vendredi 29 décembre 2017


Voici 5 conseils assez faciles à retenir... sur vos doigts ! :
1. Soyons d’abord des exemples , toujours avec douceur, patience, joie et bonté ! C'est le plus important,
retenons-le sur le pouce, le doigt le plus gros. S. Ignace le Loyola disait : « Voulez-vous sauver une âme ? Commencez à
la convaincre que vous l’aimez »12. « Les hommes, disait S. François de Sales, se gagnent par l’amour plus que par la
rigueur, nous ne devons pas seulement être bons, mais très bons. »13 Et cette bonté sera joyeuse : or « notre joie est le
plus sûr moyen d'annoncer le Christ au monde » remarquait la Bse Mère Teresa.14 N'oublions jamais d'être des
modèles Le Saint Père nous le disait récemment avec une image étonnante : « Nous chrétiens, devons être un message
vivant ; dans de nombreux cas, nous sommes même l'unique évangile que les hommes d'aujourd'hui lisent encore. »15
2. Ensuite, sur l'index, rappelons-nous le devoir d'être des priants .
« Nulle oeuvre n’est plus capable d’attirer la bienveillance divine et d’aider le prochain que le sacrifice perpétuel de la
louange et l’exemple d’une vie toute pure », affirmait le saint Pape Pie X16. « Pour évangéliser le monde, il faut des
apôtres experts en célébration, adoration et contemplation de l’Eucharistie » confirmait le Bx Jean-Paul II. C’est
pourquoi les religieux, les religieuses, passant de longues heures dans la vie contemplative sont les plus puissants
missionnaires qui soient. Imites-les ! Cramponnez-vous à vos chapelets pour sauver les âmes.
3. Puis, comme l'apostolat suit la contemplation et le majeur l'index, soyons des évangélisateurs habiles en
paroles. « N'ayez pas peur, redisait Benoît XVI ! Ayez le courage de vivre l'évangile et l’audace de le proclamer17 pour
cela, je vous encourage à avoir les mots qu’il faut »18, nous adaptant à chacun, n’ayant pas peur d’annoncer le Christ mort
et ressuscité pour nous.
4. Après l'exemple, la prière, la parole... sur l'annulaire, comme pour sceller une alliance avec Dieu, soyons âmes
de sacrifices . « Quand on peut souffrir et aimer, on peut beaucoup, on peut le plus qu’on peut en ce monde », explique le
Bx Charles de Foucauld19. Offrez vos souffrances physiques ou morales pour la conversion de vos proches. Soyez sûrs de
l’efficacité extraordinaire de vos souffrances qui dès lors deviennent désirables...
5. Enfin ,sur le doigt le plus discret, n'oublions jamais de passer par Marie .
« Prêcher Jésus seul est un travail aride et infructueux, affirme S. François-Xavier, modèle et patron des missionnaires,
mais prêcher Jésus AVEC et PAR Marie, poursuit-il, est une occupation aussi féconde que délicieuse »20.
Ainsi « notre apostolat n’aura de valeur que dans la mesure où notre volonté sera en accord avec la volonté de
l’Immaculée, et, à travers elle, avec la volonté de Dieu », explique S. Maximilien Kolbe.21
Demandez-lui comment faire, mes frères, pour « assister les personnes en danger », priez-la, aimez-la, accrochezvous
à vos chapelets, donnez-vous à Elle ! Ainsi soit-il !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire