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lundi 30 septembre 2013
30 septembre – Ste Thérèse de l’Enfant-Jésus, docteur de l’Église († 1897)
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Aucun être humain n' a été plus proche de Jésus que la ViergeElle L'a porté et L'a mis au monde. Elle Lui a donné Ses traits ; Il devait Lui ressembler. Elle L'a aimé comme une mère aime son fils : son premier-né, son unique. Elle a été Son éducatrice et c'est d'Elle qu' Il a appris les magnifiques prières d'Israël. Une femme, un jour, a dit à Jésus : "Heureuse la Mère qui T'a porté dans ses entrailles et qui T'a nourri de son lait" (Saint Luc 11, 27). Cette louange est aussi celle de l'Eglise ; elle est aussi la nôtre. Mais, si Elle a été une éducatrice pour Jésus, Celui-ci par un mystérieux retour des choses a été Son Maître. Elle s'est mise à Son école, écoutant Ses paroles, observant et retenant Ses gestes et Ses actions, gardant tout cela et le méditant au plus profond d'Elle-même. Elle a été la première et aussi la meilleure chrétienne et Elle a vraiment mérité la parole de Son Fils : "Heureux qui écoute la Parole de Dieu et la met en pratique". (Saint Luc 11, 28)". |
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Monseigneur Jean-Paul Vincent (ancien évêque de Bayonne) Homélie du 15 août 1972 au Puy-en-Velay |
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mardi 24 septembre 2013
L’ONU décrète une journée internationale de la charité en mémoire de Mère Teresa
L’Organisation des Nations unies (ONU) a célébré pour la première fois, le 5 septembre, la journée internationale de la charité, en souvenir de la mort de Mère Teresa en 1997, rappelle L’Osservatore romano dans son édition du 11 septembre 2013.
L’Organisation des Nations unies (ONU) a célébré pour la première fois, le 5 septembre, la journée internationale de la charité, en souvenir de la mort de Mère Teresa en 1997, rappelle L’Osservatore romano dans son édition du 11 septembre 2013.
« En tant que conseil pontifical, nous nous réjouissons de cette initiative et nous nous unissons à un nombre infini de personnes dans le monde entier pour rappeler la bienheureuse et rendre grâce à Dieu pour le témoignage d’amour éloquent qu’elle a donné à l’Église et à toute la famille humaine, écrit le cardinal Robert Sarah, président du conseil pontifical Cor Unum dans les colonnes du quotidien du Vatican. La reconnaissance de la personne et du travail de mère Teresa de la part de la communauté internationale est également une invitation pour nous à continuer à rendre ce témoignage d’amour à ceux qui sont dans le besoin. »
« Les Nations unies invitent à célébrer comme il convient la Journée internationale de la charité, en encourageant la charité »
« Reconnaissant que la charité peut contribuer à favoriser le dialogue entre des peuples de civilisations, de cultures et de religions différentes, ainsi que la solidarité et la compréhension mutuelle, et saluant l’action caritative menée par les organisations et les particuliers, et notamment le travail accompli par Mère Teresa, l’Assemblée générale a proclamé le 5 septembre Journée internationale de la charité jour de l’anniversaire de la mort de Mère Teresa », écrit de son côté l’ONU, expliquant le sens de cette journée décidée par une résolution votée en décembre 2012.
« Les Nations unies invitent les États membres, les organismes des Nations unies et les autres organisations internationales et régionales, ainsi que la société civile, y compris les organisations non gouvernementales et les particuliers, à célébrer comme il convient la Journée internationale de la charité, en encourageant la charité, notamment par des activités pédagogiques et de sensibilisation. »
CL. H.
Source : http://www.la-croix.com
« Les Nations unies invitent à célébrer comme il convient la Journée internationale de la charité, en encourageant la charité »
« Reconnaissant que la charité peut contribuer à favoriser le dialogue entre des peuples de civilisations, de cultures et de religions différentes, ainsi que la solidarité et la compréhension mutuelle, et saluant l’action caritative menée par les organisations et les particuliers, et notamment le travail accompli par Mère Teresa, l’Assemblée générale a proclamé le 5 septembre Journée internationale de la charité jour de l’anniversaire de la mort de Mère Teresa », écrit de son côté l’ONU, expliquant le sens de cette journée décidée par une résolution votée en décembre 2012.
« Les Nations unies invitent les États membres, les organismes des Nations unies et les autres organisations internationales et régionales, ainsi que la société civile, y compris les organisations non gouvernementales et les particuliers, à célébrer comme il convient la Journée internationale de la charité, en encourageant la charité, notamment par des activités pédagogiques et de sensibilisation. »
CL. H.
Source : http://www.la-croix.com
Magnificat !
