Un conseil pour ce jour : Jésus à dit : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui » (Jean 14.23).
« Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point » (Matthieu 24.35).
Voltaire,
le célèbre philosophe français du XVIIIe siècle, ne croyait pas aux
récits de l’évangile. Mais il était déiste, car il considérait que
l’univers, d’une beauté infinie et à la mécanique si intelligente, avait
été créé par Dieu. Il disait : « il ne peut y avoir d’horloge sans
horloger ».
Cependant,
Voltaire refusait de croire en un Dieu qui se serait impliqué dans le
salut de l’humanité. Les miracles de la Bible, la venue de Christ, sa
mort et sa résurrection n’étaient, à ses yeux, que des légendes. Il
déclara, peu de temps avant sa mort, qui survint en 1778, que dans cent
ans on ne trouverait plus une copie de la Bible, et que le christianisme
aurait disparu. Or, cent ans plus tard, la maison de Voltaire à Genève
appartenait à la Société Biblique de Genève, et elle était remplie de
Bibles de la cave au grenier !
(Il
me semble que Dieu a un humour certain !). En effet, non seulement le
christianisme subsiste, mais la Bible est devenue le best seller mondial
au niveau de la diffusion. On dénombre près de deux-mille-cinq-cents
langues différentes ayant une portion de la Bible, ou la Bible entière.
Cette indestructibilité de la Bible fut soulignée par ce vers attribué à
Théodore de Bèze : « Tant à me frapper on s’amuse, plus de marteaux on y
use ».
Au
cours des deux mille ans de l’histoire du christianisme, la Bible a été
le livre le plus critiqué, le plus persécuté, le plus détruit. Dans les
années qui ont suivi la Réforme, elle était brûlée sur les bûchers de
l’inquisition, en même temps que les réformés. Elle est encore, de nos
jours, un livre interdit de diffusion dans certains pays, comme en
Arabie Saoudite ou d’autres pays musulmans ou communistes.
Les
persécuteurs sont morts, les dictateurs qui l’ont interdite ne sont
plus, les moqueurs qui l’ont ridiculisée sont passés, mais la Parole de
Dieu subsiste, et elle subsistera éternellement.
« Les Paroles de l’Eternel sont pures … Toi, Eternel tu les garderas, tu
les préserveras de cette race à jamais » (Psaume 12.7/8). Cette
prophétie de David, vieille de trois mille ans, s’est vérifiée des
milliers de fois jusqu’à nos jours.
Un conseil pour ce jour :
Jésus
à dit : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père
l’aimera ; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui »
(Jean 14.23).
Aimez la Parole de Dieu, demeurez en elle, attachez-vous à elle. Ceux
qui s’attachent à elle, seront comme elle, ils ne passeront point, ils
vivront éternellement.
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