Comme le disait saint Bernard, « De Maria nunquam satis » : « De Marie, on ne saurait jamais parler suffisamment. »
J’ai toujours eu pour Elle une dévotion et un culte particuliers. Je
garde dans ma mémoire et dans mon cœur un événement qui s’est produit en
1956, lorsque j´étais encore séminariste.
Alors
que j’étais en vacances dans un village de ma région d’origine de
Sarandira (Brésil), j’ai participé un jour à une procession de Notre
Dame de Fatima pour une maison de retraite, procession suivie par
beaucoup de personnes âgées. Soudain, le ciel s’est obscurci et une
forte tempête fut sur le point d’éclater. J’ai alors supplié la Mère de
Dieu de nous épargner ! Nous avons pu arriver jusqu’à l'église qui était
encore loin, quelques minutes avant qu’un véritable déluge ne s’abatte
sur nous !
Tandis
que nous terminions de réciter le Rosaire et que nous nous apprêtions à
sortir de l’église, l’heure étant venue de repartir, cette forte pluie
cessa et j'ai pu ainsi rassurer tout le monde en affirmant, dans la
foi : « Nous avons le temps de regagner nos maisons avant le retour de la pluie. » Tout cela arriva à la suite de notre prière à Notre Dame, Mère de Dieu et notre Mère.
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