23 septembre – Saint Pio de Pietrelcina (Padre Pio) – Espagne, Notre Dame de Valvancre
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« Après cet exil, montrez-nous Jésus, le fruit béni de vos entrailles »« Magnificat » est le refrain du testament spirituel du cardinal argentin Eduardo Francisco Pironio . Extraits : « Magnificat ! Je remercie le Seigneur parce qu’il m’a fait comprendre le mystère de Marie dans le mystère de Jésus et parce que la Vierge a été très présente dans ma vie personnelle et dans mon ministère. Je lui dois tout. Je confesse que c’est à elle que je dois la fécondité de ma parole. Les grandes dates de ma vie – de croix et de joie – ont toujours été des dates mariales. (…) À quand nous serons réunis dans la Maison du Père ! Je vous embrasse tous de tout cœur pour la dernière fois au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ! Je vous dépose tous dans le cœur de Marie, la Vierge pauvre, contemplative et fidèle. Ave Maria ! Et je lui demande : « Après cet exil, montrez-nous Jésus, le fruit béni de vos entrailles ». |
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Cardinal Eduardo Francisco Pironio Initiateur et organisateur des onze premières éditions des Journées mondiales de la jeunesse, en tant que président du Conseil pontifical pour les laïcs (de 1984 à 1996), auprès de Jean-Paul II. Rome, 23 juillet 2013 (Zenit.org) |
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mercredi 18 septembre 2013
« Je n’en reviens pas ! Les miracles existent vraiment !
18 septembre – France : Notre Dame de Pitié ou des Sept Douleurs, diocèse de Montauban
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Un artiste face au miracleEn tant qu’artiste, j'ai eu l'occasion un jour de réaliser une peinture murale de la Sainte Vierge pour un sanctuaire de Yankalilla, une petite ville au sud d'Adélaïde, en Australie. (…) J'avais accepté ce travail sans rémunération. Un après-midi, tout en réglant des factures, j’étais en train de m'angoisser sur l'état de mes finances, mais quelque chose me dit de ne pas m'inquiéter ! Arrivé chez moi, je vis une enveloppe qu'on avait glissée sous le paillasson, adressée à mon nom. En l'ouvrant, je ne trouvai ni explication ni nom à l'intérieur, uniquement cinq billets neufs de 100 dollars ! Je passai quelques coups de téléphone, y compris à l'église, mais personne n'était au courant. Je pensai : « Je n’en reviens pas ! Les miracles existent vraiment ! |
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Marie, Australie du Sud, 2008 Cité par Bridget Curran, in The Miracles of Mary, Everyday Encounters of Beauty and Grace, Inspired Living Editions, Australia, 2008. |
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mardi 17 septembre 2013
17 septembre – France. La Flèche, Notre Dame des Vertus et des Grandeurs de Marie
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Viens vers celle qui protège les fidèlesQuand tes yeux sont pleins de larmes, viens vers celle qui console les affligés. Quand ta souffrance est trop forte, viens vers celle qui protège les fidèles. Quand tu as succombé au péché, viens vers celle qui est le recours des pécheurs. Imite la Vierge et accueille tous ceux qui te demandent asile. Tu seras pour tes frères une source de joie et d'espérance. Marie a entièrement vécu pour Jésus. Sa mission était de collaborer avec lui à la rédemption des hommes. C'est pourquoi toute la gloire de Marie vient de Jésus. Elle ne serait rien si son fils n'était pas le Seigneur Jésus et si toute sa vie n'avait pas été vécue pour lui. Séparée du Seigneur, ta propre existence n'a aucune valeur. |
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Cardinal François-Xavier NGUYEN VAN THUAN, Sur le chemin de l'espérance, Le Sarment, Fayard 1991 Chapitre 35 - Notre Mère Marie, notules 935 et 936 |
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lundi 16 septembre 2013
16 septembre – S. Robert Bellarmin, docteur de l’Église, († 1621)
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A la Vierge des DouleursNoble, digne, héroïque, au cœur de tes souffrances, On te nommait jadis "la Mère aux sept douleurs" Ton nom n'indique plus aucune différence : Rien ne mesure plus la somme des malheurs Et des grandes épreuves qui ont marqué ta vie. Douce Mère de Dieu, en ton humilité, As-tu jamais compté le nombre des détresses Mêlées aux humbles joies qui ont facilité Et ont illuminé les journées d'allégresse, Dont ton enfant béni, qui était Fils de Dieu Et qui avait pour toi tant de délicatesse, Sut parsemer ta vie d'un soleil radieux ? Donne à nous, tes enfants, de bannir la tristesse, Obnubilant souvent les plus beaux jours d'été. Un amour infini nous berce et nous apaise, Lorsque nous souffrons de nous sentir rejetés. Entends nos pleurs d'enfants, que remarque en silence Une mère au cœur bon et plein de compassion. Reste avec nous sans cesse et, dans ta vigilance, Sois l'ultime recours lors de notre passion. |
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Père Jean Bréheret, prêtre Abbaye de Ligugé le 15 septembre 2000< |
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mercredi 11 septembre 2013
« Il passa la nuit à prier Dieu »
Nous ne pouvons pas
trouver Dieu dans le bruit, dans l’agitation… Dans le silence,
Dieu nous écoute ; dans le silence, il parle à nos âmes. Dans
le silence, il nous est donné le privilège d’entendre Sa voix
:
Silence de nos yeux.
