Laissez-moi
vous partager le témoignage de William E. Barton : "L'hiver avait été
long, et très froid, la neige avait été abondante et le printemps
n'était pas encore arrivé. Je me levai tôt le matin, je regardai par la
fenêtre, et voilà un merle. Et j'appelai Keturah en disant : "Viens
vite, et presse-toi d'arriver à la fenêtre. Car voici, un de nos amis
est venu d'un pays lointain pour nous visiter."
Keturah s'approcha de la fenêtre, et elle vit aussi le merle. Le merle nous regarda, et sautilla sur le sol froid et dénudé, et chercha le premier ver, mais l'oiseau était arrivé plus tôt que le ver. Et Keturah alla dans la cuisine pour voir ce qu'elle pourrait trouver pour nourrir le merle.
Et je parlai au merle, disant : "Voilà, tu étais où il faisait chaud, et où le soleil brillait. Et tu aurais pu rester là-bas. Mais tu es ici et tu viens quand c'est encore l'hiver, car la prophétie du printemps est dans ton sang. Ta foi est l'assurance des choses qu'on espère et la démonstration des choses qu'on ne voit pas. Tu as parcouru plusieurs kilomètres, même des centaines de kilomètres, pour arriver dans un pays désert, parce que tu portes dans ton âme l'assurance de l'approche du printemps. Oh ! S'il pouvait y avoir dans la vie humaine quelque assurance qui ferait avancer les gens vers leur grand destin avec une pleine conviction !"
Puis, je pensai à l'œil, créé dans l'obscurité, mais formé pour la lumière ; et à l'oreille, merveilleusement façonnée dans le silence, mais faite pour entendre la musique ; et à l'âme humaine, née dans un monde où se trouve le péché, mais qui naît avec l'espérance de la justification.
Et je bénis le petit oiseau qui m'avait incité à penser à ces choses. Et je partis à la ville ce jour-là, et les gens disaient : "William, n'est-ce pas un hiver froid et long ?" Et je dis : "Ne parlez plus de l'hiver." Et il dirent : "Pourquoi ne devrions-nous plus parler de l'hiver ? Regarde le thermomètre." Mais je redressai fièrement la tête en disant : "Ne me parlez pas de l'hiver. Voici, ce matin même j'ai vu le premier merle. Pour moi, dorénavant, c'est le printemps."
Une prière pour aujourd'hui
Prenez un instant et avec une foi profonde, dites : "Tout va bien, les promesses de Dieu sont en moi".
Keturah s'approcha de la fenêtre, et elle vit aussi le merle. Le merle nous regarda, et sautilla sur le sol froid et dénudé, et chercha le premier ver, mais l'oiseau était arrivé plus tôt que le ver. Et Keturah alla dans la cuisine pour voir ce qu'elle pourrait trouver pour nourrir le merle.
Et je parlai au merle, disant : "Voilà, tu étais où il faisait chaud, et où le soleil brillait. Et tu aurais pu rester là-bas. Mais tu es ici et tu viens quand c'est encore l'hiver, car la prophétie du printemps est dans ton sang. Ta foi est l'assurance des choses qu'on espère et la démonstration des choses qu'on ne voit pas. Tu as parcouru plusieurs kilomètres, même des centaines de kilomètres, pour arriver dans un pays désert, parce que tu portes dans ton âme l'assurance de l'approche du printemps. Oh ! S'il pouvait y avoir dans la vie humaine quelque assurance qui ferait avancer les gens vers leur grand destin avec une pleine conviction !"
Puis, je pensai à l'œil, créé dans l'obscurité, mais formé pour la lumière ; et à l'oreille, merveilleusement façonnée dans le silence, mais faite pour entendre la musique ; et à l'âme humaine, née dans un monde où se trouve le péché, mais qui naît avec l'espérance de la justification.
Et je bénis le petit oiseau qui m'avait incité à penser à ces choses. Et je partis à la ville ce jour-là, et les gens disaient : "William, n'est-ce pas un hiver froid et long ?" Et je dis : "Ne parlez plus de l'hiver." Et il dirent : "Pourquoi ne devrions-nous plus parler de l'hiver ? Regarde le thermomètre." Mais je redressai fièrement la tête en disant : "Ne me parlez pas de l'hiver. Voici, ce matin même j'ai vu le premier merle. Pour moi, dorénavant, c'est le printemps."
Une prière pour aujourd'hui
Prenez un instant et avec une foi profonde, dites : "Tout va bien, les promesses de Dieu sont en moi".
Patrice Martorano
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