a du bonheur ; là où le légalisme rejette la grâce, il y a tristesse et accusations culpabilisantes.
Là où la grâce opère, il y a de la joie.
Dans cette dernière parabole, la grâce du père, envers son fils prodigue repentant, va mettre la maison en fête, mais le seul qui ne se réjouit pas, c’est le frère aîné enfermé dans une vision légaliste.
Là où la grâce est accueillie, il y a du bonheur ; là où le légalisme rejette la grâce, il y a tristesse et accusations culpabilisantes.
Connaissez-vous
ce chant qui dit : « Si tu veux le bonheur, le vrai bonheur, laisse
entrer Jésus dans ton cœur. Tes péchés il efface, et te fera la grâce de
transformer ton être entier pour régner sur ton cœur… » Oui, là où la
grâce du Seigneur se répand, la joie du salut est présente. D’une
manière générale, les croyants légalistes ne sont pas épanouis, mais
ceux qui vivent dans la grâce sont heureux.
Ma Prière pour ce jour :
Seigneur, merci pour la grâce que tu m’accordes en Jésus ; en elle je puise ce bonheur ineffable. Amen !
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