Silence de nos oreilles.
Silence de notre bouche.
Silence de notre esprit.
Dans le silence du cœur,
Dieu parlera.
Le silence du cœur est nécessaire afin d’entendre Dieu partout — dans la porte qui se ferme, la personne qui te réclame, les oiseaux qui chantent, et les fleurs, et les animaux. Si nous sommes attentifs au silence, il sera facile de prier. Il y a tant de bavardages, de choses répétées, de choses rapportées dans ce qu’on dit et écrit. Notre vie de prière souffre parce que nos cœurs ne sont pas silencieux. Je garderai plus soigneusement le silence de mon cœur, afin que, dans le silence de mon cœur, j’entende Ses mots de consolation et que de la plénitude de mon cœur, je console Jésus caché dans la détresse des pauvres.
Silence de nos yeux.
Silence de nos oreilles.
Silence de notre bouche.
Silence de notre esprit.
Dans le silence du cœur,
Dieu parlera.
Le silence du cœur est nécessaire afin d’entendre Dieu partout — dans la porte qui se ferme, la personne qui te réclame, les oiseaux qui chantent, et les fleurs, et les animaux. Si nous sommes attentifs au silence, il sera facile de prier. Il y a tant de bavardages, de choses répétées, de choses rapportées dans ce qu’on dit et écrit. Notre vie de prière souffre parce que nos cœurs ne sont pas silencieux. Je garderai plus soigneusement le silence de mon cœur, afin que, dans le silence de mon cœur, j’entende Ses mots de consolation et que de la plénitude de mon cœur, je console Jésus caché dans la détresse des pauvres.
mardi 10 septembre 2013
Foi et Création
Foi et création
Un certain nombre de difficultés entoure la notion même de création. Sur le plan profane, ce terme a deux sens. Il y a l’acte de création comme l’artiste qui fait exister quelque chose de neuf. Il y a aussi tout ce qui préexiste à soi et ainsi la création désigne la nature, le cosmos... et toutes les choses déjà créées. Et quand on dit que Dieu est créateur, qu’est ce que cela veut dire ?
8 juillet 2013
Dieu le créateur
Dans la tradition judéo-chrétienne, Dieu est nommé le créateur. Cette affirmation de foi semble même primordiale pour dire que Dieu est reconnu comme le Dieu universel, son universalité s’ouvre à (...)
Les chrétiens et la sauvegarde de la création
« Le monde est en feu », constatait Thérèse d’Avila, au XVIème siècle. Notre monde, en ce début du XXIème, ne l’est sans doute pas moins. Surpopulation et épuisement des ressources, bouleversements (...)
L’homme et le mystère d’une création en chemin
La doctrine de la Création constitue la première réponse aux interrogations fondamentales sur notre origine et notre but final. Pourquoi ne pas trouver une issue dans l’expérience même et la (...)
Une expérience originale...
Selon la Bible, le Dieu Père exprime son attitude paternelle au dehors de lui-même par la création. La création du monde lui est attribuée par les premiers versets de la Genèse, sous la forme d’une (...)
jeudi 5 septembre 2013
EN AVANT TOUTES DANS LA PAIX - LA JOIE - LA VRAI CHARITE !
