1. La souffrance fait partie de la condition
humaine. Pour avoir un monde où il n’y aurait ni mal, ni souffrance, il
faudrait que Dieu intervienne à chaque instant. Il n’y aurait ni liberté, ni responsabilité. On ne pourrait ni grandir, ni aimer. Quel ennui ! En savoir +
2. Dieu a voulu prendre le risque de créer l’homme « à Son image et à Sa ressemblance », c'est-à-direlibre et capable d’aimer.
Les hommes sont responsables des plus grands malheurs, mais ils sont
aussi capables de choses sublimes. Au Jugement dernier le bon grain sera
séparé définitivement de l’ivraie. En savoir +
3. La souffrance est sur notre route à tous. Elle nous donne deux rendez-vous :
a) le combat contre le mal et contre ses causes (à chaque fois que
c’est possible) ; b) la recherche d’un chemin de transfiguration de
cette souffrance (lorsqu’elle est inéluctable). En savoir +
4. La souffrance peut devenir le terreau d’une grande fécondité et de la croissance des plus hautes valeurs d’humanité, pas seulement chez les saints. En savoir +
5. Ce fut aussi le chemin du Christ. D’une part, il n’a
pas cessé de guérir des aveugles, des muets, des sourds, des paralysés,
des possédés. D’autre part, il n’a pas été épargné. Il a même subi ce
qu’il y a de pire : la torture. Selon la belle formule de Paul Claudel :
« Dieu n’est pas venu supprimer la souffrance ; Il n’est même pas venu
l’expliquer. Il est venu pour la remplir de sa Présence. » En savoir +
6. Nous sommes tous appelés, à l’exemple du Christ, au don de nous-mêmes pour combattre le malqui
écrase nos frères et à accepter et dépasser, avec l’aide de Dieu, les
difficultés et les malheurs inéluctables que nous rencontrerons au long
notre vie. En savoir +
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