Ô Marie, Mère des agonisants, ne voyez en nous que l'enfant que nous sommes, inconsistants, faibles, et tellement pécheurs. Demeurez près de nous au moment où nous rendrons notre dernier soupir comme vous étiez présente à la Croix. Assistez-nous dans nos derniers combats et présentez-nous à votre Fils Jésus pour qu'Il nous accueille en sa demeure. De sœur Marie du Sacré Cœur Bernaud : « Qui a consolé Notre Seigneur comme sa tendre Mère ? Qui l'a suivi plus courageusement ? Qui a veillé avec un plus fidèle amour auprès de son très doux cœur meurtri et désolé, pour panser ses blessures, le dédommager de l'oubli des uns, de l'ingratitude des autres, des défections de presque tous ? Qui, sinon que cette sainte et chère Mère ! » Une dizaine d'un chapelet Chant : Vous serez vraiment grand