Commentaire du jour :
Pape François
Homélie du 14/04/2013 (trad. © Libreria Editrice Vaticana)
« Avance au large, et jetez les filets »
Pape François
Homélie du 14/04/2013 (trad. © Libreria Editrice Vaticana)
L'annonce de Pierre et des apôtres n'est pas faite seulement de
paroles. La fidélité au Christ touche leur vie, qui en est changée, qui
reçoit une nouvelle direction, et c'est justement par leur vie qu'ils rendent
témoignage à la foi et à l'annonce du Christ... Cela vaut pour tous :
l'Évangile doit être annoncé et témoigné. Chacun de nous devrait se
demander : « Comment est-ce que moi, je témoigne du Christ par ma foi ?
Ai-je le courage de Pierre et des autres apôtres de penser, de choisir et de
vivre en chrétien, dans l'obéissance à Dieu ? »
Le témoignage de la foi a certainement plusieurs formes, comme dans une grande fresque, où il y a une variété de couleurs et de nuances ; toutes cependant sont importantes, mêmes celles qui n'apparaissent pas. Dans le grand dessein de Dieu, chaque détail est important, même ton témoignage et le mien, humbles et petits, même le témoignage caché de celui qui vit avec simplicité sa foi dans le quotidien des relations de famille, de travail, d'amitié. Il y a les saints de tous les jours, les saints « cachés », une sorte de « classe moyenne de la sainteté »...dont nous pouvons tous faire partie.
Mais en diverses parties du monde, il y a aussi des personnes qui souffrent, comme Pierre et les apôtres, à cause de l'Évangile ; il y a des personnes qui donnent leur vie pour rester fidèles au Christ par un témoignage marqué par le prix du sang. Souvenons-nous-en bien tous : on ne peut pas annoncer l'Évangile de Jésus sans le témoignage concret de la vie. Qui nous écoute et nous voit doit pouvoir lire à travers nos actions ce qu'il écoute de notre bouche et rendre gloire à Dieu ! Un conseil que saint François d'Assise donnait à ses frères me vient à l'esprit : « Prêchez l'Évangile. Si c'est nécessaire, aussi par des paroles. »
Le témoignage de la foi a certainement plusieurs formes, comme dans une grande fresque, où il y a une variété de couleurs et de nuances ; toutes cependant sont importantes, mêmes celles qui n'apparaissent pas. Dans le grand dessein de Dieu, chaque détail est important, même ton témoignage et le mien, humbles et petits, même le témoignage caché de celui qui vit avec simplicité sa foi dans le quotidien des relations de famille, de travail, d'amitié. Il y a les saints de tous les jours, les saints « cachés », une sorte de « classe moyenne de la sainteté »...dont nous pouvons tous faire partie.
Mais en diverses parties du monde, il y a aussi des personnes qui souffrent, comme Pierre et les apôtres, à cause de l'Évangile ; il y a des personnes qui donnent leur vie pour rester fidèles au Christ par un témoignage marqué par le prix du sang. Souvenons-nous-en bien tous : on ne peut pas annoncer l'Évangile de Jésus sans le témoignage concret de la vie. Qui nous écoute et nous voit doit pouvoir lire à travers nos actions ce qu'il écoute de notre bouche et rendre gloire à Dieu ! Un conseil que saint François d'Assise donnait à ses frères me vient à l'esprit : « Prêchez l'Évangile. Si c'est nécessaire, aussi par des paroles. »
lundi 2 septembre 2013
dimanche 1 septembre 2013
1 septembre - Léon XIII déclare Octobre
comme le mois du Rosaire (1883)
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Récite ton chapelet, dit Dieu…Récite ton chapelet, dit Dieu, Et ne te soucie pas de ce que raconte tel écervelé : Que c’est une dévotion passée et qu’on va abandonner. Cette prière-là, je te le dis Est un rayon de l’Evangile : On ne me le changera pas. Ce que j’aime dans le chapelet, dit Dieu, C’est qu’il est simple et qu’il est humble. Comme fut mon Fils. Comme fut ma Mère. Récite ton chapelet : tu trouveras à tes côtés Toute la compagnie rassemblée en l’Evangile : La pauvre veuve qui n’a pas fait d’études Et le publicain repentant qui ne sait plus son catéchisme, La pécheresse effrayée qu’on voudrait accabler, Et tous les éclopés que leur foi a sauvés, Et les bons vieux bergers, comme ceux de Bethléem, Qui découvrent mon Fils et sa Mère... Récite ton chapelet, dit Dieu, Il faut que votre prière tourne, tourne et retourne, Comme font entre vos doigts les grains du chapelet. Alors, quand je voudrai, je vous l’assure, Vous recevrez la bonne nourriture, Qui affermit le cœur et rassure l’âme. (…) |
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